Peace in check: main causes of the murder of Farc ex-combatants in the post-agreement period

La firma del Acuerdo Final de Paz entre las extintas FARC-EP y el estado colombiano en septiembre de 2016 le dio al país la oportunidad de construir una paz estable y duradera que diera fin a un conflicto armado de más de seis décadas. En ese momento, las dos partes firmantes coincidieron en que era fundamental afianzar un escenario de seguridad nacional que permitiera un correcto desarrollo de este nuevo proceso de paz, atendiendo tanto las causas que originaron el conflicto, como aquellas problemáticas derivadas del mismo. Así pues, dos de los puntos acordados abordan temas relacionados a la seguridad, poniendo especial enfoque en las garantías de seguridad de los y las excombatientes de las antiguas FARC-EP en proceso de reincorporación, sobre todo, quienes hacen parte del nuevo movimiento político, hoy Partido COMUNES. A pesar de lo planteado al respecto por el Acuerdo, en la actualidad más de 340 excombatiente han sido asesinados desde la firma, dato que pone de manifiesto el carácter sistemático de este fenómeno de violencia. Con base en lo anterior, este documento pretende identificar las principales causas del exterminio de firmantes en proceso de reincorporación en el marco del postacuerdo. De este modo, hace un recorrido por el estado de la implementación de los acuerdos en materia de seguridad en cuyas omisiones se encuentra la primera causa; posteriormente se identifica los principales actores victimizantes y su incidencia en la consumación de los escenarios de riesgo como la segunda causa y, finalmente, se enuncian los obstáculos subyacentes a la protección de la población en reincorporación por parte del estado, en los cuales, encontramos la última causa. The signing of the Final Peace Agreement between the extinct FARC-EP and the Colombian state in September 2016 gave the country the opportunity to build a stable and lasting peace that would put an end to an armed conflict of more than six decades. At that time, the two signatory parties agreed that it was essential to consolidate a national security scenario that would allow the proper development of this new peace process, addressing both the causes that originated the conflict and the problems derived from it. Thus, two of the agreed points address issues related to security, with a special focus on the security guarantees for former FARC-EP combatants in the reincorporation process, especially those who are part of the new political movement, today COMUNES Party. Despite the provisions of the Agreement, more than 340 former combatants have been killed since the signing of the Agreement, a fact that shows the systematic nature of this phenomenon of violence. Based on the above, this document seeks to identify the main causes of the extermination of signatories in the process of reincorporation in the post-agreement framework. In this way, it reviews the state of the implementation of the security agreements, whose omissions are the first cause; it then identifies the main victimizing actors and their incidence in the consummation of risk scenarios as the second cause and, finally, the underlying obstacles to the protection of the reincorporation population by the state are enunciated, in which we find the last cause. Pregrado La signature de l'Accord de paix définitif entre les FARC-EP et l'État colombien en septembre 2016 a donné au pays l'opportunité de construire une paix stable et durable qui mettrait fin à un conflit armé qui a duré plus de six décennies. À cette époque, les deux parties signataires ont convenu qu'il était essentiel de consolider un scénario de sécurité nationale qui permette le bon déroulement de ce nouveau processus de paix, en s'attaquant à la fois aux causes à l'origine du conflit et aux problèmes qui en découlent. Ainsi, deux des points convenus portent sur des questions liées à la sécurité, avec un accent particulier sur les garanties de sécurité pour les anciens combattants des FARC-EP dans le processus de réincorporation, notamment ceux qui font partie du nouveau mouvement politique, désormais connu sous le nom de parti COMUNES. Malgré les dispositions de l'accord, plus de 340 anciens combattants ont été assassinés depuis la signature de l'accord, un fait qui démontre le caractère systématique de ce phénomène de violence. Sur la base de ce qui précède, ce document vise à identifier les principales causes de l'extermination des signataires dans le processus de réincorporation dans le cadre post-accord. De cette manière, elle examine l'état de la mise en œuvre des accords de sécurité, dont les omissions constituent la première cause ; elle identifie ensuite les principaux acteurs victimaires et leur incidence dans la réalisation des scénarios de risque, comme deuxième cause ; et enfin, elle expose les obstacles sous-jacents à la protection de la population réincorporée par l'État, dans laquelle nous trouvons la dernière cause.