Back to Search Start Over

A study of apolipoprotein L1 patho-physiological functions

Authors :
Vanhamme, Luc
Badran, Bassam
Leo, Oberdan
Kruys, Véronique
Marini, Anna Maria
Delree, Paul
Faour, Wissam
Hussein, Nader
Chidiac, Mounia
Vanhamme, Luc
Badran, Bassam
Leo, Oberdan
Kruys, Véronique
Marini, Anna Maria
Delree, Paul
Faour, Wissam
Hussein, Nader
Chidiac, Mounia
Publication Year :
2015

Abstract

Apolipoprotéines L est une famille nouvellement caractérisée en humain sans une fonction patho- physiologique définitive. Ces protéines sont classiquement considérées être impliquées dans le transport et métabolisme des lipides, principalement due à l'association de son premier membre de la famille sécrétée l’apolipoprotéine L1 aux particules des lipoprotéines de haute densité. Néanmoins, le reste des membres sont des protéines intracellulaires (absence de domaine de peptide signal). Apolipoprotéine L1 a été initialement identifiée comme l'élément clé du facteur trypanolytique dans le sérum humain. L'exploration de la séquence des différents apolipoprotéines L a révélé un domaine distinct «B cell lymphoma-2 homology domain 3» ayant des similitudes structurelles et fonctionnelles avec le domaine B cell lymphoma-2 homology domain 3 des protéines de la famille B cell lymphoma-2. Ainsi la découverte de ce domaine peut contribuer à la compréhension de la fonction et rôle des apoLs dans différents mécanismes et processus tels que la mort cellulaire programmée, la prolifération cellulaire, le métabolisme cellulaire .Notre étude visait à caractériser les fonctions de patho- physiologique du premier membre de la famille «apolipoprotéine L1 ». L’expression de l’apolipoprotéine L1 ARNm, à partir de 48 carcinomes papillaires de la thyroïde, a été évaluée par des études à haut débit et normalisée à un pool de tissus normal de la thyroïde. Une confirmation de PCR en temps réel valide ainsi la surexpression d’apoL1 dans 91,67 % des cas testés. Le niveau élevé de l’apolipoprotéine L1 ARNm est en corrélation avec une expression protéique élevée dans les échantillons histologiques (70%), et détermine que les cellules folliculaires de la thyroïde dans la zone de la tumeur sont les cellules principales responsables de l’expression spécifique de l’apolipoprotéine L1. Nous avons étudié l'expression apolipoprotéine L1 dans le modèle de cancer pour approfondir notre compréhension des relat<br />Option Biologie moléculaire du Doctorat en Sciences<br />info:eu-repo/semantics/nonPublished

Details

Database :
OAIster
Notes :
3 full-text file(s): application/pdf | application/pdf | application/pdf, English
Publication Type :
Electronic Resource
Accession number :
edsoai.on1021242109
Document Type :
Electronic Resource