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La maladie rénale diabétique (MRD) est une cause fréquente de prise en charge de l’insuffisance rénale terminale et de morbi-mortalité chez les adultes atteints de DT1. L’objectif de notre étude est de déterminer la fréquence de la MRD au stade de microalbuminurie dans le DT1 isolé et dans le DT1 associé à d’autres maladies auto-immunes (MAI), notamment la maladie cœliaque (MC) et la thyroïdite auto-immune (TAI).

Les épices alimentaires ont occupé un rôle dans le traitement du DT2 au Maroc. L’objectif est de déterminer la fréquence des patients diabétiques utilisant cette pratique, connaître les raisons d’usage de cet aliment puis identifier les épices utilisées et évaluer leur satisfaction.

Le traitement de première intention de la maladie de Cushing est l’exérèse de l’adénome.

Les kystes de la fente de Rathke (KFR) sont des lésions bénignes de la région sellaire. Ces lésions sont rarement symptomatiques : céphalées, troubles visuels et insuffisances hypophysaires sont décrits dans 5 à 15 % des cas.

L’hypoglycémie est un effet secondaire imprévisible de l’insuline et le mode de vie peut en être entravé. L’objectif est d’évaluer la qualité de vie des patients DT2 insulino-naïfs après la mise sous insulinothérapie puis étudier l’impact psychologique de cet arsenal.

Le diabète insipide central (DIC) impacte considérablement la qualité de vie des patients (QdV). Un traitement par desmopressine (DDAVP) permet d’améliorer la symptomatologie mais ne permet pas toujours de maintenir une qualité de vie optimale.

L’insuffisance antéhypophysaire est une affection assez fréquente, une proportion considérable de ces patients traités de façon conventionnelle sont en surpoids ou obèses. L’objectif est d’évaluer la prise de poids sous opothérapie et de chercher une éventuelle corrélation entre la prise de poids et la durée de prise de traitement.

La dysfonction sexuelle féminine présente une des complications psychosomatiques de l’acromégalie. L’objectif est d’évaluer la dysfonction sexuelle des patientes acromégales et identifier la relation entre l’activité de la maladie, les complications, et la qualité de vie.