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11 results on '"Jean Hars"'

1. Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif à « une évaluation du risque lié au dépeuplement d’élevages porcins, opérations mises en œuvre en cas de foyers de PPA en élevage »

Author

Claude Saegerman, Eric Baubet, Catherine Belloc, Eric Collin, Claude Fischer, Jean Hars, Marie-Frédérique Le Potier, Jorge Ramón López-Olvera, Nicolas Rose, Sophie Rossi, Jean-Pierre Vaillancourt, Gilles Meyer, Stéphane Bertagnoli, Alain Boissy, Henri-Jean Boulouis, Jean-Claude Desfontis, Maria-Eleni Filippitzi, David Fretin, Emmanuelle Gilot-Fromont, Etienne Giraud, Lionel Grisot, Nadia Haddad, Viviane Hénaux, Elsa Jourdain, Sophie Le Bouquin-Leneveu, Sophie Le Poder-Alcon, Elodie Monchatre-Leroy, Hostis, Monique L., François Meurens, Virginie Michel, Pierre Mormede, Herve Morvan, Carine Paraud, Ariane Payne, Michel Pépin, Carole Peroz-Sapede, Claire Ponsart, Gaëlle Simon, Catherine Collignon, Charlotte Dunoyer, Université de Liège, Office Nationale de la chasse et faune sauvage (ONCFS), ONCFS, Ecole Nationale Vétérinaire, Agroalimentaire et de l'alimentation Nantes-Atlantique (ONIRIS), Clinique Vétérinaire, Haute Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'Architecture de Genève (HEPIA), Laboratoire de Ploufragan - Plouzané, Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), Universitat Autònoma de Barcelona [Barcelona] (UAB), Université de Montréal [Montréal], Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Unité Mixte de Recherches sur les Herbivores - UMR 1213 (UMRH), VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), École nationale vétérinaire d'Alfort (ENVA), Ghent University [Belgium] (UGENT), Sciensano [Brussels, Belgium], Infectiologie Santé Publique (ISP-311), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université de Tours, Laboratoire de Lyon, Épidémiologie des Maladies Animales et Zoonotiques - UMR 346 (EPIA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS), Laboratoire de la rage et de la faune sauvage de Nancy (LRFSN), Retraité, Génétique Physiologie et Systèmes d'Elevage (GenPhySE ), École nationale supérieure agronomique de Toulouse [ENSAT]-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), LABOCEA Laboratoire [Plouzané, France], Laboratoire de Niort, VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS), Laboratoire de santé animale, sites de Maisons-Alfort et de Dozulé, and Direction de l'Evaluation des Risques (DER)

Subjects
Pig, Porc, Diffusion de virus, MESH: African swine fever, [SDV.BA.MVSA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology/Veterinary medicine and animal Health, [SDV]Life Sciences [q-bio], Pig farming, Depopulation, Virus spread, Wild boar, Dépeuplement, Elevage, Peste porcine africaine, Sanglier, African swine fever, Abattoir
Abstract

« Dans le cadre de la planification, les services de la DGAL se préparent, aux différents échelons, à la mise en œuvre des mesures de lutte contre la peste porcine africaine (PPA) en identifiant les ressources humaines et matérielles nécessaires. Pour la question du dépeuplement en élevage, il est prévu un prestataire national pour la réalisation des chantiers de dépeuplement de gros effectifs porcins en élevage, le reste des chantiers étant et devant être piloté et organisé par les directions départementales en charge de la protection des populations DDecPP avec des moyens locaux. Pour autant, selon la dynamique de diffusion de la maladie, ces dispositifs pourraients’avérer insuffisants et une option pourrait être de transférer des animaux issus de cheptels infectés pour une mise à mort à l'abattoir. Par ailleurs, une stratégie de dépeuplement préemptive à l'image de ce qui a été mis en place lors de l’épisode influenza aviaire 2016-2017 pourrait être également mise en place et nécessiterait également une mobilisation importante des moyens de dépeuplement.Il s'agirait donc plus précisément d'évaluer le risque de diffusion de la PPA, à la fois par le transport et par la persistance du virus au sein des sites d’abattage, lors de la mobilisation d'abattoirs pour dépeupler des foyers. Cette même question est posée pour du dépeuplementpréemptif d'animaux a priori non suspects en périphérie de foyer. Ces cas de figure pourraient se présenter en cas de dépassement des capacités d'intervention sur site Des questions complémentaires liées aux opérations de dépeuplement d'animaux infectés sontégalement posées.- Parmi les méthodes d’euthanasie individuelle, un dispositif à tige perforante suivi d'un jonchage ou une injection létale peuvent être utilisés pour les porcs ainsi que le tir à balle pour les sangliers. Ces méthodes qui peuvent entraîner des effusions de sang sont-elles denature à engendrer un risque supplémentaire de diffusion du virus ?- Les intervenants dans un foyer sont équipés de protections individuelles (EPI) et passent par un sas sanitaire pour sortir de l'exploitation en vue de limiter les risques de diffusion de la maladie. La procédure recommandée pour l'entrée et la sortie d'un élevage infecté estjointe ; quel serait le délai de carence à respecter entre l'intervention dans un foyer et l'intervention dans un élevage sain afin de prévenir tout risque de diffusion de la maladie ? Le délai historiquement préconisé est de 72h et demande à être documenté. »

Published
2018

2. Sociospatial structure explains marked variation in brucellosis seroprevalence in an Alpine ibex population

Author

Pauline Freycon, Jean Hars, Sophie Rossi, Carole Toïgo, Pascal Marchand, Emmanuelle Gilot-Fromont, Yvette Game, Jean-Philippe Herbaux, Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), and Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)

Subjects
Male, 0106 biological sciences, 0301 basic medicine, Capra ibex, Home range, Ecology (disciplines), Population, Wildlife, lcsh:Medicine, Animals, Wild, Context (language use), Communicable Diseases, Emerging, 010603 evolutionary biology, 01 natural sciences, Article, Brucellosis, 03 medical and health sciences, Seroepidemiologic Studies, Zoonoses, Brucella melitensis, Animals, Humans, lcsh:Science, education, education.field_of_study, Multidisciplinary, biology, Ecology, Goats, lcsh:R, 15. Life on land, biology.organism_classification, Europe, 030104 developmental biology, Geography, Animal ecology, Spatial ecology, lcsh:Q, Cattle, Female, [SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie, [SDE.BE]Environmental Sciences/Biodiversity and Ecology
Abstract

In a context of (re)emerging infectious diseases with wildlife reservoirs, understanding how animal ecology shapes epidemiology is a key issue, particularly in wild ungulates that share pathogens with domestic herbivores and have similar food requirements. For the first time in Europe, brucellosis (Brucella melitensis), a virulent zoonosis, persisted in an Alpine ibex (Capra ibex) population and was transmitted to cattle and humans. To better understand disease dynamics, we investigated the relationships between the spatial ecology of ibex and the epidemiology of brucellosis. Combining home range overlap between 37 GPS-collared individuals and visual observations of 148 visually-marked individuals monitored during the 2013–2016 period, we showed that females were spatially segregated in at least 4 units all year round, whereas males were more prone to move between female units, in particular during the rutting period. In addition to ibex age, the spatial structure in females largely contributed to variation in seroprevalence in the whole population. These results suggest that non-sexual routes are the most likely pathways of intraspecific transmission, crucial information for management. Accounting for wildlife spatial ecology was hence decisive in improving our ability to better understand this health challenge involving a wildlife reservoir.

Published
2017
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3. Host status of wild roe deer in bovine tuberculosis endemic areas

Author

Jean-Louis Moyen, Thomas Rambaud, Maria-Laura Boschiroli, Sébastien Lambert, Hélène Gares, Céline Richomme, Edouard Réveillaud, Jean Hars, Eric Gueneau, Eva Faure, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), Laboratoire de la rage et de la faune sauvage de Nancy (LRFSN), Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), and Laboratoire de santé animale, sites de Maisons-Alfort et de Dozulé

Subjects
0301 basic medicine, Tuberculosis, 040301 veterinary sciences, Population, Wildlife, Wildlife surveillance, Zoology, Management, Monitoring, Policy and Law, Bovine tuberculosis, 0403 veterinary science, 03 medical and health sciences, Capreolus, biology.animal, medicine, Spillover host, education, Ecology, Evolution, Behavior and Systematics, Nature and Landscape Conservation, Roe deer, Mycobacterium bovis, education.field_of_study, [SDV.BA.MVSA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology/Veterinary medicine and animal Health, biology, Transmission (medicine), Host (biology), Ecology, 04 agricultural and veterinary sciences, biology.organism_classification, medicine.disease, 030104 developmental biology, Capreolus capreolus, [SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie
Abstract

International audience; Rarely found infected, roe deer (Capreolus capreolus) are not considered a bovine tuberculosis (bTB) reservoir. However, serial cases discovered between 2010 and 2014 in one of the bTB endemic regions in France threw doubt on the epidemiological role played by this small wild cervid in ecosystems where cattle and other wild animals are both infected. Our objective was to analyse the bTB host status of roe deer as regards infection prevalence within the population and Mycobacterium bovis-induced pathology in this species. From November 2001 to March 2016, 668 roe deer were analysed (culture and/or PCR) through active surveillance implemented in three bTB endemic areas in France (Brotonne forest, Dordogne and Côte d’Or) and 132 through passive surveillance (presence of macroscopic lesions) in the whole country. Only seven roe deer were found infected by M. bovis, exclusively in bTB endemic areas, one through active surveillance (Brotonne forest; n = 203, apparent prevalence 0.49%). On the basis of these results, observed pathological patterns (mainly pulmonary lesions), species social behaviour (less gregarious than other ungulates) and food behaviour (mainly a selective browser), roe deer does not appear to be a true reservoir of bTB. However, once infected, it develops lesions reflecting a clear ability for bacterial excretion and therefore transmission to other species, most likely by indirect contact. It could thus be a spillover host included in a multi-host component reservoir in endemic areas. Consequently, passive surveillance is essential to detect infection and to implement specific management to limit interactions with cattle, where infected roe deer are found.

Published
2017
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4. Exposure of wildlife to the Schmallenberg virus in France (2011-2014): Higher, faster, stronger (than bluetongue)!

Author

Kristel Gache, Dominique Gauthier, Françoise Pozet, Emmanuelle Gilot-Fromont, Emmanuel Bréard, Corinne Sailleau, Daniel Maillard, François Klein, Eva Faure, Hélène Verheyden, Stéphan Zientara, Jean Hars, Sophie Rossi, Cyril Viarouge, A. Garnier, Philippe Gibert, Yvette Game, Unité sanitaire de la faune, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, Laboratoire de santé animale, Université Paris-Est (UPE), Fédération Nationale des Chasseurs (FNC), Biodémographie évolutive, Département écologie évolutive [LBBE], Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre Hospitalier Universitaire de Lyon, National animal health farmers’organisation, GDS, Cnera faune de montagne, Unité de recherche Comportement et Ecologie de la Faune Sauvage (CEFS), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), CNERA cervidés sanglier, Laboratoire Départemental Vétérinaire et d'Hygiène Alimentaire des Hautes Alpes, Laboratoire Départemental d'Analyses Vétérinaires de la Savoie, Laboratoire Départemental d’Analyses du Jura, François Sommer's Research grant, and Laboratoire Départemental d’Analyses du Jura (LDA39)

Subjects
Veterinary medicine, Orthobunyavirus, 040301 veterinary sciences, [SDV]Life Sciences [q-bio], 030231 tropical medicine, Wildlife, Animals, Wild, Enzyme-Linked Immunosorbent Assay, Biology, vector-borne disease, Bunyaviridae Infections, Bluetongue, Disease Outbreaks, 0403 veterinary science, 03 medical and health sciences, 0302 clinical medicine, Risk Factors, Seroepidemiologic Studies, ibex, Seroprevalence, Animals, Retrospective Studies, technique elisa, 2. Zero hunger, gradient altitudinal, chamois, General Veterinary, General Immunology and Microbiology, business.industry, indirect elisa, Outbreak, Schmallenberg virus, 04 agricultural and veterinary sciences, General Medicine, mouflon, biology.organism_classification, faune sauvage, Mouflon, Vector (epidemiology), virus de Schmallenberg, deer, Livestock, Seasons, business, france
Abstract

Summary The Schmallenberg virus (SBV) has recently emerged in Europe, causing losses to the domestic livestock. A retrospective analysis of serodata was conducted in France for estimating seroprevalence of SBV among six wildlife species from 2011–2012 to 2013–2014, that is during the three vector seasons after the emergence of the SBV in France. Our objective was to quantify the exposure of wildlife to SBV and the potential protective effect of elevation such as previously observed for bluetongue. We also compared the spatiotemporal trends between domestic and wild animals at the level of the departments. We tested 2050 sera using competitive ELISA tests. Individual and population risk factors were further tested using general linear models among 1934 individuals. All populations but one exhibited positive results, seroprevalence up to 30% being observed for all species. The average seroprevalence did not differ between species but ranged from 0 to 90% according to the area and period, due to the dynamic pattern of infection. Seroprevalence was on average higher in the lowlands compared to areas located up to 800 m. Nevertheless, seroprevalence above 50% occurred in areas located up to 1500 m. Thus, contrary to what had been observed for bluetongue during the late 2000s in the same areas, SBV could spread to high altitudes and infect all the studied species. The spatial spread of SBV in wildlife did not fully match with SBV outbreaks reported in the domestic livestock. The mismatch was most obvious in mountainous areas where outbreaks in wildlife occurred on average one year after the peak of congenital cases in livestock. These results suggest a much larger spread and vector capacity for SBV than for bluetongue virus in natural areas. Potential consequences for wildlife dynamics are discussed.

Published
2017
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5. Schmallenberg Virus Infection among Red Deer, France, 2010–2012

Author

Sophie Rossi, Cyril Viarouge, Eve Laloy, Stéphan Zientara, Alexandra Desprat, François Klein, Emmanuel Bréard, Corinne Sailleau, Jean Hars, Virologie UMR1161 (VIRO), École nationale vétérinaire d'Alfort (ENVA)-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), École nationale vétérinaire d'Alfort (ENVA), Virologie, Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), Chercheur indépendant, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES)-École nationale vétérinaire d'Alfort (ENVA), and Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS)

Subjects
Microbiology (medical), Serotype, Veterinary medicine, Orthobunyavirus, Epidemiology, SBV, wildlife, [SDV]Life Sciences [q-bio], lcsh:Medicine, serology, Bunyaviridae Infections, Biology, Schmallenberg virus, Virus, Serology, lcsh:Infectious and parasitic diseases, Animal Diseases, ELISA, Seroepidemiologic Studies, Vector-borne disease, Seroprevalence, Animals, lcsh:RC109-216, viruses, Geography, Medical, Serotyping, Deer, lcsh:R, Dispatch, biology.organism_classification, Virology, France, 3. Good health, Infectious Diseases
Abstract

International audience; Schmallenberg virus infection is emerging in European domestic and wild ruminants. We investigated the serologic status of 9 red deer populations to describe virus spread from September 2010 through March 2012 among wildlife in France. Deer in 7 populations exhibited seropositivity, with an average seroprevalence of 20%.

Published
2014
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6. Environmental factors associated with the seroprevalence of Toxoplasma gondii in Wild Boars (Sus scrofa), France

Author

Marina Beral, Dominique Aubert, Jean Hars, Emmanuelle Gilot-Fromont, David Abrial, Sophie Rossi, François Klein, Marie-Eve Terrier, Céline Richomme, Isabelle Villena, Patrick Gasqui, Elsa Jourdain, Centre de formation et de recherche sur l'environnement marin (CEFREM), Université de Perpignan Via Domitia (UPVD)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Unité Mixte de Recherches sur les Herbivores - UMR 1213 (UMRH), VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA), AFSSA, CNERA Cervidés Sanglier (ONCFS), Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, Unité d'épidémiologie animale, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Biodémographie évolutive, Département écologie évolutive [LBBE], Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Unité de recherche d'Épidémiologie Animale (UEA), Centre de formation et de recherche sur l'environnement marin ( CEFREM ), Université de Perpignan Via Domitia ( UPVD ) -Institut national des sciences de l'Univers ( INSU - CNRS ) -Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ), Unité Mixte de Recherches sur les Herbivores ( UMR 1213 Herbivores ), VetAgro Sup ( VAS ) -AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement-Institut National de la Recherche Agronomique ( INRA ), Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments ( AFSSA ), CNERA Cervidés Sanglier ( ONCFS ), Institut National de la Recherche Agronomique ( INRA ), Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive ( LBBE ), Université Claude Bernard Lyon 1 ( UCBL ), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique ( Inria ) -Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ), Unité de recherche d'Épidémiologie Animale ( UEA ), EPSP, Techniques de l'Ingénierie Médicale et de la Complexité - Informatique, Mathématiques et Applications [Grenoble] ( TIMC-IMAG ), Université Joseph Fourier - Grenoble 1 ( UJF ) -Institut polytechnique de Grenoble - Grenoble Institute of Technology ( Grenoble INP ) -IMAG-Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ) -Université Grenoble Alpes ( UGA ) -Université Joseph Fourier - Grenoble 1 ( UJF ) -Institut polytechnique de Grenoble - Grenoble Institute of Technology ( Grenoble INP ) -IMAG-Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ) -Université Grenoble Alpes ( UGA ) -Station Biologique de la Tour du Valat-Biologie des Infections Virales Émergentes ( UBIVE ), Institut Pasteur [Paris]-Institut Pasteur [Paris], Unité Mixte de Recherche sur les Herbivores - UMR 1213 (UMRH), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS), Unité de Recherche d'Épidémiologie Animale (UR EpiA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement

Subjects
Veterinary medicine, Health, Toxicology and Mutagenesis, [SDV]Life Sciences [q-bio], Sus scrofa, 030308 mycology & parasitology, 0302 clinical medicine, Risk Factors, Seroepidemiologic Studies, MESH: Risk Factors, Zoonoses, MESH : Seroepidemiologic Studies, MESH: Animals, MESH : Sus scrofa, 0303 health sciences, MESH: Toxoplasmosis, Animal, Ecology, biology, seroprevalence, Zoonosis, MESH: Toxoplasma, MESH : Risk Factors, risk factor, symbols, France, MESH: Zoonoses, Toxoplasma, environment, wildlife, 030231 tropical medicine, Toxoplasma gondii, MESH : Zoonoses, 03 medical and health sciences, symbols.namesake, Wild boar, MESH : Toxoplasma, biology.animal, parasitic diseases, medicine, Seroprevalence, Animals, Poisson regression, MESH : France, MESH: Seroepidemiologic Studies, [ SDV ] Life Sciences [q-bio], Felis, zoonosis, medicine.disease, biology.organism_classification, Toxoplasmosis, MESH: Sus scrofa, MESH: France, Toxoplasmosis, Animal, Animal ecology, modified agglutination test, MESH : Toxoplasmosis, Animal, MESH : Animals
Abstract

International audience; Toxoplasma gondii is a protozoan parasite infecting humans and animals. Wild boars Sus scrofa are a potential source of human infection and an appropriate biological model for analyzing T. gondii dynamics in the environment. Here, we aimed to identify environmental factors explaining the seroprevalence of toxoplasmosis in French wild boar populations. Considering 938 individuals sampled from 377 'communes', overall seroprevalence was 23% (95% confidence interval: [22-24]). Using a Poisson regression, we found that the number of seropositive wild boars detected per 'commune' was positively associated with the presence of European wildcats (Felis silvestris) and moderate winter temperatures.

Published
2012
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7. Bovine tuberculosis in 'Eurasian' badgers (Meles meles) in France

Author

Eric Gueneau, Jean Louis Moyen, Maria Laura Boschiroli, Barbara Dufour, Thomas Rambaud, Emmanuelle Gilot-Fromont, Ariane Payne, Jean Hars, Biodémographie évolutive, Département écologie évolutive [LBBE], Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), and Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)

Subjects
Veterinary medicine, Microbiological culture, Badger, 040301 veterinary sciences, animal diseases, [SDV]Life Sciences [q-bio], Management, Monitoring, Policy and Law, Meles, law.invention, 0403 veterinary science, law, biology.animal, Genotype, Bovine tuberculosis, Ecology, Evolution, Behavior and Systematics, Polymerase chain reaction, Nature and Landscape Conservation, Mycobacterium bovis, biology, Ecology, 0402 animal and dairy science, 04 agricultural and veterinary sciences, bacterial infections and mycoses, biology.organism_classification, 040201 dairy & animal science, 3. Good health, Variable number tandem repeat
Abstract

In France, several surveillance programmes have been carried out to monitor the presence of bovine tuberculosis (bTB) in badgers in regions where cattle or wildlife show high bTB prevalence (Seine-Maritime, Cote d’Or, Dordogne/Charente). Diagnostic methods include post-mortem examination, polymerase chain reaction (PCR) and/or microbiological culture. The frequency of visible lesions was significantly higher in Dordogne/Charente (14/283, 4.9 %) than in Cote d’Or (19/1146, 1.7 %) and Seine-Maritime (2/160, 1.25 %) (Fisher’s exact test, p < 0.001). Lesions were mainly located in cephalic and thoracic lymph nodes with one badger showing generalised tuberculosis. Near infected cattle farms or pastures, Mycobacterium bovis was detected using the culture method in roughly 1 % (1/103) of the badgers sampled in Seine-Maritime and in 5.6 % (49/878) of the badgers sampled in Cote d’Or. In Dordogne/Charente, the prevalence determined by PCR was 13.3 % (29/218). M. bovis was not found in badgers trapped in areas where there are no infected cattle. Spoligotyping and multiple locus variable number tandem repeat analysis showed that all M. bovis strains isolated from badgers were of the same genotype as those isolated from cattle in the vicinity, demonstrating an epidemiological link between both species. These are the first cases of bTB in badgers reported in France. Further surveys and research are needed to investigate the role badgers play in the epidemiology of bTB.

Published
2012
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8. Bovine tuberculosis in livestock and wild boar on the mediterranean island, Corsica

Author

François Casabianca, Christian Ducrot, Céline Richomme, Maria Laura Boschiroli, Jean Hars, Duchene, Marie-José, Laboratoire d'études et de recherches sur la rage et la pathologie des animaux sauvages, Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA), Laboratoire de Recherches sur le Développement de l'Elevage (LRDE), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Unité sanitaire de la Faune, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, and Unité de Recherche d'Épidémiologie Animale (UR EpiA)

Subjects
Male, animal domestique, Veterinary medicine, Swine, [SDV]Life Sciences [q-bio], ZOONOSIS, law.invention, [SHS]Humanities and Social Sciences, 0403 veterinary science, law, Zoonoses, Genotype, EPIDEMIOLOGY, WILD BOAR, Swine Diseases, 0303 health sciences, Mycobacterium bovis, Ecology, biology, Zoonosis, transmission, 04 agricultural and veterinary sciences, 3. Good health, Transmission (mechanics), épidémiologie, Livestock, Female, France, CORSICA, zoonose, EPIDEMIOLOGIE, Tuberculosis, TUBERCULOSE BOVINE, 040301 veterinary sciences, Wildlife, Animals, Wild, betail, MYCOBACTERIUM BOVIS, CORSE, animal sauvage, 03 medical and health sciences, Wild boar, biology.animal, medicine, Animals, BOVINE TUBERCULOSIS, TRANSMISSION A L'HOMME, Ecology, Evolution, Behavior and Systematics, 030304 developmental biology, [SDV.BA.MVSA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology/Veterinary medicine and animal Health, business.industry, SUS SCROFA, [SDV.BA.MVSA] Life Sciences [q-bio]/Animal biology/Veterinary medicine and animal Health, medicine.disease, biology.organism_classification, business, porc
Abstract

International audience; The zoonotic agent of bovine tuberculosis (bTB), Mycobacterium bovis, can be transmitted between domestic and wild animals, threatening wildlife populations and control programs for bTB in cattle. In Corsica, a French Mediterranean island where domestic and wild species have close interactions, bTB cases have been reported in cattle, pigs, and wild boar. Moreover, genotypes of M. bovis found in wild and domestic animals from the same area were identical. These data strongly suggest that wild and domestic animals are associated in an epidemiologic bTB-transmission cycle. More investigations are needed, not only to understand the role played by each species in order to implement appropriate control measures, but also to assess the risk of transmission to humans.

Published
2010

9. Surveillance du virus West Nile en France dans les départements du pourtour méditerranéen, 2003-2006

Author

Alexis Armengaud, Valérie Cicchelero, Isabelle Capek, Pascal del Giudice, Karine Mantey, Alexandra Mailles, Joël Deniau, Hervé Zeller, Hugues Tolou, Isabelle Schuffenecker, Marc Grandadam, Jean-Paul Durand, Eric Cua, Véronique Vaillant, Chantal Gloaguen, Marie-Claire Paty, Florian Franke, Gwenola Gourvellec, Jérôme Languille, Stephan Zientara, Jean Hars, Francis Schaffner, Christophe Lagneau, Ambert, Grégory L., Pierre Gallian, Philippe de Micco, Philippe Malfait, Cellule Interrégionale d'Epidémiologie, Institut de Veille Sanitaire (INVS), Centre Hospitalier Intercommunal, Centre national de Référence et Centre Collaborateur de l'OMS Arbovirus (CNR-CCOMS), Institut Pasteur [Paris], Service de Santé des Armées, Centre Hospitalier Universitaire de Nice (CHU Nice), Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé, Ministère de l’Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche (MAAP), Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA), Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), Entente Interdépartementale pour la Démoustication du Littoral Méditerranéen, Etablissement Français du Sang, and Institut Pasteur [Paris] (IP)

Subjects
SURVEILLANCE ÉPIDÉMIOLOGIQUE, VIRUS WEST NILE, [SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology
Abstract

International audience; After West Nile virus (WNV) reappeared in Camargue in September 2000, a multi species surveillance system was first set up in three districts in 2001. It was then extended to the entire French Mediterranean costal areas at the end of 2003. The integrated surveillance system was jointly coordinated by the ministry of health and the ministry of agriculture. It combined a multidisciplinary approach, involving; human, equine, avian and entomological surveillance. Between 2003 and 2006, WNV was detected in three occurrences; in the district of Var in summer 2003 with 7 human cases and 4 equine cases; in Camargue in September 2004 with 32 equine cases and 13 birds’ seroconversions, and finally in the district of Pyrénées-Orientales at the end of September 2006 with 5 equine cases. The virus circulation was limited in time and space. Control measures were implemented in the West Nile outbreak districts, integrating local antivectorial activities, prevention individual measures (against mosquito-bites) and restriction on blood donations.; Après le retour du virus West Nile (VWN) en Camargue en septembre 2000, une surveillance multi espèces a été mise en oeuvre en 2001 dans les trois départements camarguais pour être étendue fin 2003 et ultérieurement à l’ensemble du pourtour méditerranéen. Ce dispositif de surveillance du VWN VWN, coordonné par les ministères de la santé et de l’agriculture, combine une approche pluridisciplinaire avec des volets ; humain, équin, aviaire et entomologique. De 2003 à 2006, le VWN a été détecté à trois reprises ; dans le département du Var en été 2003 avec 7 cas humains et 4 cas équins, à nouveau en Camargue en septembre 2004 avec 32 cas équins et 13 séroconversions aviaires et dans le département des Pyrénées-Orientales fin septembre 2006 avec 5 cas équins. La circulation virale est restée localisée dans le temps et dans l’espace. La souche virale a été identifiée en 2004 chez les oiseaux. Des mesures de contrôle ont été mises en oeuvre dans les départements touchés par le VWN, intégrant des actions ciblées de démoustication, des mesures de prévention individuelle contre les piqûres de moustiques et des restrictions de dons du sang.

Published
2007

10. Long-term monitoring of classical swine fever in wild boar (Sus scrofa sp.) using serological data

Author

Xavier Pacholek, Jacques Barrat, Marc Artois, Catherine Crucière, Sophie Rossi, Emmanuelle Fromont, Jean Hars, Dominique Pontier, Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Ecoépidémiologie évolutionniste, Département écologie évolutive [LBBE], Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Biodémographie évolutive, and Inconnu

Subjects
Veterinary medicine, [SDV.OT]Life Sciences [q-bio]/Other [q-bio.OT], Swine, 040301 veterinary sciences, [SDV]Life Sciences [q-bio], classical swine fever, serology, Animals, Wild, [SDV.BC]Life Sciences [q-bio]/Cellular Biology, Persistence (computer science), Serology, 0403 veterinary science, 03 medical and health sciences, Wild boar, Seroepidemiologic Studies, biology.animal, [SDV.BC.IC]Life Sciences [q-bio]/Cellular Biology/Cell Behavior [q-bio.CB], medicine, Animals, Seroprevalence, ComputingMilieux_MISCELLANEOUS, Epizootic, 030304 developmental biology, 0303 health sciences, General Veterinary, biology, Incidence, Incidence (epidemiology), [SDV.BA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology, [SDV.BBM.BM]Life Sciences [q-bio]/Biochemistry, Molecular Biology/Molecular biology, 04 agricultural and veterinary sciences, biology.organism_classification, medicine.disease, 3. Good health, spatial, monitoring, [SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics, [SDV.MP]Life Sciences [q-bio]/Microbiology and Parasitology, Classical Swine Fever Virus, Classical swine fever, Population Surveillance, [SDV.IMM]Life Sciences [q-bio]/Immunology, [SDV.NEU]Life Sciences [q-bio]/Neurons and Cognition [q-bio.NC], [SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie, France, Viral disease, wild boar
Abstract

International audience; In the European Community, epizootics of classical swine fever (CSF) in the wild boar (Sus scrofa) are compulsorily monitored because transmission may occur between wild boars and domestic pigs, causing heavy economic losses to the pork industry. The estimation of incidence in populations of wild boars is generally based on viroprevalence. However, viral isolation becomes rare when the incidence is low because the virus cannot be detected for more than a few weeks following infection. On the contrary, seroprevalence is detectable at low incidence levels, because antibodies can be detected for the lifetime of the infected animal. We thus attempted to analyse the long-term evolution of CSF incidence using serological data. The data came from France, where CSF had been monitored from 1992 to 2002, and where the virus has not been detected since 1997. We assumed that the overall seroprevalence would estimate the proportion of immune wild boars, that seroprevalence in juveniles would approximate incidence and that seroprevalence in different age classes would show the evolution of incidence in a given cohort. Spatial and temporal trends of incidence and seroprevalence were explored using logistic modelling and the spatial trend was analysed using polynomial regression. In 1992, incidence peaked in the northern area. After 1993, incidence decreased but remained the highest in the northern area. After 2000, no seropositive juvenile was observed, suggesting the extinction of the epizootic. Our results support the reliability of serological monitoring since it allowed a longer detection of viral transmission and provided more information on the spatio-temporal evolution of incidence than did viral isolation. We advocate that the highest persistence of infection in northeastern France is not independent from infection persistence in Reinland-Pfalz (Germany). Such persistence may be due to favourable local conditions and/or the social organisation of wild boars.

Published
2005
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11. An individual-based model to assess the spatial and individual heterogeneity of Brucella melitensis transmission in Alpine ibex

Author

Sophie Rossi, Pascal Marchand, Bruno Garin-Bastuji, Elodie Petit, Sébastien Lambert, Dominique Gauthier, Emmanuelle Gilot-Fromont, Carole Toïgo, Jean-Michel Gaillard, Anne Thébault, Systèmes de Référence Temps Espace (SYRTE), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Observatoire de Paris, Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Biodémographie évolutive, Département écologie évolutive [LBBE], Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), Cibles et médicaments de l'infection, de l'immunité et du cancer (IICiMed), Université de Nantes - UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques, Université de Nantes (UN)-Université de Nantes (UN), UNIROUEN - UFR Santé (UNIROUEN UFR Santé), Université de Rouen Normandie (UNIROUEN), Normandie Université (NU)-Normandie Université (NU), Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), Direction de l'Evaluation des Risques (DER), This work was performed using the computing facilities of the CC LBBE/PRABI and of the CC IN2P3, and performed within the framework of the LABEX ECOFECT (ANR-11-LABX-0048) of Université de Lyon, within the program 'Investissements d'Avenir' (ANR- 11-IDEX-0007) operated by the French National Research Agency (ANR). The authors want to thank the scientific experts of the ANSES working groups on brucellosis of Alpine ibex in the Bargy massif, and especially Jean-Pierre Ganière and José-Maria Blasco, who helped for the range values of parameters for the sensitivity analysis. The authors also want to thank the field technicians and researchers, especially Jean Hars, from the French Wildlife and Hunting Agency (ONCFS), who performed monitoring and management of the Alpine ibex population. The authors are also grateful to Elizabeta Vergu and Benoit Durand for their precious insights with the design of the ABC calibration, to Vincent Miele for his help optimising the code of the model, to Christian Willisch for answering questions about Alpine ibex mating tactics and to Clément Calenge for his analyses of the social structure of Alpine ibex in our population. They also thank an anonymous referee for constructive comments on a previous version., ANR-11-LABX-0048,ECOFECT,Dynamiques eco-évolutives des maladies infectieuses(2011), Cibles et Médicaments des Infections et de l'Immunité (IICiMed), and Direction de la Stratégie et des Programmes (DSP)

Subjects
0106 biological sciences, education.field_of_study, Capra ibex, biology, Individual heterogeneity, 010604 marine biology & hydrobiology, Ecological Modeling, Population, biology.organism_classification, 010603 evolutionary biology, 01 natural sciences, 3. Good health, Spatial heterogeneity, law.invention, Individual based, Transmission (mechanics), law, Evolutionary biology, Spatial variability, [SDE.BE]Environmental Sciences/Biodiversity and Ecology, education, ComputingMilieux_MISCELLANEOUS, Brucella melitensis
Abstract

Heterogeneity of infectious disease transmission can be generated by individual differences in the frequency of contacts with susceptible individuals, in the ability to transmit the infectious agent or in the duration of infection, and by spatial variation in the distribution, density or movements of hosts. Identifying spatial and individual heterogeneity can help improving management strategies to eradicate or mitigate infectious diseases, by targeting the individuals or areas that are responsible for most transmissions. Individual-based models allow quantifying the respective role of these sources of heterogeneity by integrating potential mechanisms that generate heterogeneity and then by tracking transmissions caused by each infected individual. In this study, we provide an individual-based model of endemic brucellosis Brucella melitensis transmission in the population of Alpine ibex (Capra ibex) of the Bargy massif (France) by taking advantage of detailed information available on ibex population dynamics, behaviour, and habitat use, and on epidemiological surveys. This host-pathogen system is expected to be subject of both individual and spatial heterogeneity. We first estimated the transmission probabilities, hitherto unknown, of the two main transmission routes of the infection (i.e., exposure to infectious births/abortions and venereal transmission). Then, we quantified heterogeneity at both individual and spatial levels. We found that both transmission routes are not negligible to explain the data, and that there is a high amount of heterogeneity of the host-pathogen system at the individual level, with females generating around 90% of the new cases of brucellosis infection. Males transmit infection at a lesser extent but still play a non-negligible role because they move between subpopulations and thereby create opportunities for spreading the infection spatially by venereal transmission. Two particular socio-spatial units are hotspots of transmission, and act as sources of transmission for the other units. These results may have important implications for disease management strategies.

Published
2020
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