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The Séolane is a university centre that welcomes tourists and researchers, some of whom are on holiday. Located in Barcelonnette, a French town in the Alpes-de-Haute-Provence region, this unique tourist attraction featuring scientific culture has led the centre’s researchers to conduct asocial experiment and scientific mediation in close connection with their professional environment. In order to answer the question of the cultural, psychological and social function of this research, this article presents a constructivist and systemic epistemological approach to social representations that are based on the human experience of participating in tourism and the research missions at the centre. Through documenting this scientific activity by means of qualitative analysis, this paper posits that the Séolane’s scientific tourism opens up a line of questioning on responsible mountain tourism that has not yet been researched within the framework of a transition to recreational use., Le Séolane est un pôle universitaire qui accueille touristes et chercheurs, dont certains en vacances. Situé à Barcelonnette, ville française des Alpes-de-Haute-Provence, ce système touristique original de mise en culture scientifique a conduit les acteurs du pôle à produire une expérimentation sociale et des médiations scientifiques en lien très étroit avec leur environnement professionnel. Pour répondre à la question de leurs fonctionnements culturel, psychique ou social, cet article s’appuie sur une approche épistémologique constructiviste et systémique des représentations sociales modélisées au travers de l’expérience humaine participant à des actions touristiques et des missions de recherche au pôle. Documentant cette activité montagnarde par l’analyse qualitative, ce tourisme scientifique ouvre à un questionnement sociopolitique portant sur un tourisme montagnard responsable qui reste à concevoir, dans le cadre d’une transition récréative.

La proposition Points de vue sur le monde exploite des approches singulières de la figuration de la terre au service de la valorisation de lieux particuliers. Il s'agit de les placer au centre du monde à travers des opérations cartographiques qui combinent une démarche artistique avec une médiation scientifique. Pour chaque lieu – espace public, jardin, édifice… –, l'opération est singulière en ce sens qu'elle est basée sur sa géométrie et sur sa position sur le globe terrestre. Les expressions cartographiques qui en résultent invitent au questionnement, à la découverte et à l'investigation par le décentrement du point de vue qu'elles proposent.

La proposition Marseille et la Canebière – Echelles du monde, a pour objectif de transformer la principale avenue de Marseille – La Canebière – en une échelle de mesure du tour de la terre. A partir de cette base, il s’agit de développer sur les quartiers environnants une projection particulière du monde.. Par la combinaison d'une médiation scientifique et d'interventions artistiques, la proposition invite les Marseillais et les visiteurs à prendre la mesure et l'orientation du monde à travers un voyage à géométrie variable.

Pour cette seconde émission consacrée à Belle-île-en-Mer, nous nous sommes intéressés au fonctionnement de l'agriculture belliloise, à ses dynamiques et à ses difficultés. 36 exploitations agricoles existent aujourd'hui sur l'île, notamment spécialisées dans la production de lait qui est exportée sur le continent, et la production de viande de moutons et bovins. Les entrepreneurs que nous avons rencontrés proposent de nouvelles formes de valorisation des productions, avec des projets de transformation et de vente locale notamment. Les acteurs du secteur agricole se sont également réunis pour protéger ensemble le foncier et imaginer de nouvelles formes de commercialisation du lait.

Le magazine ID-îles prend place dans le cadre du projet ID-îles (Initiatives et Développement dans les îles du Ponant) mené par l'Université de Bretagne Occidentale. Il est réalisé par deux géographes du laboratoire LETG (UMR 6554) en collaboration avec la télévision locale Tébéo. Il vise à transmettre les résultats du programme de recherche ID-îles et encourager les échanges entre les îles. Ce quatorzième numéro de ID-îles Magazine est consacré à Bréhat, la seule île habitée à l'année et au statut communal du département. On interroge notamment les questions de résidences secondaires, de paysage et d'activités qui leur sont liées.

Le magazine ID-îles prend place dans le cadre du projet ID-îles (Initiatives et Développement dans les îles du Ponant) mené par l'Université de Bretagne Occidentale. Il est réalisé par deux géographes du laboratoire LETG (UMR 6554) en collaboration avec la télévision locale Tébéo. Il vise à transmettre les résultats du programme de recherche ID-îles et encourager les échanges entre les îles. Ce douzième numéro de ID-îles Magazine est consacré à Belle-Île-en-Mer, la plus grande des îles du Ponant. Il questionne les dynamiques sociales et économiques de cette île dont la population augmente nettement depuis le début des années 1980. On s’intéressera notamment à la question de la médecine insulaire, puisque l’île comporte un hôpital qui va être rénové cette année et qui est le plus gros employeur de l’île. Cette émission s’intéresse particulièrement aux initiatives qui s’inscrivent dans le cadre de l’économie sociale et solidaire, avec la verrerie d’art Fluïd au statut de SCOP mais également avec l’exemple de trois associations créatrices d’emploi et de services pour les Bellilois : le Chtal et sa ressourcerie, De Vous à Nous pour les services à la personne et l’école de musique La Puce à l’Oreille.

Le magazine ID-îles prend place dans le cadre du projet ID-îles (Initiatives et Développement dans les îles du Ponant) mené par l'Université de Bretagne Occidentale. Il est réalisé par deux géographes du laboratoire LETG (UMR 6554) en collaboration avec la télévision locale Tébéo. Il vise à transmettre les résultats du programme de recherche ID-îles et encourager les échanges entre les îles.Ce 7ème épisode s'intéresse plus particulièrement aux "grandes" entreprises insulaires, c'est-à-dire les entreprises qui comptent plus de 6 salariés, et qui exportent leur marchandise sur le continent. Cette problématique est abordée à travers l'exemple de Ultimate Fishing à Belle-îles-en-Mer, de Groix et Nature sur l'île de Groix et de Yeu Marée sur l'île d'Yeu.

Le magazine ID-îles prend place dans le cadre du projet ID-îles (Initiatives et Développement dans les îles du Ponant) mené par l'Université de Bretagne Occidentale. Il est réalisé par deux géographes du laboratoire LETG (UMR 6554) en collaboration avec la télévision locale Tébéo. Il vise à transmettre les résultats du programme de recherche ID-îles et encourager les échanges entre les îles.Île la plus proche du continent parmi les îles du Ponant, l'Île-aux-Moines est une des deux îles habitées du golf du Morbihan. En forme de croix, ses 4 pointes sont des espaces naturels. On s'intéresse avec François de Beaulieu aux différentes activités qui ont marqué l'évolution de ce territoire mais aussi au rôle des associations dans le maintien de la vie insulaire et aux possibilités de télétravail.

Ce poster présenté lors du festival des Insulaires 2016 et envoyé dans chacune des communes des îles du Ponant vise à faire le point sur la première année de l'expérience de médiation scientifique ID-îles Magazine. Cette expérience est réalisée et analysée dans le cadre d'une thèse CIFRE avec la télévision locale Tébéo. Elle pose la question de la perception et des conséquences du magazine sur les territoires insulaires et leurs dynamiques.

Faiblesses et possibilités de médiation scientifique en Haut-Vallespir et enjeux d'un haut lieu des Pyrénées catalanes pour la diffusion des sciences de la Terre

International audience; La médiation scientifique, anciennement nommée vulgarisation, représente une pierre importante à l'édifice d'un dialogue entre les sciences de la Terre et la société. Dans ce cadre les sites géologiques et géomorphologiques d'intérêt mis en tourisme semblent un moyen prometteur d'atteindre les publics. Cette communication concerne les sites de géotourisme en Pyrénées orientales dont le sommet du Canigou représente « la montagne sacrée ». Il s'agit de plusieurs cavités aménagées (Fontrabiouse, les Grandes Canalettes) et plus particulièrement les Gorges de la Fou : un profond canyon mis en tourisme par un ensemble d'aménagements (escaliers, passerelles, filet métallique de protection...) qui permettent la visite sécurisée à tous les publics (75 000 à 100 000 visiteurs par an) et les Orgues d'Ille-sur-Têt : un ensemble de cheminées de fée (50 000 à 61 000 visiteurs par an) qui se trouve l'un des paysages les plus photographiés du Roussillon au moment des pêchers en fleurs sur fond de Canigou enneigé. Ce travail présente le fonctionnement des deux sites, leur commercialisation, patrimonialisation et enjeux paysagers. Effectivement, l'explication de la formation géomorphologique des Orgues d'Ille-sur-Têt et du creusement des roches au lieu-dit des Gorges de la Fou permettrait de reconstituer l'histoire des reliefs en Pyrénées orientales, la formation du Canigou, et l'effet d'érosion qui dessine le paysage. Par suite, la communication détaille la médiation scientifique dont ils sont ou non porteurs ? Bref, comment ces sites aident –ou pourraient aider– la fréquentation touristique présente dans le département à répondre à la question : le Canigou est-il un volcan africain ?

Ce travail propose une étude géographique et ethnographique du site des Gorges de la Fou : un canyon des Pyrénées orientales en France mis en tourisme par un ensemble d'aménagements (escaliers, passerelles, filet métallique de protection...) qui permettent la visite sécurisée pour tous les publics. Cet aménagement lourd du milieu naturel suscite une controverse paysagère. L'article présente le fonctionnement du site, les acteurs locaux du tourisme et la fréquentation (environ 80 000 visiteurs par an). L'étude met en évidence la non-médiation scientifique au profit d'une animation culturelle des Gorges, puis l'activation de ce géomorphosite en ressource territoriale.