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Research has shown that hiring discrimination towards older job applicants is a severe problem in Belgium. However, little is known about the reasons for this form of discrimination. In this study, we present a vignette experiment conducted among 193 Flemish HR professionals to empirically investigate which stereotypes and attitudes towards older job candidates explain age discrimination in hiring practices. Each participant assessed five fictitious job candidates on a number of characteristics. This resulted in 965 sets of observations. Our results indicate that recruiters associate an older age mentioned in a CV with lower physical capacities, less technological know-how, lower flexibility, lower trainability and a higher degree of reliability. Additionally, recruiters presume that other employees will be less inclined to collaborate with older job candidates. Of these different age signals, the perceptions of flexibility and technological know-how serve as the main explanations for the negative effect of one's age on one's hiring opportunities. Furthermore, we find that discrimination is more severe in jobs that are associated with high physical effort. This study is socially relevant since the effectiveness of anti-discrimination policies depends on the extent to which these policies respond to the mechanisms and moderators underlying discrimination. Onderzoek heeft aangetoond dat discriminatie in het wervings- en selectieproces ten aanzien van oudere kandidaten die solliciteren voor een baan (jobkandidaten), een groot probleem is in België. Over de redenen voor deze discriminatie is echter nog weinig bekend. In deze studie presenteren we een vignettenexperiment uitgevoerd bij 193 Vlaamse HR-professionals om na te gaan welke stereotypen en attituden ten aanzien van oudere jobkandidaten leeftijdsdiscriminatie in werving en selectie verklaren. Elke participant beoordeelde vijf fictieve jobkandidaten op een aantal kenmerken. Dit resulteerde in 965 sets met observaties. De resultaten laten zien dat recruiters een oudere leeftijd op een cv associëren met lagere fysieke capaciteiten, minder technologische knowhow, een lagere flexibiliteit, een lagere trainbaarheid en een hogere mate van betrouwbaarheid. Daarnaast vermoeden recruiters dat andere werknemers minder graag zullen samenwerken met oudere jobkandidaten. Van deze verschillende leeftijdssignalen fungeren de percepties omtrent flexibiliteit en technologische knowhow als voornaamste verklaringen voor het negatieve effect van iemands leeftijd op diens tewerkstellingskansen. Bovendien vinden we dat leeftijdsdiscriminatie sterker is in beroepen die worden geassocieerd met hoge fysieke inspanning. Deze studie is maatschappelijk relevant daar de effectiviteit van antidiscriminatiebeleid afhangt van de mate waarin dit beleid inspeelt op de mechanismen en moderatoren onderliggend aan discriminatie.

This study is the first to estimate the effects of the sending-off of a player on the full time results in international club soccer. To this end, we analyse data of more than 2,000 recent games in the UEFA Champions League and UEFA Europa League. We find that when home teams receive a red card, it harms their goal scoring and victory probabilities. By contrast, a red card for away teams can have a positive, negative, or neutral effect for them, depending on the timing of the player dismissal.

We investigate whether interventions by (a) medical doctors and (b) occupational specialists are effective in reducing sick leave durations among self‐employed workers. Therefore, we exploit unique administrative data comprising all sick leave claims by self‐employed workers insured with a major Dutch private insurer between January 2009 and March 2014. We estimate a multivariate duration model dealing with nonrandom selection into the two intervention types by controlling for observable and unobservable claimant characteristics. We find adverse treatment effects for both interventions, irrespective of whether they are started early or (middle) late in the sickness spell.

Recent evidence from large-scale field experiments has shown that employers use job candidates' unemployment duration as a sorting criterion. In the present study, we investigate what underlies this pattern. To this end, we conduct a survey experiment in which employers make hiring decisions concerning fictitious job candidates who have experienced spells of unemployment of different length. In addition, candidates are rated on several statements that are central to four signals often associated with unemployment: (i) a signal of trainability, (ii) a signal of other fixed skills, (iii) a signal of skill loss, and (iv) a signal of negative evaluation by other employers. We use these ratings to estimate a multiple mediation model, in which the effect of the duration of unemployment on hiring intentions is mediated by the four signals. Our findings indicate that longer unemployment spells are mainly perceived by employers as a signal of lower motivation and, as a result, the long-term unemployed (LTU) have lower chances to be hired or even be invited to a job interview. Understanding the reasons why employers are reluctant to hire the LTU is crucial to devise proper activation measures to facilitate their re-employment. Our study is a contribution in this direction.

Plus de 70 % des ménages belges sont propriétaires de leur logement. Un chiffre qui situe notre pays dans le peloton de tête du classement européen. La propriété immobilière confère une série d’avantages : elle permet aux personnes de garder un niveau de vie décent pendant leur retraite et elle agit positivement sur le développement urbain et la formation des réseaux sociaux. Pourtant, la propriété immobilière peut entraver l’accès au marché du travail. Les coûts de transaction très élevés associés à l’achat et à la vente d’une habitation ont pour effet de rendre les propriétaires géographiquement moins mobiles que les locataires. En cas de perte d’emploi, les opportunités d’embauche pour les propriétaires seront donc moins nombreuses, ce qui peut entraîner un allongement de la durée d’inoccupation des propriétaires comparativement aux locataires. Stijn Baert, Freddy Heylen et Daan Isebaert, chercheurs à l’Université de Gand, ont précisément tenté de mesurer si le fait d’être propriétaire de son logement a pour effet de ralentir la réinsertion en emploi. Parmi les propriétaires, une distinction a été opérée entre ceux avec ou sans crédit hypothécaire en cours. L’étude se base sur un échantillon d’environ 1.000 citoyens belges dans les années 2000. L’étude révèle que les personnes qui sont entièrement propriétaires restent le plus longtemps inoccupées, au contraire des propriétaires qui présentent des caractéristiques similaires mais qui sont encore en charge d’un emprunt hypothécaire. La durée d’inoccupation des locataires occupe une position intermédiaire. En termes concrets, les propriétaires sans crédit hypothécaire présentent une probabilité de sortir du chômage de 23 % inférieure à celle des locataires et de 39 % inférieure à celle des créanciers hypothécaires. Ce résultat peut s’expliquer de la façon suivante. Les frais de logement sont les plus bas pour les personnes entièrement propriétaires et les plus élevés pour les personnes qui remboursent encore leur prêt hypothécaire. Le revenu disponible après déduction des frais de logement sera dès lors, en moyenne, plus faible pour les détenteurs de prêts hypothécaires. Par ailleurs, ces derniers courent le risque de perdre leur habitation en cas de revenu insuffisant. C’est donc les créanciers hypothécaires qui sont le plus incités financièrement à chercher du travail. Recommandations politiques Les auteurs formulent quelques recommandations de politique économique basées sur les résultats de leur étude : La poursuite de la réduction de la déductibilité fiscale des emprunts hypothécaires (le «bonus-logement»). Une baisse des frais d’acquisition d’un logement conjuguée à un relèvement du précompte immobilier. Une prime au déménagement à une distance supérieure à un certain seuil et sous certaines conditions bien définies.

Uit experimenteel onderzoek blijkt dat zowel aantrekkelijkheid als persoonlijkheidskenmerken succes op de arbeidsmarkt bepalen. Bovendien gelden ze als substituten voor elkaar: gepercipieerde betrouwbaarheid heeft een grotere impact op de kansen dat minder aantrekkelijke kandidaten aangenomen worden. Het is aan de overheid om enerzijds werkzoekenden hiervan bewust te maken en anderzijds eventuele discriminatie door werkgevers terug te dringen.

Tout comme les pays scandinaves et l'Autriche, la Belgique connait un taux de syndicalisation assez élevé. Un peu plus de 50 % des salariés belges sont membres d'un syndicat (http://www.uva-aias.net/208). Par ailleurs, le niveau de syndicalisation est plus élevé parmi les salariés jeunes et âgés que parmi ceux d'un âge intermédiaire (Van Rie et al., 2011). Plus important encore, le taux de couverture, à savoir la fraction des salariés dont les conditions d'emploi sont régies par une convention collective de travail, est de l'ordre de 90 % en Belgique (http://www.uva-aias.net/208). Enfin, dans notre pays, les syndicats gardent un rôle important dans l'octroi des allocations de chômage (Van Rie et al., 2011). De ce fait, les syndicats constituent un acteur incontournable sur le marché du travail belge.