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Le mode d'établissement d'une prairie dépend largement du niveau d'intensification du système d'élevage et du contexte économique. Dans les systèmes de production extensifs ou mobilisant peu de moyens, comme c'est le cas dans les pays tropicaux, l'établissement des cultures fourragères utilise les modes traditionnels de culture ou la traction animale et les prairies sont le plus souvent exploitées directement par les animaux. Dans ce chapitre est rappelé la diversité des situations et exposé les conditions d'établissement des prairies puis les itinéraires techniques.

Cette expérimentation conduite à Rurutu permet de vérifier l'adaptation de la culture du brocoli sur cette île. La méconnaissance des caractéristiques de la récolte a induit des rendements faibles qui ne permettent pas une appréciation réelle des variétés en comparaison. Certains producteurs souhaitent néanmoins renouveler ce type d'expérimentation

Ce rapport présente les résultats obtenus pour la carotte à travers les comparaisons de diverses variétés introduites avec les deux variétés les plus cultivées localement, à savoir "danver" et "new kuroda". Les variétés "royal cross", "caroline" et "terracotta" offrent des possibilités d'élargissement de la gamme

Ce rapport présente les résultats obtenus pour le chou pommé à travers la comparaison de 6 variétés avec les 2 variétés les plus cultivées localement, à savoir "green coronet" et "resist crown". La variété "topmost" se présente comme une possibilité d'élargissement de la gamme. Sa forme arrondie est une originalité. Sa fermeté permet une bonne conservation au cours du transport et jusqu'à la vente au consommateur

Rapport d'une visite d'expertise technique, durant laquelle les principaux points étudiés ont été : les pertes en pépinières lors du dernier semis, et les précautions à prendre pour les prochains programmes; les techniques de rénovation (élimination des palmiers surnuméraires, préparation du terrain et plantation); la production et les prévisions pour 1995; l'entretien des parcelles jeunes et en production; l'état général des plantations adultes; les essais agronomiques (essais de fertilisation, mesures de hauteurs des palmiers)

Rapport de visite d'assistance technique, durant laquelle les points suivants ont été abordés : la préparation du matériel végétal, les jeunes plantations de palmiers à huile, la production et la récolte, la nutrition et la fertilisation, les problèmes de maladies et de ravageurs, les essais de fertilisation, l'intérêt de l'utilisation des rafles comme engrais organique

Résultats des essais menés dans le cadre de 3 opérations : établissement des plantations (densité et dispositif de plantation, 1 essai), relation plante-sol-climat (fertilisation des jeunes cultures, 5 essais), étude de la plante (étude du système racinaire, 2 essais)

Les agriculteurs camerounais de la province de l'Ouest pratiquent presque toujours la culture des légumineuses en association avec le maïs. Les deux plantes de l'association sont réparties d'une façon apparemment aléatoire sur toute la superficie cultivée. Les essais réalisés montrent que ce dispositif se justifie pleinement lorsque l'objectif premier est une production de maïs dans laquelle interviennent peu d'intrants. La récolte du soja n'est qu'un complèment appréciable qui valorise bien l'espace cultivé. Un dispositif intermédiaire dans lequel le soja est présent dans des lignes pures, mais aussi dans les lignes consacrées au maïs, semble être plus efficace. Ce dispositif laisse une place beaucoup plus importante au soja dans l'expression du land equivalent ratio (LER). D'autre part, il facilite la récolte du soja et les interventions en cours de culture, ce qui permet de cultiver des superficies plus importantes. Enfin, la disposition partielle en rang alternés rend aisé un apport d'azote minéral localisé au maïs, ce qui est aussi un facteur d'intensification. Ces essais remettent partiellement en cause la notion de plante dominée (le soja) et de plante dominante (le maïs), puisqu'il est possible d'intervenir sur la compétition entre deux plantes en modifiant la géométrie de semis

Le traitement au dibromochloropropane (DBCP) autorise des augmentations de rendements spectaculaires chez l'arachide en première année de rotation, puis sur les cultures suivantes. Ces résultats mis en évidence par les nématologistes de l'ORSTOM et la Direction de la protection des végétaux sénégalaise ont été jugés suffisamment prometteurs pour mettre en route une opération de recherche développement dont le but est de définir une technique permettant l'utilisation de la fumigation en milieu paysan. Au bout de trois années c'est chose faite et l'on peut penser à une nouvelle extension. Le changement de conditions amené par le traitement tant au point de vue production que système agraire pose comme préalable la connaissance des techniques culturales et de l'environnement qu'il a fallu étudier de ce point de vue phytosanitaire

Description succinte des activités des organismes visités : Instituto Technologio de Costa Rica (enseignement universitaire et recherche), Instituto Nacional de Aprendizage (enseignement professionnel d'ouvriers qualifiés et de techniciens en machinisme agricole)... Tournée de terrain dans le Guanacaste et présentation des problèmes particuliers du machinisme agricole dans cette région. Perspectives de coopération. Note sur les équipements agricoles (parc et son évolution) précédée d'une présentation de l'agriculture du Costa Rica

Termes de references de la mission : -etablir un diagnostic sur les itineraires techniques et les operations culturales pratiquees a Madagascar pour chaque type de culture et faire des propositions de modifications eventuelles et d'utilisation de nouveaux outils et materiels. -preparer les protocoles des tests des appareils retenus qui seront realises par MASYMA avec le personnel en place

Le document recense les matériels de culture attelée qui ont été introduits au Sénégal depuis 40 ans. Environ 80 outils simples et 10 outils polyvalents sont identifiés, pour chacun est apprécié le niveau de son adaptation technique et de son adoption par les paysans. Le rôle des organismes de recherche et de développement, des constructeurs industriels ou artisanaux, dans la mise au point de ces matériels est précisé. L'effort de recherche et de vulgarisation de la culture attelée et des pratiques qui lui sont liées, est mis en parallèle avec ses effets concrets sur le monde rural, pour tenter d'expliquer les causes de réussite et des échecs des tentatives de diffusion de matériels et des techniques d'élevage

Présentation des recherches visant à la conservation de l'eau de pluie dans les régions du tropique semi-aride brésilien. Les formes de préparation du sol expérimentées sont les suivantes : labour à plat, labours à plat avec billonnage au cours du dernier sarclage, billonnage, sillons cloisonnés, planches inclinées, labour partiel. Les matériels, les temps de travaux pour la préparation du sol, le semis et l'épandage et enfin la surface cultivée sont donnés pour chacune

L'auteur commence par donner la pluviométrie de l'année 1979 puis, dans des échantillons tirés au sort, l'état du parc (nul, attelé ou motorisé) en fonction du nombre d'actifs sur l'exploitation, 2) surfaces cultivées par actif. Ensuite, il étudie différents facteurs et en compare les résultats selon que la culture est manuelle, attelée ou motorisée. Ce sont : les dates de semis, le rendement du maïs, l'enherbement à la récolte et le type de terre pour le coton et le maïs, l'âge des parcelles, les disponibilité en céréales par actifs à la récolte, la durée de la période de récolte du coton, le taux d'emploi des actifs permanents en fonction de la durée calendaire, le nombre de jours de travail pour la récolte du coton, la fertilisation minérale et l'enherbement. Enfin, l'auteur se penche sur l'âge des installations de stockage et il conclut en donnant son opinion sur le type de culture convenant le mieux à chaque région, sur les problèmes de la récolte et les recherches à entreprendre

Cet ouvrage est plus particulièrement destiné aux cadres de terrain qui sont en contact direct avec les agriculteurs pour leur permettre de résoudre les problèmes pratiques courants. Après une introduction portant sur les efforts de traction nécessaires à différents travaux (labours, hersage, billonnage, transport...), l'auteur passe en revue 1) les animaux utilisables pour la traction (races, critère de choix, alimentation, description de la méthode de dressage, des jougs et harnachements adaptés à chaque espèce), 2) les pratiques culturales et les matériels (caractéristiques techniques, pièces détachées et pièces travaillantes, mode de fonctionnement) : charrues, cultivateurs, herses, semoirs, manèges, charrettes.... Il fait un chapitre sur des notions de mécanique et un sur l'organisation de stages pratiques (lieu et époque des stages, nombre de stagiaires, pédagogie). Les schémas correspondant à ces divers chapitres se trouvent dans le volume 2

Le but principal de la mission était d'apporter un appui méthodologique à l'ingénieur VSN responsable de la Section Machinisme, pour bâtir un programme autonome d'expérimentation et de prévulgarisation en culture attelée pour 1987-1988 et accessoirement en petite motorisation au Lac Alaotra (Madagascar) : 1) à partir d'un bilan de la situation actuelle (environnement, sols et matériels déjà utilisés) et des acquis récents (en riziculture, en culture sur tanety, en culture de contre-saison et, en machinisme agricole, à partir des matériels testés par J.C. Dagallier) , 2) en tenant compte des dernières commandes de matériels faites et 3) en intégrant dans ce programme la formation d'un jeune ingénieur malgache. L'auteur passe en revue les propositions de programme d'une part pour la cellule mécanisation en ce qui concerne les outils manuels et les matériels de culture attelée et de motorisation, d'autre part pour la formation et la vulgarisation

Edition en anglais de l'ouvrage original : le cotonnier en Afrique tropicale (coll. Le Technicien d'Agriculture Tropicale, éd. Maisonneuve et Larose 1986). Ce manuel pratique est destiné aux vulgarisateurs et aux producteurs de coton. Les informations concernent la plante elle-même, sa culture, et son produit. Elles sont adaptées tout particulièrement aux conditions de milieu et aux structures de l'agriculture africaine

Après un tour d'horizon rappelant les principales caractéristiques du milieu physique gabonnais et les problèmes rencontrés concernant l'érosion et la mauvaise adaptation des techniques culturales, l'auteur décrit l'expérience de la SAIEB sur le maïs et le soja, montre l'importance du choix de matériel et des techniques. Des techniques alternatives sont envisagées et concernent la lutte anti-érosive, la diminution du compactage des sols, emploi du chisel, de la herse..., le semis rapide avec la technique du travail minimum (minimum tillage...)