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Introduction L’EPP est une obligation legale et une necessite dans le domaine de l’endoscopie digestive. Cette EPP doit evaluer l’ensemble des procedures rentrant en jeu avant, pendant et apres l’acte. Une methode simple et reproductible d’EPP a ete developpee afin d’evaluer la qualite de la coloscopie [1]. Le but de ce travail prospectif a ete d’evaluer la faisabilite de cette methode dans des centres d’endoscopie de CHU, de CHG, de PS-PH et dans des cliniques privees. Patients et Methodes Le principe de cette methode a consiste a mettre au point et a remplir de facon prospective une « fiche coloscopie » permettant de verifier la qualite de l’indication de la coloscopie (referentiel ANAES 1999, 6 items), l’information du patient (3 items), les pathologies associees (valvulopathie, 1 item, referentiel SFED), et les medicaments a risque (AVK, antiagregants, referentiel SFED, 3 items). Cette feuille etait jointe lors de la coloscopie au CR d’endoscopie, et au CR d’anatomo-pathologie. Quatre criteres de qualite de la coloscopie ont ete retenus a partir du CR d’endoscopie et d’anatomo-pathologie joint a la fiche standardisee : la qualite de la preparation, le % de coloscopies completes, le nombre d’adenomes et d’adenomes avances par coloscopie. Neuf centres ont participe a cette etude prospective incluant 200 coloscopies consecutives par centre en 2008 : 3 CHU, 3 Cliniques privees, 2 CHG et 1 hopital militaire. Les 800 premieres coloscopies ont ete analysees et constituent les resultats preliminaires de cette etude. Resultats Le recueil du compte rendu de la coloscopie, de la « fiche coloscopie » et du compte rendu anatomopathologique etait respectivement de 100 %, 98 % et 99,5 %. Le taux de procedure complete (CR de coloscopie, fiche coloscopie et compte rendu anatomo-pathologique) etait de 95 %, 92 % et 100 % respectivement dans les CHU, CHG et cliniques privees. Les indications de la coloscopie etaient en accord avec l’ANAES dans 80 % des cas. Ont ete mis en evidence 7 % de preparation insuffisante, 91 % de coloscopie totale, 0,35 adenomes et 0,17 adenomes avances par coloscopie. Conclusion 1- Cette methode simple d’EPP de la coloscopie est possible quelle que soit la structure 2- Elle permet dans chaque centre une evaluation des differentes etapes de la coloscopie et valide l’EPP pour l’ensemble des endoscopistes du centre (methode validee lors de la certification V2 dans un centre). 3- Elle peut etre repetee chaque annee en tirant au sort un mois d’evaluation et permet ainsi de suivre l’evolution des pratiques dans chaque centre.

Defecography is a useful paraclinical examination to explore disturbances of continence or defecation. The purpose of this study was to present a simplified defecography technique and assess its validity in subjects without defecation problems (n = 10) and in patients complaining of idiopathic chronic constipation (n = 35). The anorectal angle at rest (RAA) and when straining at stool was not significantly different in constipated patients and in controls. Defecography often gave abnormal results. Anterior rectocele was found in almost 50 percent (17/35) of constipated patients and in 20 percent (2/10) of controls (P less than 0.05). None of the patients had posterior rectocele. Persistent imprint of the puborectal muscle during straining was present in 36 percent (9/35) of constipated patients and in 10 percent (1/10) of controls (NS). The imprint was not always associated with closure of the RAA between rest and straining; this closure was never found in controls but was observed in 6 out of 17 constipated patients (35 percent; P less than 0.05). Perineal descent (PD) varied from 0.6 to 3.7 cm (mean +/- s.e.m.: 2.0 +/- 0.63 cm) in controls, as against 0.6 to 7.9 cm (mean +/- s.e.m.: 2.7 +/- 0.45 cm) in constipated patients. In 24 percent of the constipated patients PD was greater than 3.7 cm (the maximum value recorded in controls). All constipated patients with closure of the RAA during defecation had a PD of less than 1 cm, thus confirming the concept of "pelvic floor muscle hypertonia". Disorders of rectal statics are more frequent in subjects with constipation, but their significance is varied. Some abnormalities could be the cause of constipation (e.g. anismus) and others its consequence (anterior rectal prolapse, anterior rectocele, PD).

Pseudomembranous colitis (pmc) is the most severe form and probably the last stage [35] of a spectrum of acute intestinal diseases due mainly to antibiotic administration and with in situ proliferation of toxigenic Clostridium difficile [7],[19].This pathogen seems also to be responsible for cases of pmc not linked to antibiotherapy [7,42](Table 1).