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Summary Introduction Self-medication of antibiotics among children is a very common problem in Tunisia. Its prevalence isn’t well established. The aims of this study are to evaluate parents’ knowledge concerning antibiotic use, and identify the factors associated with this problem. Patients and methods We conducted a cross-sectional study over a one year period (between August 2019 and July 2020). Data collection was performed using a questionnaire guided interview. We included parents of children consulting or hospitalized in the pediatric department of the university hospital Taher Sfar in Mahdia. Results A total of 354 parents were included with an average age of 36.4 ± 9.2 years. The average knowledge score was 2 ± 1.3 points. In fact, 61.6% of the parents had poor knowledge about antibiotics. The frequency of non-prescription antibiotics use among children was 20.6%. Amoxicillin was the most used antibiotic (72.6%). Sore throat, important fever and flu-like symptoms were the main symptoms justifying non-prescription antibiotic use among our pediatric population in 60.3%, 34.2% and 23.3% of cases respectively. The main reason of self-medication was the fact that the same antibiotic was once prescribed to treat the same symptoms (58.9%). The used antibiotic came from an old prescription for the same child in 57.5% of the cases and was recommended by the pharmacist in 39.7% of the cases. After multivariate analysis, the factors associated with parental self-medication with antibiotics were: the advanced parent's age, the ability to name an antibiotic and knowledge's score > 2. Conclusion Our study confirmed that parental knowledge about antibiotic use is low. In fact, the government should from one hand, organize antibiotic delivery and prohibit off the counter sells and in the other hand promote the education of the public through different procedures to stop this major health problem.

Introduction: Acute Longitudinally Extensive Transverse Myelitis (ALETM) poses a problem of etiological diagnosis. The etiologies are diverse; infectious, degenerative, inflammatory and auto-immune. Case report: We are presenting the case of a 19 years old patient, with no prior medical history. He presented with acute flaccid paraplegia, urinary retention and fecal incontinence. The magnetic resonance imaging concluded to ALETM and the etiological investigation allowed us to confirm the diagnosis of myelitis inaugurating systemic lupus erythematosus. The treatment was based on the association of corticoids, cyclophosphamides and four plasma exchanges. No real improvement in the neurological deficiency was noted. Conclusion: The lupus origin of ALETM, although rare, should be considered in young patients since it could, as in our case, the diagnostic circumstance of systemic lupus erythematosus. Keywords: myelitis; lupus erythematosus; systemic; paraplegia.

Primary tuberculosis of the tongue is very rare. The chronic ulceration is commonly misdiagnosed as a cancerous lesion. We report the case of a 44 years old immunocompetent woman who presented with a lingual chronic painful ulceration. The biopsy of the lesion showed a granulomatous inflammation, with caseous necrosis in the center. The ulceration healed after a 6 month tuberculosis treatment. Keywords: Tuberculosis; oral; immunocompetence; ulcer.

Introduction La corticotherapie systemique est largement prescrite chez le sujet âge. Cependant, sa prescription est heurtee a des complications metaboliques multiples. Le desequilibre glycemique a type d’induction, de revelation ou d’aggravation d’un diabete sucre represente une parmi les plus frequentes complications. Materiels et methodes Etude retrospective a propos de 40 patients ayant recu une corticotherapie prolongee (≥ 3 mois) dans un service de Medecine Interne sur une periode de 10 ans (2010–2020). Resultats Nous avons collige 40 patients avec un âge moyen de 72 ans et un sex-ratio H/F de 0,29. 37,5 % de ces patients sont deja connus diabetiques lors de l’introduction des corticoides. Un desequilibre glycemique etait note dans 35 cas (87,5 %) : il s’agissait d’une intolerance transitoire au glucose et un diabete cortico-induit chez 12 patients (30 %) pour chacun et un desequilibre d’un diabete anterieur chez 11 patients (27,5 %). Le traitement du diabete cortico-induit (DCI) consistait en plus des regles hygieno-dietetiques dans l’introduction de Metformine (quatre cas), de Sulfamides (trois cas) et de l’insuline (cinq cas). Le DCI avait disparu au cours de l’evolution de quatre patients. Pour les patients connus diabetiques une adaptation therapeutique etait faite par augmentation de la dose d’antidiabetiques oraux (sept cas), augmentation de la dose d’insuline (un cas), l’ajout d’une nouvelle classe d’antidiabetique oral (trois cas), et l’initiation d’une insulinotherapie (six cas). Conclusion Le desequilibre glycemique est une situation frequente chez les âges cortico-traites pouvant indiquer une prise en charge urgente. La fragilite du terrain impose une surveillance rapprochee clinique et biologique.

Introduction Les glucocorticoides sont connus pour leurs effets secondaires multiples notamment sur les metabolismes lipidique et glucidique. Notre objectif est de decrire l’evolution du bilan lipidique d’une population âgee sous forte dose de corticoides. Materiels et methodes Etude retrospective descriptive, menee au service de Medecine Interne, incluant 40 patients âges traites par une corticotherapie prolongee. Resultats L’âge moyen etait de 72 ans avec une nette predominance feminine (sex-ratio = 0,29). 20 %des patients sont connus dyslipidemiques avant l’initiation des corticoides. 31 patients avaient recu une corticotherapie orale et 9 avaient recu des boli de methyl-prednisolone relayes par une corticotherapie orale. 17 cas d’hyperlipemie etaient notes (42,5 % des cas) dont la majorite etaient des femmes (65 %). Il s’agissait d’une dyslipidemie cortico-induite ou revelee dans 12cas (30 %) et d’une aggravation d’une dyslipidemie anterieure dans 5 cas (12,5 %). Chez ces patients, on a trouve hypercholesterolemie avec un taux entre 2,6 et 6,9 g/l et hypertriglyceridemie avec un taux de entre 2,05 et 4,76 g/l. Conclusion La corticotherapie systemique a forte dose, en plus de l’effet anti-inflammatoire, peut entrainer chez les sujets âges une perturbation du bilan lipidique. Ceci constitue une source de majoration du risque cardiovasculaire. D’ou la necessite d’une prescription d’un regime adapte et une action sur les autres facteurs de risque tout en verifiant le niveau de LDL adapte au terrain.

Introduction Bien qu’indispensables dans le traitement de la majorite des maladies inflammatoires du sujet âge, les effets secondaires des corticoides administres par voie systemique sont frequents. Ils majorent le risque infectieux, particulierement celui des infections opportunistes. Patients et methodes Il s’agit d’une etude retrospective descriptive portant sur des patients traites par corticotherapie, colliges au service de medecine interne sur une periode de 10 ans. Resultats Durant la periode d’etude, 40 patients ont recu une corticotherapie prolongee. Une nette predominance feminine etait notee : 31 femmes et 9 hommes. L’âge moyen etait de 72 ans. Une polypathologie et une polymedication etaient notees chez respectivement 42,5 % et 20 % des patients. Une forme severe de syndrome de Sjogren etait la principale indication (37,5 %). 21 episodes infectieux (52,5 %) necessitant une hospitalisation ont ete recenses. L’infection etait bacterienne dans 18 cas : de localisation pulmonaire chez 7 patients (17,5 %) et urinaire dans 6 cas (15 %). Le germe implique dans celles-ci etait Escherichia Coli dans 5 cas (12,5 %) et Klebsiella chez un patient (2,5 %). Une dermohypodermite etait observee chez 5 patients (12,5 %). Trois infections virales (7,5 %) ont ete notees dont un cas de zona. Un de nos patients avait presente un sepsis a point de depart urinaire. Conclusion L’immunodeppression, liee d’une part, aux maladies systemiques et d’autre part, a leur principal traitement a savoir la corticotherapie, expose le sujet âge a un risque infectieux imminent. La recherche des infections au debut et au cours du traitement de ces maladies ameliore leur pronostic.

Introduction Les corticoides, bien qu’ils constituent la piece maitresse de la prise en charge de la plupart des pathologies en medecine interne, ne sont pas depourvus d’effets secondaires parfois severes chez les patients âges. Patients et methodes Etude retrospective descriptive sur des patients traites par corticotherapie, colliges dans un service de medecine interne sur une periode de 10 ans. Resultats Il s’agissait de 40 patients : 31 femmes et 9 hommes dont l’âge moyen etait respectivement de 73,58 ans et de 66,78 ans. La duree moyenne de la corticotherapie systemique etait plus longue chez les femmes (25,9 vs 22,2 mois). Les indications de la corticotherapie etaient dominees par le syndrome du Sjogren chez les femmes et la maladie de Horton chez les hommes. Les effets secondaires etaient proches chez les deux genres. Il s’agissait d’une retention hydrosodee : femmes 58,1% versus 44,4%, une gastrotoxicite : femmes 48,4% versus 55,6%, des infections : femmes 41,9% versus 44,4%, des complications metaboliques : femmes 38,7% versus 55,6%, et le diabete cortico-induit : femmes 35,5% versus 44,4%. L’atteinte ophtalmologique (29%), l’obesite faciotronculaire (29%), les troubles psychiatriques (18,9%) et l’osteoporose (6,5%) etaient plus frequemment constates chez les femmes. Inversement l’hypokaliemie (33,3%), l’hypocalcemie (11,1%), et l’insuffisance corticotrope (11,1%) etaient le plus souvent rencontrees dans la population masculine. Conclusions La prescription d’une corticotherapie au long cours doit etre bien reflechie par le prescripteur. Notre etude, en depit de son effectif reduit rejoint les donnees de la concernant la prevalence elevee des complications cortisoniques, tout en soulignant la difference significative de certaines selon le profil du patient y compris son genre.

Introduction La rigidite des gros troncs arteriels est la consequence majeure du vieillissement et s’exprime sur le plan clinique par une augmentation de la pression arterielle pulsee (PAP). Objectifs et methodes Identifier influence de l’age sur la relation entre la PAP et les facteurs de risque cardiovasculaire. Le present travail est issu de l’exploitation des donnees de l’etude nationale sur la sante et les soins medicaux de la population tunisienne qui a ete entreprise par l’unite de recherche sur le vieillissement de l’institut national de sante publique, aupres d’un echantillon representatif compose de 2400 menages. Il s’agit d’une enquete descriptive effectuee au moyen d’un questionnaire rempli a domicile. Chaque sujet inclut dans l’etude a beneficie d’une prise de la tension arterielle realisee en position assise apres cinq minutes de repos. Pour les besoins de ce travail, nous nous sommes limites a un sous-echantillon de 4498 sujets âges de 30 ans et plus pour lesquels nous disposons de mesures fiables des pressions arterielles. Cela nous a facilite la determination de la PAP. Une mesure du poids et de la taille ont ete effectuee. Resultats Nos donnees montrent que la PAP moyenne = 53,1 ± 15,3 mmHg. Elle est superieure a 65 mmHg dans 36,7 % des cas. Elle augmente regulierement et de facon fortement significative avec l’âge (p Conclusion Nos resultats souligne l’importance du depistage de la rigidite et la mesure de la PAP qui doit s’integrer dans les parametres classiques d’evaluation du statut tensionnel d’un sujet.

Introduction L’infection du pied chez le diabetique constitue un tournant evolutif de la maladie, elle entraine une morbidite importante avec risque d’amputation. L’analyse microbiologique est necessaire avant toute antibiotherapie. Patients et methodes Il s’agit d’une etude prospective descriptive ayant inclus les patients ayant un pied diabetique infecte hospitalise dans le service de chirurgie generale durant la periode du 25 septembre–25 avril 2020. Resultats Il s’agissait de 84 patients (66 hommes et 18 femmes) d’âge moyen de 62 ± 13 ans, ayant un diabete de type II dans 91,7 % des cas de duree moyenne d’evolution de 16,7 ans ± 10 ans, insulinodependant chez 61 patients. Le diabete etait mal equilibre chez 56 patients avec une HBA1C > 10 %. Selon la classification IWGDF) 62 patients avaient une infection du pied de grade 3. Des prelevements bacteriologiques locaux etaient pratiques repartis en 59 (72 %) ecouvillons et 22 (27 %) prelevements peroperatoires. Ils etaient positifs dans 48 (57,1 %) cas, ils s‘agissaient de BGN dans 41(85,4 %) domines par Pseudomonas (13cas), Proteus (10 cas), Klebsiella pneumoniae et Enterobacter cloacoae (6 cas chacune), Morganella morgani (4cas) et Escherichia Coli (1 cas) et de CGP dans 12 cas representes par Staphylococcus aureus (7 cas) et Streptococcus (5 cas), deux prelevements etaient positifs a Corynebacteruim et Candida krusei respectivement dans 1 cas. Quarante-trois (89 %) prelevements locaux etaient mono-bacteriens et cinq prelevements (11 %) etaient polymicrobiens. Conclusion L’identification microbiologique du pied diabetique est primordiale permettant le choix d’une antibiotherapie ciblee contribuant ainsi a l’amelioration de la qualite de prise en charge.

Introduction Les otites externes necrosantes fongiques (OENF) sont des affections rares mais graves chez le diabetique. Objectif Presenter les caracteristiques de cette pathologie et les modalites de prise en charge. Patients et methode Il s’agit d’une etude retrospective incluant tous les patients diabetiques hospitalises au service d’ORL de l’hopital Tahar-Sfar de Mahdia pour la prise en charge d’OENF, entre 2008 et 2019. Resultats Au total, 9 patients etaient inclus, avec un âge moyen de 65,1 ± 11,2 ans et un sex-ratio de 1,25. L’anciennete moyenne du diabete etait de 17,5 ± 6,1 ans. Il s’agissait d’un diabete insulinonecessitant dans tous les cas. Le delai d’evolution des symptomes avant l’admission etait 2,1 ± 1,3 mois. Une antibiotherapie etait prescrite en ambulatoire dans 6 cas (66,7 %). Les germes isoles etaient Aspergillus dans 5 cas (55,6 %) et Candida dans 4 cas (44,4 %). A la biologie, on a note une hyperleucocytose (33,3 %), une CRP positive (100 %) et une VS elevee (88,9 %). Le scanner montrait une lyse osseuse dans tous les cas. Un traitement antifongique etait prescrit dans tout les cas ; a base de voriconazole dans 5 cas (55,6 %). Une antibiotherapie systemique etait associee dans 7 cas (77,8 %). La duree moyenne de traitement etait 35,1 ± 11,6 jours. L’evolution initiale etait favorable dans tous les cas mais une recidive etait notee dans 1 cas (11,1 %). Conclusion Les OENF etaient associees a une surconsommation en antibiotiques en rapport avec le delai diagnostique et a une prescription d’antibiotiques, abusive, meme apres documentation de l’infection fongique.

Introduction: Fungal rhinosinusitis (FRS) remains a rare disease. The noninvasive forms are hard to diagnose. The management protocols remain controversial. We aim to describe the clinical, radiological and pathological features of noninvasive FRS and present our management protocol and follow-up results. Patients and methods: This descriptive study was conducted in the ear-nose-throat department of the university hospital, Taher Sfar in Mahdia, Tunisia. All patients who responded to the definition of noninvasive FRS (fungal balls and allergic fungal sinusitis) were included. The study was conducted over a three year period (May 2017 – April 2021). Results: Eleven patients were included in this study: four cases of fungal balls and seven cases of allergic fungal sinusitis. Patients presented with symptoms of chronic recurrent rhinosinusitis with no response to conventional treatments. Computed tomodensitometry scan showed opacification of the paranasal sinuses in all patients. Other signs were heterogeneous opacities, local calcifications and thinning of the bony walls of the sinuses. Histopathological findings were inflammatory polyps in all cases of allergic FRS with the presence of fungal hyphae in 42.8% of the cases. All patients underwent surgery after a median delay of 12 [6–24] months of the symptom’s onset. The used procedures were endoscopic middle meatal antrostomy for all patients, ethmoidectomy (81.8%) and sphenoidotomy (36.4%). None received systemic antifungals or corticosteroids with a favorable outcome in all cases. Conclusion: Symptoms of noninvasive FRS are nonspecific. The scan images contribute to the diagnosis, but the perioperative findings and the histopathological results remain crucial. The management is mainly surgical.

Introduction L’infection a West Nile Virus (WNV) est une maladie re-emergente dans notre pays qui a connu plusieurs epidemies anterieures. L’atteinte neurologique est rare surtout chez le sujet immunocompetent. Objectifs Decrire les caracteristiques epidemiologiques, cliniques, paracliniques, therapeutiques et evolutives des infections neuro-invasives a WNV. Patients et methodes Une etude retrospective descriptive sur une periode de 6 ans allant du janvier 2014 au decembre 2019 et portant sur tous les malades hospitalises dans notre service et presentant une infection neuro-invasive a WNV. Resultats Il s’agissait de 15 malades âges en moyenne de 42,4 ans. La presentation clinique predominante etait une meningite (9 cas). Un syndrome cerebelleux etait observe dans 3 cas. L’examen de LCR avait montre une pleiocytose a predominance lymphocytaire (80 %), une hyperproteinorachie (80 %) et une hypoglycorachie (46,6 %). Le diagnostic etait retenu devant la positivite de la serologie et/ou de la PCR de WNV dans le LCR. L’evolution etait favorable dans tous les cas. Discussion L’infection a WNV est le plus souvent asymptomatique. L’atteinte du systeme nerveux central est rare. Le tableau clinique est variable. Il peut s’agir d’une meningite, une meningo-encephalite ou une encephalite. L’atteinte cerebelleuse, notee chez 3 malades dans notre serie, est exceptionnellement decrite dans la litterature. Conclusion L’atteinte neurologique au cours d’une infection a WNV est le plus souvent d’evolution favorable. Il n’existe pas de traitement specifique ni de vaccination contre ce virus.

Introduction L’atteinte neurologique a West Nile Virus (WNV) est rare et peut se presenter sous plusieurs formes cliniques dont l’atteinte cerebelleuse qui reste une entite exceptionnelle. Observation Il s’agissait de 3 hommes âges en moyenne de 53,6 ans, dont deux etaient diabetiques type 2. Un syndrome cerebelleux s’etait installe en moyenne 4 jours apres le syndrome febrile. Des troubles de conscience etaient notes dans un seul cas. Un patient avait presente, en outre de l’ataxie cerebelleuse, une diplegie faciale et une hemiparesie gauche. La ponction lombaire avait revele une pleiocytose a predominance lymphocytaire, une hyperproteinorachie dans les 3 cas respectivement et une hypoglycorachie dans un seul cas. L’imagerie cerebrale etait sans anomalies significatives. Le diagnostic d’une ataxie cerebelleuse a WNV a ete confirme par une PCR du virus dans le LCR. L’evolution etait favorable dans tous les cas avec disparition complete du syndrome cerebelleux. Discussion L’ataxie cerebelleuse lors d’une infection a WNV est rarement decrite dans la litterature : le premier cas a ete decrit en 2003 par Kanagarajan et al. En Tunisie, un syndrome cerebelleux mixte secondaire a l’infection WNV a ete rapporte en 2017 par Kooli et al. chez une femme de 36 ans au service de maladies infectieuses de Monastir. Conclusion L’ataxie cerebelleuse est une manifestation rare de l’infection neuro-invasive a WNV. Elle est souvent d’evolution favorable sous un traitement symptomatique.

Objectif L’emergence de l’antibioresistance des uropathogenes constitue un enjeu therapeutique, particulierement chez le diabetique. Le but de notre travail etait d’etudier le profil microbiologique des uropathogenes isoles chez le diabetique. Materiels et methodes Etude retrospective incluant les cas d’infection urinaire survenue chez des patients diabetiques hospitalises au service de medecine durant une periode de sept ans. La sensibilite aux antibiotiques a ete determinee selon les recommandations du CA-SFM. Resultats Nous avons inclus 224 malades diabetiques âges en moyenne de 61 ans. L’anciennete du diabete etait ≥ 10 ans chez 61,6 % des cas. Les BGN etaient isoles dans 96,3 % des cas : Escherichia coli (75,4 %), Klebsiella pneumoniae (18,8 %) et Enterobacter (2,8 %). Proteus mirabillis et Pseudomonas aerugenosa etaient isoles dans un cas respectivement. L’isolement de souches secretrices de BLSE, resistantes aux fluoroquinolones ou aux nitrofuranes ou au cotrimoxazole etait note dans 24 %, 30 %, 14 % et 41,1 % respectivement. Les souches sauvages d’Enterococcus faecalis et Staphyococcus aureus etaient isolees dans 3,7 % des cas. Les facteurs statistiquement associes a la resistance aux betalactamines par secretion de BLSE etaient : un antecedent d’infection urinaire ou d’hospitalisation dans les derniers six mois, le plus long delai d’admission et une hyperleucocytose moderee. La resistance aux Fluoroquinolones etait associee aux antecedents d’infection urinaire et d’hospitalisation dans les 6 derniers mois. Discussion L’accroissement de l’antibioresistance des BGN uropathogenes chez le diabetique est un phenomene preoccupant, lie essentiellement a la frequence d’hospitalisation, de recidive d’infection et de mesusage d’antibiotique chez ce terrain.

Introduction L’examen du pied diabetique est simple. Il vise a detecter les lesions silencieuses et a evaluer le risque d’ulceration pour adapter la prise en charge. Objectif Evaluer le risque d’ulceration du pied diabetique selon la classification de l’International Working Group of Diabetic Foot (IWGDF). Patients et methodes Etude transversale descriptive ayant inclue les patients diabetiques hospitalises dans le service d’endocrinologie de l’hopital Tahar-Sfar de Mahdia sur la periode de 2 mois (juin–juillet 2019). Resultats L’etude avait concerne 50 patients, d’âge moyen 56,6 ± 15,78 ans ; le sex-ratio etait de 0,22. La majorite avait un diabete de type 2 (43 cas [86 %]), pour le reste, le diabete etait de type 1. La moyenne d’evolution du diabete depuis sa decouverte etait de 12,8 ± 9,3 ans. Le diabete etait desequilibre dans 45 cas (90 %). L’examen systematique des pieds n’avait jamais ete realise auparavant chez 42 patients (84 %). A l’inspection, les principales lesions cutanees retrouvees etaient l’hyperkeratose (n = 18, 36 %) et les fissures talonnieres (n = 11, 22 %). Une deformation presumee d’origine neuropathique etait presente dans 21 cas (42 %). Les pouls tibiaux posterieurs etaient diminues dans 10 cas (20 %). Le test au mono-filament 10 g a montre une sensibilite diminuee dans 26 cas (52 %). Selon la classification de l’IWGDF, 18 patients etaient classes au stade 0 (36 %), 11 au stade 1 (22 %), 17 au stade 2 (34 %) et 4 au stade 3 (8 %). Conclusion Dans notre etude, l’insuffisance de l’examen du pied de la part des cliniciens etait claire. Un travail de sensibilisation est necessaire.

Introduction L’association nodule thyroidien (NT) et tuberculose ganglionnaire (TG) est rare pouvant induire en erreur le clinicien, les adenopathies etant considerees comme metastatiques. Nous rapportons 3 cas d’association de NT a une TG colliges au service ORL de Mahdia. Cas 1 : patiente âgee de 61 ans ayant consulte pour un NT et une adenopathie cervicale gauche. La patiente a eu une lobo-isthmectomie gauche avec un evidement fonctionnel et recurrentiel gauche. L’examen anatomopathologique concluait a un nodule benin avec une TG. L’evolution etait favorable suite a un traitement antituberculeux. Cas 2 : patiente âgee de 43 ans qui a consulte pour un NT avec des adenopathies cervicales multiples. Suite a une lobo-isthmectomie, l’examen extemporane etait en faveur d’un carcinome papillaire. Une thyroidectomie totale avec curage recurrentiel, sus-claviculaire et sous-omo-hyoidien bilateral. L’anatomopathologie definitive etait en faveur d’un carcinome papillaire sans metastase ganglionnaires mais plutot une TG. La patiente a recu un traitement antituberculeux pendant 6 mois et une IRAtherapie avec une bonne evolution. Cas 3 : patiente âgee de 50 ans qui s’est presentee pour un NT, une dysphonie et des adenomegalies des territoires IIa, III et Vb. La patiente a subit une thyroidectomie totale avec un evidement ganglionnaire recurrentiel, sus-claviculaire et sous-omo-hyoidien bilateral. L’examen extemporane etait benin et l’anatomopathologie finale concluait a un adenome micro-vesiculaire du lobe gauche avec un TG. Elle a recu HRZE pendant 2 mois puis HR pendant 6 mois avec evolution favorable. Conclusion L’association NT et TG presente un piege diagnostique amenant a des gestes radicaux inutiles.

Introduction La resistance bacterienne represente un serieux probleme de la sante publique. Le mesusage des antibiotiques notamment ceux a large spectre, tel que les carbapenemes, expose a un risque majeur de developpement des resistances bacteriennes. Le but de notre etude est d’evaluer la pertinence de la prescription des carbapenemes dans un service medical polyvalent. Materiels et methodes Il s’agit d’une etude retrospective descriptive realisee sur une periode de 2 ans (juillet 2017 et juillet 2019) portant sur les patients traites par une antibiotherapie a base de carbapeneme (imipeneme et ertapeneme) durant leur sejour dans un service medical. Les donnees etudiees etaient recueillies a partir des dossiers medicaux. Les criteres d’evaluation etaient : l’indication therapeutique (critere principal), la voie d’administration, la posologie, la duree et la desescalade therapeutique (criteres secondaires). La pertinence de prescription des carbapenemes etait evaluee par rapport aux referentiels par un expert infectiologue. Resultats Au total, 61 prescriptions ont ete incluses. Les indications etaient : une infection urinaire (n = 38, 62,3 %), une infection sur catheter (n = 11, 18 %) et une infection des tissus mous (n = 3, 4,9 %). La molecule la plus prescrite etait l’imipeneme (n = 53, 86,9 %). La prescription de carbapenemes etait probabiliste dans 45,9 % des cas (n = 28). Un avis d’un specialiste en infectiologie a ete sollicite dans 68,9 % des cas (n = 42). L’indication d’usage des carbapenemes etait conforme aux referentiels dans 72,1 % des cas (n = 44). Les facteurs associe a cette conformite etaient l’antibiotherapie anterieure dans les 3 mois (p = 0,03), un score de SOFA ≥ 2 (p = 0,01) et les prescriptions sur avis d’infectiologue (p = 0,001). Parmi les infections documentees (n = 45, 73,7 %), la desescalade therapeutique etait impossible dans 19 cas (42,2 %). Cependant, elle etait indiquee dans 26 cas et elle n’a ete realisee que dans 12 cas (46,1 %). La voie d’administration et la posologie etaient conformes dans toutes les prescriptions. La duree moyenne du traitement par carbapeneme etait de 9 ± 8 jours. Elle etait non conforme dans 2 cas. Au total, les prescriptions etaient jugees non conformes pour au moins un critere dans 31 cas (50,8 %). Conclusion Cette etude nous a permis de mettre en evidence un ecart entre les referentiels et les pratiques reelles du service. La desescalade therapeutique etait le critere le moins respecte. Une prise de conscience de l’interet de la rationalisation des prescriptions des carbapenemes est necessaire afin de lutter contre l’accroissement des taux de resistance a cette classe d’antibiotique.

Introduction Le diabete du sujet âge constitue probleme majeur de sante publique. Sa prevalence augmente avec l’âge du fait du vieillissement de la population. But Determiner les particularites du diabete decouvert apres 65 ans dans un milieu de medecine interne. Materiel et methodes Il s’agit d’une etude retrospective portant sur 22 patients suivis en medecine interne chez qui le diabete etait decouvert apres 65 ans. Resultats Il s’agissait de 10 femmes et 12 hommes, L’âge moyen de nos patients est de 70 ± 4,5 ans. Parmi nos patients, 50,4 % etaient hypertendus et 63,6 % avaient une dyslipidemie. La decouverte etait fortuite lors d’un bilan systematique dans 14 cas, devant une complication metabolique dans le reste des cas. La majorite de nos patients ont un mauvais equilibre glycemique avec une HBA1c moyenne de 10,4 %. Concernant le bilan lipidique, il existe une hypercholesterolemie dans 50 % des cas, une hypertriglyceridemie dans 36 %. On a retenu le diagnostic de diabete etait cortico-induit dans 10 cas, diabete de type 2 dans 7 cas et un diabete de type 1 lent dans le reste des cas. Conclusion La prise en charge du diabete du sujet âge doit etre multidisciplinaire, notre serie s’est caracterisee par la frequence elevee du diabete cortico-induit vu le milieu d’etude.

Objectif Le pied diabetique infecte (PDI) est un motif frequent de consultation. Il est associe a une importante morbidite. Sa prise en charge necessite une approche multidisciplinaire. Le but de cette etude est de determiner les caracteristiques microbiologiques des PDI. Patients et methodes Il s’agit d’une etude descriptive retrospective portant sur les cas de PDI documentes colliges dans un service de medecine entre 2011 et 2020. Resultats Trente et un episodes infectieux etaient etudies. L’âge moyen des patients etait de 60 ans, avec un sex-ratio de 1,4. L’anciennete moyenne du diabete etait de 12 ans. Un antecedent d’une infection du pied etait retrouve dans 48,3 % des cas. Il s’agissait d’une surinfection d’un mal perforant plantaire dans 75 % des cas. Une osteite etait associee dans 64,5 % des cas. L’infection etait polymicrobienne dans 37,5 % des cas. Les germes les plus frequemment isoles etaient les bacilles a gram negatif (56 %) avec une predominance du Proteus mirabilis (20 %), Pseudomonas aeruginosa (12 %) et Klebsiella pneumoniae (8 %). Les taux de resistance des enterobacteries a l’amoxicilline, a l’amoxicilline–acide clavulanique, aux fluoroquinolones et au cotrimoxazole etaient respectivement de 90,9 %, 45,4 %, 36,3 % et 18,2 %. Parmi les cocci a gram positif, Staphylocoque aureus methi-S etait isole dans 20 % des cas et Enterococcus faecalis dans 12 % des cas. Discussion La connaissance de la microbiologie de l’infection du pied diabetique est primordiale. Elle conditionne le choix d’une antibiotherapie ciblee et contribue a ameliorer la qualite de la prise en charge de cette maladie et a reduire l’emergence des resistances aux antibiotiques.

Objectif Les dermohypodermites bacteriennes (DHAB) sont parmi les infections les plus frequentes chez le diabetique avec un risque majeur de complications et de recidive. Notre objectif etait de determiner les caracteristiques epidemiologiques, cliniques, therapeutiques et evolutives des DHAB chez les diabetiques. Patients et methodes Etude retrospective incluant les patients diabetiques hospitalises dans le service de medecine pour DHAB durant une periode allant de janvier 2016 au decembre 2019. Resultats Il s’agissait de 68 patients, d’âge moyen de 63,8 ans et un sex-ratio de 1,52. Il s’agissait de diabete de type 2 dans 57 cas (84 %). Les complications degeneratives etaient notees dans 75 % des cas (n = 51) dominees par la neuropathie (28 %). La DHAB etait localisee au niveau des membres inferieurs dans 92,6 % des cas, des membres superieurs dans 4,4 % des cas et la paroi abdominale dans 2,9 % des cas. La presentation clinique etait un placard inflammatoire dans 66 cas (97 %), associee a une fievre dans 46 cas (67,6 %) et a une adenopathie satellite dans 14 cas (20,5 %). La porte d’entree la plus retrouvee etait l’intertrigo inter-orteils dans 35 cas. L’antibiotherapie la plus prescrite etait la cefazoline et la clindamycine dans 76 % et 9 % des cas. L’evolution etait favorable dans 90 % des cas, des complications locoregionales etaient survenues chez 7 cas et une recidive chez 15 patients (22 %). Discussion L’education de l’hygiene du pied chez le diabetique constitue la pierre angulaire evitant aussi bien la survenue et la recidive des dermohypodermites bacteriennes.

Introduction L’accident vasculaire cerebral est rare chez le sujet jeune, il est du frequemment a une cardiopathie emboligene ; le syndrome de Sneddon est exceptionnellement rapporte. Nous rapportons cette observation. Observation Patiente âgee de 33 ans, suivie depuis quelques annees pour un livedo diffus predominant aux membres inferieurs a mailles incompletes d’etiologie non retrouvee. Elle est amenee aux urgences a 32 semaines d’amenorrhee pour perte de connaissance breve suivie de crises convulsives partielles. La patiente a ete cesarisee en urgence. Un scanner cerebral etait en faveur d’un AVC ischemique sylvien superficiel gauche. L’echographie cardiaque, l’echographie des vaisseaux du cou, le bilan lipidique ainsi que le bilan immunologique etaient normaux. L’examen physique apres l’accouchement a montre un livedo ramifie au niveau des quatre membres, une acrocyanose, l’examen neurologique a trouve une aphasie de Broca avec un syndrome quadri pyramidal. L’IRM cerebrale a montre une atrophie cortico sous corticale avec des lesions ischemiques d’âges differents. Le diagnostic d’un Syndrome de Sneddon etait retenu et la patiente etait mise sous anti-vit-K et Dihydan. Discussion Le syndrome de Sneddon est une entite rare, exceptionnellement rapportee au cours de la grossesse. Les mecanismes ethiopathogeniques ne sont pas encore bien elucides, l’hypothese d’un terrain genetique predisposant ou d’un desordre immunologique restent probables. Conclusion Le diagnostic du syndrome de Sneddon doit etre fait rapidement car pouvant etre a l’origine d’une demence a long terme.

Three examples of contamination induced delamination of vacuum-deposited films are cited to stress the necessity for identifying substrate surface contaminants, and then removing them from the surfaces prior to film deposition with an effective cleaning procedure, or preventing them from contacting the substrate surface, or eliminating their source during the polymer manufacture. The major contaminate that caused film delamination is polydimethylsiloxane (polydimethylsilicone) (PDMS) and/or its oligomers. This polymer (and its oligomers) has (have) a low glass temperature (−44 °C) that enables it to diffuse into the pore structure of the free volume of polymer substrates at ambient temperature. Once entrapped in the pores, it cannot be removed by non-swelling organic or inorganic solvents but only by plasma etching.

Objectif Decrire les caracteristiques epidemiologio-cliniques, therapeutiques et evolutives des infections a bacteries secretrices de betalactamases a spectre etendu (BLSE) chez les diabetiques. Patients et methodes Etude retrospective englobant les patients diabetiques hospitalises pour une infection a BLSE dans le service de medecine du CHU de Mahdia (2006–2014). Resultats Il s’agissait de 25 malades (17 femmes, 8 hommes) âges en moyenne de 58 ans. A cote du diabete, les facteurs favorisants de l’infection a BLSE etaient : le sondage urinaire (5 cas), une hospitalisation anterieure et une antibiotherapie prealable a base de flouroquinolones (14 cas). Les BLSE isolees etaient Esherichia coli (13 cas), Klebiella pneumoniae (10 cas). Il s’agissait d’une infection urinaire a type de pyelonephrite aigue (24 cas) et d’une osteite sacree. L’imagerie montrait un phlegmon peri renale avec multiples abces (1 cas) et une nephrite focale (1 cas). Une antibiotherapie etait instauree dans 21 cas. L’evolution etait favorable chez 21 patients et marquee par une recidive dans 4 cas. Discussion–conclusion Les betalactamines sont largement prescrites chez le diabetique, leur mesusage est a l’origine de l’emergence des BLSE. Ces dernieres exposent le sujet diabetique a des complications pouvant mettre en jeu son pronostic vital. Le respect des regles de prescription des antibiotiques demeure le seul moyen de lutte contre leur emergence.

From a point of a signal-to-background ratio, phosphors are a key component of micro channel plate (MCP) based x-ray framing cameras. In an MCP based framing camera, x-ray signal is converted to electrons, gated, amplified, and converted back to optical signal on the phosphor. To operate x-ray framing cameras in a harsh neutron induced radiation background of the National Ignition Facility, cathodeluminescence efficiency of the phosphor is very important. To avoid MCP damage due to high voltage breakdown, we have been operating phosphors below 3kV (acceleration field < 6 kV/mm). The signal-to-background ratio the camera can be significantly improved by increasing the phosphor potential to 10kV. We measured conversion efficiencies of standard phosphors at electron energies of 0.5 ~10 keV and assessed achievable performance of them with using a numerical model.

Objectif Decrire les caracteristiques epidemio-cliniques, biologiques, therapeutiques et evolutives du typhus murin chez les diabetiques. Patients et methodes Etude retrospective descriptive englobant les patients diabetiques hospitalises pour fievre chez qui le diagnostic retenu etait un typhus murin. Resultats Il s’agissait de 7 patients (4 hommes, 3 femmes) âges en moyenne de 52,4 ans. La symptomatologie clinique etait dominee par la fievre (7 cas), l’asthenie (5 cas), les arthromyalgies (4 cas). Une toux seche, des cephalees et une eruption cutanee etaient presentent dans 3 cas respectivement. Les troubles digestifs etaient rapportes dans 2 cas. L’hemogramme avait trouve une lymphopenie (4 cas), une thrombopenie (5 cas). Une cytolyse hepatique etait notee dans 5 cas. La radiographie du thorax avait montre un syndrome interstitiel dans 6cas. L’antibiotherapie (doxycycline oufluoroquinolones) etait prescrite empiriquement pour une duree moyenne de 8,2 jours avec une evolution favorable dans tous les cas. Le diagnostic de typhus murin etait retenu retrospectivement sur la positivite de la serologie. Discussion–conclusion Le typhus murin est une zoonose provoquee par une bacterie intracellulaire ( Rickettsia typhi ) transmise a l’homme par la puce du rat. Le tableau clinique se resume le plus souvent a une fievre associee ou non a une eruption cutanee. Des formes plus graves (pneumopathies interstitielles, hepatites) peuvent se voir chez le terrain fragilise notamment chez le diabetique.

Gated x-ray intensifiers are primary imaging diagnostics in high energy density physics and inertial confinement fusion experiments. We describe recent work in optimization of the phosphor screens used in these intensifiers. One avenue for improvement in resolution, contrast, and brightness is improved phosphor screens. Efforts have been directed at improving luminosity, resolution, and contrast with an aluminized thin (

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