1. The New Zealand bracken fern rhizome, Pteridium esculentum (G.Forst): a toxic food plant of pre‐European Māori
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Leach, Foss, Davidson, Janet, Burtenshaw, Michael, Harris, Graham, Tomlin, Tony, and Davis, Paul
- Abstract
The two species of bracken fern, Pteridium esculentumand Pteridium aquilinum, are well known to produce neoplastic lesions and thiamine deficiency when consumed by mammals, with severe consequences to health. New Zealand Pre‐European Māori are known to have consumed rhizomes of P. esculentumas food with little or no recorded consequences to health. Processing methods by Māori prior to consumption may have helped to detoxify this food. We carried out LDH toxicity tests on rhizomes that had been pre‐processed before simulated digestion to test this possibility. We tested rhizomes harvested each month of the year, different components of the rhizome, both raw and roasted rhizomes, rhizomes stored for up to 12 months, and rhizomes leached for up to 24 hours. All specimens remained equally toxic within experimental error. We carried out a detailed analysis of nutrients in bracken rhizome and compared this with kūmara, Ipomoea batatas, another important food plant for pre‐European Māori, and found that bracken rhizome has c. 70% of the caloric value of kūmara. A cost/benefit analysis of the two plants suggested that the reward for effort is greatest for kūmara by a modest amount. Analysis of historic ethnographic observations relating to bracken rhizome from AD 1769 to the 1840s provides complex and contradictory evidence of the role of bracken rhizome in the Māori economic system. Although there is clear evidence that Māori greatly favoured chewing rhizomes, this fondness may result from the presence of one or more plant secondary metabolites (PSM), such as ecdysone, which are known to be addictive. Our analysis of the evidence favours the plant being essentially a famine food, filling in the period between planting and harvest of kūmara, known as the ‘hungry gap’ between October and April in the southern hemisphere. However, it would also have provided an important source of food for travellers, as fern‐lands are widespread. Our analysis of archaeological information did not produce unequivocal direct evidence of bracken rhizome consumption. However, the presence of extreme tooth wear and a unique pattern of first molar dislocation, attributed to the use of teeth to strip starch from rhizomes, has been shown to be present at all periods of New Zealand prehistory. This is contrary to the finding of some other researchers. Les deux espèces de fougères aigles, Pteridium esculentum et Pteridium aquilinum, sont bien connues pour produire des lèsions néoplasies et carence en thiamine lorsqu'elles sont consommées par des mammifères, avec de graves conséquences pour la santé. Nouvelle‐Zélande Maoris Pré‐ Les européens sont connus pour avoir consommé des rhizomes de P. esculentum comme nourriture avec peu ou pas des enregistrements des conséquences sur la santé. Les méthodes de transformation par les Maoris avant la consommation peuvent avoir aidé à détoxifier cet aliment. Nous ont effectué des tests de toxicité de la LDH sur des rhizomes qui avaient été prétraités avant digestion simulée pour tester cette possibilité. Nous avons testé des rhizomes récoltés chaque mois de l'année, différents composants du rhizome, à la fois crus et rhizomes grillés, rhizomes stockés jusqu'à 12 mois et rhizomes lessivés jusqu'à 24 heures. Tous les specimens est resté également toxique dans les limites de l'erreur expérimentale. Nous avons effectué une analyse détaillée des nutriments dans le rhizome de fougère et nous avons comparé cela avec le kumara, Ipomoea batatas, une autre plante alimentaire importante pour les Maoris pré‐européens, et a constaté que rhizome de fougère a c. 70% de la valeur calorique du kumara. Une analyse coûts/bénéfices des deux usines a suggéré que la récompense pour l'effort est la plus grande pour le kumara d'un montant modeste. Analyse des observations ethnographiques historiques relatives à le rhizome de fougère de 1769 à 1840 fournit des preuves complexes et contradictoires du rôle de la fougère rhizome dans le système économique Maori. Bien qu'il soit clairement prouvé que les Maoris favorisaient grandement les rhizomes à mâcher, cette affection peut résulter de la présence d'un ou plusieurs métabolites secondaires végétaux (PSM), comme l'ecdysone, qui sont connus pour être addictifs. Notre analyse des preuves favorise la plante étant essentiellement un aliment de famine, remplissant le période entre la plantation et la récolte de kumara, connue sous le nom de «trou affamé» entre octobre et avril dans le sud hémisphère. Cependant, il aurait également fourni une importante source de nourriture pour les voyageurs, car les fougères sont répandu. Notre analyse des informations archéologiques n'a pas produit de preuves directes sans équivoque de fougères consommation de rhizomes. Cependant, la présence d'une usure dentaire extrême et d'un schéma unique de luxation de la première molaire, attribuée à l'utilisation des dents pour enlever l'amidon des rhizomes, a été démontrée présente à toutes les époques de la Nouvelle‐Zélande préhistoire. Ceci est contraire à la conclusion de certains autres chercheurs.
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- 2023
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