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L'autotraduction apparaît comme un parcours individuel où l'auteur compose avec ses différences. En considérant l'autotraduction comme l'une des formes de représentation de l'altérité intime, nous nous demandons si les catégories anthropologiques sont applicables à la situation de l'autotraducteur. Le mouvement d'une langue à l'autre cache en réalité le passage entre des lieux et des non-lieux.

A series of carbamides derived from 1,2:5,6-di-O-isopropylidene-D-gluco- and D-allofuranose as well as their 5,6-O-deprotected analogues (2 and 4) and methyl 3,4-O-isopropylidene-alpha- and beta-D-galactopyranosides (5 and 6) have been prepared in order to evaluate their ability to induce erythroid differentiation of human erythroleukemic K562 cells. Twenty out of 51 carbamides tested exhibit an appreciable activity as inducers of erythroid differentiation and have been fully characterized and described.

In questo passo si sottolinea come un genere letterario, il romanzo autobiografico, sia all’origine dell’utilizzo delle scritture autobiografiche nelle didattica delle lingue-culture. A tale proposito, la domanda che vorrei porre, e che nasce dalla dialettica tra alcuni concetti espressi nel Précis e il tema della mia ricerca, riguarda in primo luogo il rapporto tra lo spazio individuale – spazio interculturale all’interno del quale dialoghino tra loro le lingue-culture del singolo apprendente – e la creazione di una coscienza plurilingue a livello sociale, partendo dalla dimensione, basilare per quanto ridotta, del gruppo classe. Ovvero le metodologie e le strategie didattiche legate all’approccio auto-biografico possono rischiare di concentrare eccessivamente l’attenzione sul singolo, ponendo in secondo piano la formazione di una coscienza plurilingue all’interno del gruppo di apprendenti (che appare non meno necessaria, in prospettiva interculturale)? Se si, quali metodologie e strategie, legate o meno all’approccio biografico, si potrebbero utilizzare per estendere lo spazio terzo interculturale dalla dimensione individuale a quella sociale?, HETEROGLOSSIA. Quaderni di Linguaggi e Interdisciplinarità., N° 11 (2011): Costruire la ricerca tra lavori in corso e opere di riferimento a cura di Danielle Lévy e Mathilde Anquetil

The complexity of Québécois society presents a particularly significant framework through which one may approach questions concerning multilingualism and multiculturalism as they apply to education. In 2002, the Ministry’s Educational Policy Statement begins by declaring: « In a pluralistic society such as ours, schools bring people together. Our schools must not only help students develop a feeling of belonging to the community but also teach them how to « live together » (Ministère de l’éducation, 2002). For a long time, different waves of immigration have in fact introduced a new element into Québécois society, one capable of rupturing the dichotomy between Francophones and Anglophones: allophones.

Dans cet article nous Allons tracer un panorama des accords internationaux entre l’Italie et le Québec qui se sont construites dans le temps entre ces deux pays. L’Université de Bologne a été parmi les premières universités à signer des accords avec les universités québécoises. Nous allons présenter ici l’accord entre l’Université de Bologne et l’Université de Montréal qui a été le premier signé en Italie entre une université italienne et une université québécoises. Pour cadrer notre présentation nous allons consacrer un premier moment à la présentation des accords internationaux entre les universités italiennes et les universités québécoises à fin de montrer la diversité des secteurs qui sont envisagés dans les échanges universitaires. Dans un deuxième moment nous analyserons de près la spécificité de l’accord entre l’Université de Bologne et l’Université de Montréal.

Introduction au volume, avec une présentation du CISQ et des différentes contributions présentées dans le texte.

Nous partirons du constat d’Antonio D’Alfonso que certains mots sont opaques et qu’il est nécessaire de les définir car la confusion sémantique amène à une perte de repères identitaires. Nous chercherons donc ce que l’auteur voit comme les responsables de cet égarement identitaire. Dans la deuxième partie de notre travail nous nous pencherons sur les définitions qui se veulent , cette-fois ci, éclaircissantes et pistes vers une prise de conscience identitaire. Dans la troisième et dernière partie, nous prendrons en compte, à côté de l’acte du langage de la définition, celui de la dénomination. A travers les deux, l’auteur montre sa volonté de redessiner la carte des appartenances en proposant un projet aux traits utopiques.

Cette présentation du Centre Interunivesitaire des Etudes québécoises du Departement de Langues, litératures et cultures modernes de Bologne se compose de deux parties : une toute première qui passera en revue l’historique du Centre, en partant de son origine, le Centro di Studi quebecchesi, fondé par Franca Marcato, ancienne professeure de l’Université de Bologne et une deuxième partie sur les nouveaux projets à venir du Centre et sur ses nouvelles missions.

Ganstigmine, a new acetylcholinesterase inhibitor, was incubated with rat liver microsomes and the resulting metabolites were identified by high-performance liquid chromatographic/mass spectrometric (HPLC/MS) and HPLC/MS/MS analyses. The results showed the formation of eight main metabolites, among which geneseroline and molecules corresponding to mono-hydroxylated, demethylated and reduced ganstigmine. The metabolic profile drawn for humans, dog and monkey showed a pattern very similar to that of rat: only in the case of liver dog microsomes higher amounts of geneseroline and of a metabolite identified as demethylated and reduced drug were detected.

L'articolo riporta tutte le attività culturali e scientifiche dell'anno 2011 sull'area francofona del Québec.

Il saggio indaga la pratica traduttiva ed auto traduttiva di Marco Micone, scrittore quebecchese di origine italiana, due temi si impongono: la migrazione e l’identità. La sua opera di drammaturgo, quella di traduttore e di auto traduttore, che si inseriscono in un contesto culturale caratterizzato da contatti linguistici asimmetrici, mette in evidenza due punti salienti: l’incidenza del genere letterario nel progetto di creazione e di traduzione e il rapporto tra auto traduzione ed etero traduzioni.

Marco Micone, écrivain québécois d’origine italienne, se distingue au Québec pour sa production théâtrale , vraie mise en scène de la mémoire sur l’émigration italienne au Québec. Son œuvre se présente comme le lieu de dénonciation de discriminations et d’injustices sociales et, surtout le laboratoire d’une quête toujours renouvelée d’une nouvelle identité. Activité contrainte liée à une mobilité forcée telle que l’émigration, l’autotraduction chez Marco Micone permet de reflechir autour du sujet autotraducteur. Le profil de l’écrivain migrant, les circonstances qui l’amène à écrire et ses motivations dessinent un intinéraire personnel d’élaboration identitaire où la pratique auto traductive joue un rôle essentiel. L’originalité du travail de Marco Micone réside dans le fait que cette quête se poursuit, de manière parallèle, à travers une réflexion sur la marginalité de l’espace d’où travailler son identité et à travers une opération de traduction de son ouvrage théâtral qui conduit l’auteur à une incessante reprise et modification des ses œuvres. Se traduire défie un peu les conventions et la traversée des frontières linguistiques permet de contorsions, métaphore d’un malaise identitaire dont la guérison réside dans l’éternel narration et reformulation de l’histoire de la « maladie-émigration » . Par notre travail nous voudrions réfléchir sur cet acte d’auto traduction et sur ses enjeux identitaires à travers des instruments interdisciplinaires qui vont de l’approche linguistique (la théorie de la traduction), à une approche littéraire en passant par une approche anthropologique.

Pierre Daviault, linguista, traduttore, scrittore e professore, ha lasciato attraverso la sua opera una delle prime illustrazioni della lingua francese del Canada. Nelle riviste letterarie quebecchesi degli anni cinquanta il linguista pubblica le sue riflessione sulla traduzione nel Canada francofono. Attraverso un approccio antropologico il discorso che Pierre Daviault tiene sulla lingua ed in particolare sulla traduzione, mostra a che punto le sue analisi linguistiche sono rivelatrici dei meccanismi che si situano alla base di ogni tipo di costruzione identitaria. Illustrandoci la lingua in uso nel Canada francofono, il linguista offre anche la possibilità di leggere, in parallelo, una rappresentazione dell’identità canadese francese cosi come era pensata all’alba della modernità.

Nell'intervista sono tratti i principali elementi dell'autotraduzione in collegamento con le scritture migranti. E la prima volta che Marco Micone , già autore di un discorso critico sulla traduzione, parla della sua pratica autotraduttiva. Gli elementi che ne emergono sono particolarmente interessanti se comparati alla pratica autotraduttiva di altri sccrittori in altri contesti.

Nel lavoro sono affrontati i concetti articolatori della didattica interculturale laddove essi incontrano la problematica posta dalla letterature della migrazione. L'approccio biografico resta un elemento che permette di accostare una metodologia ad una tematica e di farla transitare in ambito didattico.

Come prendere in considerazione le diversità e variazioni francofone come opportunità per l’insegnamento della lingua francese? Segno di adeguazione al contesto pluriculturale e della promozione delle competenze plurilingue, una tale didattica deve “elaborare un lutto” per permettere al francese di tornare ad essere lingua di scambio: ripensare il suo rapporto con la storia, mettere a distanza la “finzione ideologica” (Sherry Simon), liberare la didattica del francese dal “trauma della decolonizzazione”, come le sue ex-colonie si sono ormai liberate dal “trauma della colonizzazione”. Ma la loro lingua porta il segno di questo lavoro sulla lingua, ed è venuto il tempo di riconoscerlo, valorizzarlo, insegnarlo con la nuova figura del docente francofono.

The aim of this paper is to draw attention on the evolution of the translation and self-translation of Marco Micone’s Gens du silence. This evolution is crucial since it marks the steps of the Italian-Quebecer playwright’s research of his own origins. The first version of the work was written in French in 1982, and then re-written in the same language in 1991 and 1996. Micone then self-translated it into Italian (Non era per noi, 2004), and finally into French again (Silence, 2004). We will start with a close examination of the first three French versions of Gens du silence, which clearly express the author’s desire to rediscover and re-eleborate his own origins. We will then analyze Non era per noi, where the concept of origin has undergone a significant process of evolution. Finally, we will deal with the last French version of the text, Silence, that testifies Micone’s rediscovery of a pacified and positive relationship with his roots.

La problèmatique concerne la variation et son approche interdisciplinaire. En effet l'étude veut montrer que le phénomène linguistique de la variation peut etre lu au niveau linguistico-anthropologique et peut ouvrir un parcours methodologique vers l'anhtropologie culturelle.

La postfazione traccia le linee di ricerca che emergono dal panorama presentato che varia dalla traduttologia, alla semantica, all'analisi del discorso fino all'approccio didattico.

La construction de l'identité chez Marco MIcone dessine un parcours qui est aussi celui de son oeuvre théatrale et d'auto-traduction de ses pièces.

The linguistic education in Marco Micone and yours autobiographical experience.

La question linguistique a été et est encore pour l’écrivain québécois un champ miné et un terrain de tensions perpétuelles. Dans le paysage littéraire québécois la parole s’est diversifiée et amplifiée de l’apport d’un certain nombre d’écrivains qui, pour avoir fréquenté d’autres langues que le français, n’en ont pas moins cru nécessaire d’intervenir dans le débat sur cette langue . Marco Micone, écrivain québécois d’origine italienne et professeur d’Italien, nous a livré une série de réflexions et d’interventions sur la question du plurilinguisme et du pluriculturalisme au Québec. A travers l’analyse de la pensée de Micone nourrie par une triple expérience (migrante-enseignante-créative) et avec l’apport de l’anthropologie du langage et de l’anthropologie culturelle, nous déduirons un cadre de référence. En partant de sa biographie linguistique, cet auteur-professeur emblématique annonce, selon nous, une pédagogie interculturelle et un modèle d’élaboration identitaire exprimés par un double défi : celui de l’écrivain et celui de l’enseignant.

L'approche autobiographique sur l'oeuvre de Marco Micone fait ressortir un modèle d'apprentissage linguistique qui dessine une hierachie enre pteites et grandes langues .

En partant de la collocation du mot "francophonie" à l'intérieur du numéro de la revue « Esprit » de novembre 1962, intitulé "Le français. Langue vivante" on a étudié le fonctionnement du mot témoin pour arriver à une définition du mot qui tient compte du contexte historique.

Marie Eva de Villers, lexciographe québécoise, nous livre une reflexion sur sa profession qui est aussi une mise en lumière de sa position anthropologique.

La complexité de la société québécoise représente un cadre particulièrement significatif pour aborder les questions du plurilinguisme et du pluriculturalisme dans le champ de l’éducation. En 2002 l’Énoncé de politique éducative du Ministère ouvre son programme en déclarant : «Dans une société pluraliste comme la nôtre, l’école doit être un agent de cohésion : elle doit favoriser le sentiment d’appartenance à la collectivité, mais aussi l’apprentissage du vivre ensemble dans le respect des différences ». (Ministère de l’éducation 2002) Depuis longtemps, en effet, les différentes vagues d’immigration ont introduit dans la société québécoise un nouveau sujet capable de rompre la dichotomie entre francophones et anglophones : les allophones. C’est surtout à partir des années quatre-vingt que Marco Micone, écrivain québécois d’origine italienne et professeur d’italien, a livré, à coté de sa production littéraire, une série de réflexions sur la question du plurilinguisme. Pour lui, la salle de classe de son école, à majorité allophone, a toujours été un laboratoire où il constatait quotidiennement la nécessité du recours à la parole pour consentir l’expression identitaire. Dans son autobiographie linguistique, où Micone décrit son parcours d’élève et le chemin qui lui a permis d’accéder à la parole identitaire et créative, il est question aussi d’appartenance et d’exclusion, d’apprentissage linguistique et de socialisation.

Recenione nella rassegna Etudes linguistiques a cura di Maria Colombo Timelli

Recensione in Rassegna di linguistica francese a cura di Enrica Galazzi

Studio che propone un percorso metodologico scientifico e didattico per l'accesso- apartire da considerazioni lessicali-alla cultura dell'Altro in un'ottica interculturale e interdisciplinare.