118 results on '"T. Culty"'
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2. Recommandations françaises du Comité de transplantation de l’association française d’urologie (CTAFU) : symptômes du bas appareil urinaire et incontinence urinaire chez le patient transplanté ou en attente de transplantation rénale
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S. Drouin, T. Culty, A. Goujon, Marc-Olivier Timsit, A. Doerfler, G. Verhoest, J. Branchereau, T. Prudhomme, and G. Defortescu
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Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,surgical procedures, operative ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Urology ,030232 urology & nephrology ,Medicine ,urologic and male genital diseases ,business - Abstract
Resume Objectif Proposer des recommandations pour la prise en charge des symptomes du bas appareil urinaire (SBAU) et de l’incontinence urinaire du patient transplante renal et du candidat a la transplantation renale. Methode Une revue de la litterature (Medline) avec approche systematique a ete conduite par le CTAFU concernant les modalites therapeutiques des SBAU et des troubles de la continence du patient transplante renal et du candidat a la transplantation renale, en evaluant les references et leur niveau de preuve. Resultats La capacite vesicale fonctionnelle et la compliance vesicale sont alterees lors de la dialyse. Les SBAU, lies aux alterations pre-transplantation renale, s’ameliorent le plus frequemment spontanement apres transplantation renale. Les SBAU lies a une hyperplasie benigne de prostate (HBP) peuvent etre masques en pre-transplantation en raison de l’oligurie, des troubles de la compliance et de la capacite vesicale. En cas de SBAU lies a une HBP, seuls les anticholinergiques necessitent une adaptation de la posologie en fonction de la clairance de la creatinine. Si indiquee, la chirurgie de l’HBP peut etre realisee precocement apres transplantation renale. Concernant la prise en charge chirurgicale de l’incontinence urinaire, il ne semble pas exister d’augmentation des complications infectieuses chez le patient transplante renal. Une attention particuliere doit etre portee a la prise en charge du residu post mictionnel et des pressions vesicales en cas de vessie neurologique. La prise en charge adaptee d’un patient presentant une vessie neurologique permet une transplantation renale sans augmentation du risque de perte du transplant renal, au prix d’une augmentation de l’incidence des infections urinaires febriles. Conclusion Ces recommandations francaises doivent contribuer a ameliorer la prise en charge des symptomes du bas appareil urinaire et de l’incontinence urinaire du patient transplante renal et du candidat a la transplantation renale.
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3. Recommandations françaises du Comité de transplantation de l’association française d’urologie (CTAFU) : Carcinome à cellules rénales du transplant rénal
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Arnaud Doerfler, N. Szabla, T. Culty, Marc-Olivier Timsit, T. Bessede, Gregory Verhoest, A. Mejean, G. Defortescu, Thomas Prudhomme, Karim Bensalah, Pierre Bigot, and Xavier Tillou
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medicine.medical_specialty ,education.field_of_study ,business.industry ,Urology ,medicine.medical_treatment ,Population ,030232 urology & nephrology ,Renal function ,urologic and male genital diseases ,medicine.disease ,Asymptomatic ,Nephrectomy ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Renal cell carcinoma ,Tumor stage ,Medicine ,Stage (cooking) ,medicine.symptom ,business ,education ,Clear cell - Abstract
OBJECTIVE To propose recommendations for the management of renal cell carcinomas (RCC) of the renal transplant. METHOD Following a systematic approach, a review of the literature (Medline) was conducted by the CTAFU to evaluate prevalence, diagnosis and management of RCC arousing in the renal transplant. References were assessed according to a predefined process to propose recommendations with levels of evidence. RESULTS Renal cell carcinomas of the renal transplant affect approximately 0.2% of recipients. Mostly asymptomatic, these tumors are mainly diagnosed on a routine imaging of the renal transplant. Predominant pathology is clear cell carcinomas but papillary carcinomas are more frequent than in general population (up to 40-50%). RCC of the renal transplant is often localized, of low stage and low grade. According to tumor characteristics and renal function, preferred treatment is radical (transplantectomy) or nephron sparing through partial nephrectomy (open or minimally invasive approach) or thermoablation after percutaneous biopsy. Although no robust data support a switch of immunosuppressive regimen, some authors suggest to favor the use of mTOR inhibitors. CTAFU does not recommend a mandatory waiting time after transplantectomy for RCC in candidates for a subsequent renal tranplantation when tumor stage
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- 2021
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4. Recommandations françaises du Comité de transplantation de l’Association française d’urologie (CTAFU) : cancer de la prostate localisé chez le patient transplanté rénal ou en attente de transplantation
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T. Culty, Guillaume Ploussard, François Rozet, S. Drouin, Romain Boissier, A. Goujon, X. Matillon, Julien Branchereau, Xavier Tillou, François Kleinclauss, T. Bessede, Arnaud Doerfler, G. Defortescu, Arnaud Mejean, Thomas Prudhomme, Gregory Verhoest, and Marc-Olivier Timsit
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Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,surgical procedures, operative ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Waiting list ,Urology ,030232 urology & nephrology ,Medicine ,business - Abstract
Resume Objectif Le but du Comite de transplantation de l’Association francaise d’urologie est de proposer des recommandations pour la prise en charge du cancer de la prostate localise (CaP) chez le candidat ou le receveur d’un transplant renal. Methode Une revue de la litterature d’approche systematique (Medline) a ete conduite par le CTAFU concernant l’epidemiologie, le depistage, le diagnostic et le traitement du CaP chez le candidat ou le receveur d’un transplant renal en evaluant les references et leurs niveaux de preuve. Resultats L’incidence du CaP chez le transplante renal est similaire a la population generale. Le depistage dans cette population doit suivre les recommandations du CCAFU. Le depistage est systematique chez le candidat a un transplant renal de plus de 50 ans. Le diagnostic repose sur les biopsies de la prostate realisees apres IRM multiparametrique et sans specificite de l’antibioprophylaxie. Les recommandations therapeutiques du CaP proposees par le CCAFU restent applicables a la population des patients transplantes avec certaines specificites en particulier pour le traitement des aires ganglionnaires. Pour les candidats a la transplantation renale, la problematique de l’acces a la transplantation doit etre prise en compte. Les donnees actuelles permettent de proposer des delais de carence apres traitement du CaP avec un faible niveau de preuve. Conclusion Ces recommandations francaises doivent contribuer a ameliorer la prise en charge du CaP chez le patient candidat ou receveur d’un transplant renal en integrant objectifs oncologiques et acces a la transplantation.
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- 2021
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5. Recommandations françaises du Comité de transplantation de l’association française d’urologie (CTAFU) : lithiase urinaire chez le receveur ou le donneur en transplantation rénale
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Julien Branchereau, E. Alezra, T. Culty, Nicolas Terrier, Rodolphe Thuret, Thomas Bessede, X. Matillon, Gregory Verhoest, Romain Boissier, S. Drouin, F. Sallusto, A. Goujon, Arnaud Doerfler, Xavier Tillou, and Marc-Olivier Timsit
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Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Urology ,030232 urology & nephrology ,Medicine ,business - Abstract
Resume Objectif Proposer des recommandations pour la prise en charge des calculs urinaires chez le donneur ou le receveur d’un transplant renal. Methode Une revue d’approche systematique de la litterature (Medline) a ete conduite par le CTAFU concernant l’epidemiologie, le diagnostic et le traitement des calculs urinaires chez le donneur ou le receveur d’un transplant renal. Resultats La prevalence des calculs urinaires est inconnue chez les donneurs decedes mais peut atteindre 9,3 % chez les donneurs vivants dans les pays industrialises. Chez tous types de donneurs de reins, hormis ceux de la categorie 2 de Maastricht, le diagnostic repose sur la tomodensitometrie faisant partie du bilan avant tout prelevement d’organes en France. Aucune etude n’a compare les strategies de traitements envisageables en cas de calcul detecte chez le donneur : l’ureteroscopie ou la lithotripsie extracorporelle chez le donneur vivant avant prelevement, un traitement ex vivo (pyelotomie ou ureteroscopie), une ureteroscopie chez le receveur apres transplantation, une surveillance en cas de petit calcul. Les calculs de novo chez le receveur impliquent un processus de lithogenese a identifier et traiter pour eviter les recidives. Le contexte de rein unique fonctionnel fait toute la gravite de la pathologie lithiasique. Le diagnostic est en general fait au decours d’un bilan pour alteration de la fonction renale, d’une hematurie ou d’un sepsis. L’echographie detecte la dilatation des cavites pyelocalicielles, le scanner precise la topographie et la taille du calcul. Il n’existe aucune etude prospective comparative evaluant les techniques de traitement d’un calcul chez un transplante renal qui sont identiques a celles de la population generale. Conclusion Ces recommandations francaises doivent contribuer a ameliorer la prise en charge des calculs urinaires chez le patient donneur ou receveur d’un transplant renal.
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- 2021
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6. Recommandations françaises du Comité de transplantation de l’Association française d’urologie (CTAFU) : néphrectomie pour don de rein
- Author
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Julien Branchereau, Marc-Olivier Timsit, S. Drouin, Georges Karam, Lionel Badet, Thomas Prudhomme, Romain Boissier, Gregory Verhoest, X. Matillon, Nicolas Terrier, T. Bessede, T. Culty, F. Sallusto, and G. Defortescu
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Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Urology ,030232 urology & nephrology ,medicine ,business ,Living donor nephrectomy - Abstract
Resume Objectif Proposer des recommandations chirurgicales pour la nephrectomie dans le cadre d’un don de rein pour transplantation. Methode Une revue de la litterature (Medline) avec approche systematique a ete conduite par le CTAFU concernant les elements d’evaluation fonctionnelle et anatomique du candidat au don, les options dans le choix du rein a prelever et des differentes techniques chirurgicales, en evaluant les references et leur niveau de preuve. Resultats Les recommandations precisent le cadre legal et reglementaire du don de rein. Une evaluation de qualite du candidat au don est un des prerequis indispensable a la securite du donneur qui est une priorite absolue. L’impact de la nephrectomie sur la fonction renale doit etre evalue. En cas de vascularisation modale des deux reins sans difference relative de fonction ni anomalie urologique, le rein gauche doit etre preleve afin d’avoir une veine plus longue. Les techniques chirurgicales de nephrectomie mini-invasives ont pour avantages une recuperation plus rapide, une hospitalisation plus courte et une diminution des douleurs pour le donneur. Ces techniques mini-invasives doivent etre proposees a la place d’une voie incisionnelle ouverte. Conclusion Ces recommandations francaises doivent contribuer a ameliorer la prise en charge chirurgicale des patients candidats a un don de rein.
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- 2021
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7. Évaluation de l’utilisation de la salle hybride sur l’activité de chirurgie en cancérologie rénale
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C. Rolley, M. Humeau, M. Mauny, S. Lebdai, E. Silve, T. Culty, Cosmina Nedelcu, M.C. Rousselet, Pierre Bigot, C. Aubert, Nathalie Baize, J. Heuveline, V. Le Corre, Antoine Bouvier, Christophe Aubé, E. Brassart, Service d'Urologie [Angers], Centre Hospitalier Universitaire d'Angers (CHU Angers), PRES Université Nantes Angers Le Mans (UNAM)-PRES Université Nantes Angers Le Mans (UNAM), and PRES Université Nantes Angers Le Mans (UNAM)
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Gynecology ,medicine.medical_specialty ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,Tumor size ,business.industry ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,Urology ,University hospital ,Kidney tumor ,3. Good health ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,030220 oncology & carcinogenesis ,medicine ,Operative time ,Complication rate ,business - Abstract
Introduction La nephrectomie partielle (NP) apres embolisation des vaisseaux tumoraux en salle hybride (NPESH) combine l’embolisation des vaisseaux tumoraux et l’enucleation de la tumeur sous coelioscopie dans un meme temps operatoire. L’objectif de cette etude etait d’evaluer l’impact de l’utilisation d’une salle hybride sur la prise en charge des patients traites par chirurgie pour une tumeur localisee du rein. Materiel et methodes Nous avons etudie, via la base de donnees uroCCR, tous les patients consecutifs pris en charge par nephrectomie partielle, dans un centre universitaire pour une tumeur du rein. Pendant la periode 1, de 2011 a mai 2015, les patients ont ete traites par nephrectomie partielle coelioscopique (NPC) ou ouverte (NPCO) classique. Pendant la periode 2, de mai 2015 a mai 2019, les patients ont ete traites par NPESH. Nous avons recueilli les caracteristiques des patients, des tumeurs, les donnees peroperatoires et postoperatoires. Ces donnees ont ete comparees par des tests de Student et du Khi2. Resultats Quatre-vingt-sept NP ont ete realisees pendant la periode 1 et 137 pendant la periode 2. Le score ASA des patients de la periode 2 etait plus eleve (p < 0,0001). La complexite tumorale et la taille tumorale mediane etaient similaires dans les deux groupes (p = 0,852 et p = 0,48). Le taux de complications pour les periodes 1 et 2 etait de 55,2 % et 33,6 % (p = 0,002). Les complications etaient moins severes dans le groupe 2 (p = 0,012). La duree mediane d’hospitalisation etait de 8 et 4 jours pour les periodes 1 et 2 (p < 0,0001). Les marges chirurgicales positives etaient de 2 (2,3 %) et 6 (4,6 %) pour les periodes 1 et 2 (p = 0,713). Discussion L’utilisation de la salle hybride a permis le developpement de la NPESH qui est une technique fiable. Elle semble etre une alternative interessante a la nephrectomie partielle standard en permettant de limiter, le taux de complication et la duree de sejour. Summary Introduction Partial nephrectomy (NP) after embolization of tumor vessels (NPESH) in a hybrid room combines embolization of tumor vessels and enucleation of the tumor under laparoscopy in the same operative time. The purpose of this study was to assess the impact of the use of NPESH in the management of patients treated with surgery for a localized kidney tumor. Material and methods Using the uroCCR database, we included all consecutive patients operated in a university hospital for localized kidney tumor. From 2011 to May 2015, patients were treated by Standard Partial Nephrectomy (NPS) Laparoscopic or Open and from May 2015 to May 2019 by NPESH. We evaluated characteristics of patients, tumors, perioperative data and complications. These data were compared by Student and Khi2 tests. Results 87 NPS were performed during Period 1 and 137 NPS were performed during period 2. The ASA score of patients undergoing NPESH was higher than NPS (P < 0.0001). The tumor complexity and median tumor size were similar in the two groups (P = 0.852 and P = 0.48). The complication rate for NPS and NPESH was 55.2% and 33.6% (P = 0.002). There were less severe complications in the NEPSH group (P = 0.012). The median length of stay was 8 and 4 days for the NPS and NPESH groups (P < 0.0001). Positive surgical margins were 2 (2.3%) and 6 (4.6%) for the NPS and NPESH group (P = 0.713). Discussion NPESH is an efficient technique compared to NPS. It seems to be an interesting alternative to limit renal ischemia, complication rate and length of stay for the management of localized kidney tumors.
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- 2020
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8. L’activité de transplantation rénale vue par les jeunes urologues : une enquête du CTAFU et de l’AFUF
- Author
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A. Goujon, K. Kaulanjan, F. Kaulanjan, S. Drouin, T. Bessede, T. Culty, F. Sallusto, C. Millet, R. Thuret, J. Branchereau, J. Boutin, F. Kleinklauss, E. Seizilles de Mazancourt, G. Verhoest, and M. Timsit
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Urology - Published
- 2022
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9. Incidence and risk factors for urolithiasis recurrence after endourological management of kidney stones: A retrospective single-centre study
- Author
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F. Baowaidan, A.S. Zugail, Y. Lyoubi, T. Culty, S. Lebdai, E. Brassart, and P. Bigot
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Kidney Calculi ,Calcium Oxalate ,Urolithiasis ,Recurrence ,Risk Factors ,Urology ,Incidence ,Hypertension ,Humans ,Urinary Calculi ,Retrospective Studies - Abstract
Almost half of the patients have had recurrent nephrolithiasis despite undergoing effective treatment. Our objective is to determine the recurrence rate of lithiasis after endourological management of nephrolithiasis and identify the risk factors for these recurrences.Data were gathered retrospectively from all patients who were treated for nephrolithiasis by endourological management from May 2014 to January 2017 in our university hospital. The patients were devised into two groups: with and without recurrence. Many variables were also compared between these two groups.During this period 265 patients were treated for upper urinary tract stone. A total of 190 patients were included in the study. The median age and median BMI of the patients were 57.5 years and 25.2kg/mStone recurrence is common after the management of urinary stones. In this study 25.8% of patients had recurred stone disease after endourological management with a median follow-up of 32 months. Our study findings showed that diabetes and smoking are risk factors for recurrence, while age and blood hypertension are protective factors that decreased the risk of recurrence.
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- 2021
10. Fragmentation et extraction des reins polykystiques au cours de la néphrectomie cœlioscopique manuellement assistée : une étude observationnelle prospective
- Author
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Cosmina Nedelcu, T. Culty, S. Lebdai, A. Magnier, and Pierre Bigot
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Medicine ,business - Abstract
Objectifs Decrite pour la premiere fois en 1996, la nephrectomie laparoscopique pour reins polykystiques est maintenant couramment utilisee par plusieurs unites de transplantation. Cependant l’extraction de ces reins de haut volume est un defi qui n’a pas ete resolu de maniere adequate. Nous avons experimente une technique de fragmentation manuelle intracorporelle au sein d’un sac d’isolation au cours de la cœlioscopie manuellement assistee. Methodes Tous les patients atteints de polykystose renale et qui ont necessite une nephrectomie ont ete inclus de maniere prospective dans l’etude de janvier 2018 a mai 2021. La nephrectomie a ete realisee par laparoscopie manuellement assistee a l’aide du systeme laparoscopique GelPort®, positionne a travers une incision de Pfannenstiel de 8 cm. Trois ou quatre trocarts supplementaires et une optique de 0° ou 30° de dix millimetres ont ete utilises. Le rein a ensuite ete place dans un sac d’isolation Vi-Drape® (45 cm × 45 cm) avant d’etre morcele a la main en intracorporel puis extrait au travers de l’ecarteur Alexis du GelPort®. Resultats Vingt-trois nephrectomies (9 reins gauches, 14 reins droits) ont ete realisees. Les indications operatoires etaient les suivantes : prise en charge pre-transplantation, infection kystique recurrente, douleur, prolapsus genital, polyglobulie et presence d’une lesion suspecte de malignite chez respectivement 12, 5, 2, 1, 1 et 2 patients. L’âge, l’IMC, le volume renal median des patients etaient respectivement de 55 ans (47–74), 25,03 kg.m-2 (18,04–34,88) et 1520 cc (588–4627). Les temps operatoires, de mise au sac, de fragmentation medians etaient respectivement de 147 min (89–306), 4,00 min (1,87–16,43), 1,15 min (0,16–4,65). Aucun drainage n’etait necessaire, avec une perte mediane d’hemoglobine de 0,1 g/dl (−1–3,9). 12 patients (52 %) ont presente des complications postoperatoires, dont 2 de grade III, 1 de grade IV. La duree mediane du sejour etait de 3 jours (2–15). Conclusion La fragmentation manuelle intra-corporelle de volumineux reins polykystiques dans un sac d’isolation pendant la nephrectomie cœlioscopique manuellement assistee permet d’extraire facilement d’enormes reins polykystiques avec un dommage minimal a la paroi abdominale et un risque minimal de dissemination bacterienne ou oncologique.
- Published
- 2021
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11. Geriatric Assessment Can Predict Outcomes of Endoscopic Surgery for Benign Prostatic Hyperplasia in Elderly Patients
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N. Collet, C.P. Launay, T. Culty, O. Beauchet, S. Lebdail, A. Cerruti, T. Pichon, E Brassart, D. Chautard, A.R. Azzouzi, Pierre Bigot, and N. Hoarau
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Male ,medicine.medical_specialty ,Health Services for the Aged ,Urology ,Prostatic Hyperplasia ,030232 urology & nephrology ,Endoscopic surgery ,urologic and male genital diseases ,Sensitivity and Specificity ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Predictive Value of Tests ,medicine ,Humans ,Prospective Studies ,Prospective cohort study ,Geriatric Assessment ,Aged ,Aged, 80 and over ,medicine.diagnostic_test ,Urinary retention ,business.industry ,Mortality rate ,Transurethral Resection of Prostate ,Endoscopy ,Geriatric assessment ,Urinary Retention ,Hyperplasia ,medicine.disease ,Surgery ,Treatment Outcome ,ROC Curve ,030220 oncology & carcinogenesis ,Predictive value of tests ,medicine.symptom ,business - Abstract
Ojectives: Surgical management of benign prostatic hyperplasia (BPH) in elderly patients is associated with higher morbidity and mortality rate. This raises the question of benefice and risk balance. We conducted a prospective observational study to evaluate the results of endoscopic surgery for BPH in elderly patients, according to geriatric assessment.We included prospectively 60 patients older than 75 years, with an indwelling catheter for acute or chronic retention, who were candidates to endoscopic surgery for BPH. Patients underwent the brief geriatric assessment (BGA) and the comprehensive geriatric assessment (CGA) to classify them into three groups: "vigorous," "vulnerable," and "sick." Success was defined by the bladder catheter withdrawal after surgery.After geriatric assessment, 33 patients were classified in the "vigorous" group (55%), 25 in the "vulnerable" group (42%), and 2 in the "sick" group (3%). The success rate immediately after surgery was 85% and 41% in the "vigorous patient" group and the "vulnerable and sick" patient group, respectively (p 0.05). The success rate at 3 months after surgery was 94% and 55% (p 0.05). The morbidity was higher for the "vulnerable and sick" group (44%) compared with the "vigorous" group (15%) (p 0.05). The BGA also allowed predicting a higher risk of failure in patients with a score ≥3 immediately after surgery (odds ratio 5.9, confidence interval [95% CI] 1.61, 29.9) and 3 months after surgery (odds ratio 6.9, 95% CI 1.31, 70.8).Geriatric assessment can predict the outcome of endoscopic surgery for BPH for patients in retention older than 75 years. "Vulnerable and sick" patients had a higher risk to keep their indwelling catheter after the surgery compared with "vigorous" patients. The complication rate is also higher. The BGA can although predict a poor result of surgery when its score is equal or above 3/6.
- Published
- 2017
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12. Facteurs de risque de récidive lithiasique après prise en charge urologique des calculs
- Author
-
S. Lebdai, Y. Lyoubi, A. Zugail, Pierre Bigot, E. Brassart, F. Baowaidan, and T. Culty
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Medicine ,business - Abstract
Objectifs Il est decrit que pres d’un patient sur deux recidive une migration lithiasique apres un premier episode de colique nephretique. L’objectif de cette etude etait de determiner le taux de recidive lithiasique apres la prise en charge urologique d’un calcul urinaire et d’identifier des facteurs de risque de recidive. Methodes Nous avons realise une etude retrospective monocentrique et inclus les patients pris en charge pour un calcul du haut appareil urinaire dans un hopital universitaire entre mai 2014 et janvier 2017. Nous avons evalue les caracteristiques demographiques, les caracteristiques des calculs et la survenue ou non d’une recidive lithiasique aux dernieres nouvelles. Nous avons compare les caracteristiques clinicopathologiques des patients avec ou sans recidive. Resultats Pendant cette periode 265 patients ont ete traites pour un calcul urinaire du haut appareil urinaire. Au total, 190 patients ont ete inclus dans l’etude dont 115 hommes (60,5 %). L’âge median et l’IMC median des patients etaient respectivement de 57,5 ans et 25,2. Une analyse biochimique des calculs a ete effectuee chez 117 (61,5 %) patients. Les calculs les plus frequents etaient les calculs d’oxalate de calcium monohydrate (n = 44 ; 23,2 %), les calculs mixtes (n = 39 ; 20,5 %), les calculs d’oxalate de calcium dihydrate (n = 13 ; 6,8 %) et les calculs d’acide urique (n = 11 ; 5,8 %). Au terme d’un suivi median de 32 mois (13–61), 49 patients (25,8 %) avaient presente une recidive lithiasique. En analyse univariee, les facteurs de risque de recidive etaient un IMC superieur a 25 (HR : 2 ; p Fig. 1 , Tableau 1 , Tableau 2 ). Conclusion Dans cette etude 25,9 % des patients avaient presente une recidive lithiasique apres un suivi median de 32 mois. Le diabete, le tabagisme etaient des facteurs de risque de recidive alors que l’âge et l’hypertension arterielle etaient des facteurs protecteurs.
- Published
- 2020
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13. [Renal cell carcinoma of the kidney transplant: The French guidelines from CTAFU]
- Author
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X, Tillou, A, Doerfler, N, Szabla, G, Verhoest, G, Defortescu, T, Bessede, T, Prudhomme, T, Culty, P, Bigot, K, Bensalah, A, Méjean, and M-O, Timsit
- Subjects
Postoperative Complications ,Humans ,Carcinoma, Renal Cell ,Kidney Transplantation ,Kidney Neoplasms - Abstract
To propose recommendations for the management of renal cell carcinomas (RCC) of the renal transplant.Following a systematic approach, a review of the literature (Medline) was conducted by the CTAFU to evaluate prevalence, diagnosis and management of RCC arousing in the renal transplant. References were assessed according to a predefined process to propose recommendations with levels of evidence.Renal cell carcinomas of the renal transplant affect approximately 0.2% of recipients. Mostly asymptomatic, these tumors are mainly diagnosed on a routine imaging of the renal transplant. Predominant pathology is clear cell carcinomas but papillary carcinomas are more frequent than in general population (up to 40-50%). RCC of the renal transplant is often localized, of low stage and low grade. According to tumor characteristics and renal function, preferred treatment is radical (transplantectomy) or nephron sparing through partial nephrectomy (open or minimally invasive approach) or thermoablation after percutaneous biopsy. Although no robust data support a switch of immunosuppressive regimen, some authors suggest to favor the use of mTOR inhibitors. CTAFU does not recommend a mandatory waiting time after transplantectomy for RCC in candidates for a subsequent renal tranplantation when tumor stageT3 and low ISUP grade.These French recommendations should contribute to improving the oncological and functional prognosis of renal transplant recipients by improving the management of RCC of the renal transplant.
- Published
- 2020
14. [Localized Prostate cancer in candidates for renal transplantation and recipients of a kidney transplant: The French Guidelines from CTAFU]
- Author
-
T, Culty, A, Goujon, G, Defortescu, T, Bessede, F, Kleinclauss, R, Boissier, S, Drouin, J, Branchereau, A, Doerfler, T, Prudhomme, X, Matillon, G, Verhoest, X, Tillou, G, Ploussard, F, Rozet, A, Méjean, and M-O, Timsit
- Subjects
Male ,Postoperative Complications ,Humans ,Kidney Failure, Chronic ,Prostatic Neoplasms ,Kidney Transplantation - Abstract
To define guidelines for the management of localized prostate cancer (PCa) in kidney transplant (KTx) candidates and recipients.A systematic review (Medline) of the literature was conducted by the CTAFU to report prostate cancer epidemiology, screening, diagnosis and management in KTx candidates and recipients with the corresponding level of evidence.KTx recipients are at similar risk for PCa as general population. Thus, PCa screening in this setting is defined according to global French guidelines from CCAFU. Systematic screening is proposed in candidates for renal transplant over 50 y-o. PCa diagnosis is based on prostate biopsies performed after multiparametric MRI and preventive antibiotics. CCAFU guidelines remain applicable for PCa treatment in KTx recipients with some specificities, especially regarding lymph nodes management. Treatment options in candidates for KTx need to integrate waiting time and access to transplantation. Current data allows the CTAFU to propose mandatory waiting times after PCa treatment in KTx candidates with a weak level of evidence.These French recommendations should contribute to improve PCa management in KTx recipients and candidates, integrating oncological objectives with access to transplantation.
- Published
- 2020
15. [Lower urinary tract symptoms and urinary incontinence in renal transplant recipients and candidates: The French guidelines from CTAFU]
- Author
-
S, Drouin, G, Defortescu, T, Prudhomme, T, Culty, G, Verhoest, A, Doerfler, A, Goujon, J, Branchereau, and M-O, Timsit
- Subjects
Postoperative Complications ,Urinary Incontinence ,Lower Urinary Tract Symptoms ,Humans ,Renal Insufficiency, Chronic ,Kidney Transplantation - Abstract
To propose surgical recommendations for the management of lower urinary tract symptoms (LUTS) and urinary incontinence in kidney transplant recipients and candidates.Following a systematic approach, a review of the literature (Medline) was conducted by the CTAFU focusing on medical and surgical treatment of LUTS and urinary incontinence in kidney transplant recipients and candidates. References were assessed according to a predefined process to propose recommendations with levels of evidence.Functional bladder capacity and bladder compliance are impaired during dialysis. LUTS, related to pre-kidney transplantion alterations, frequently improve spontaneously after kidney transplantation. LUTS secondary to benign prostatic hyperplasia (BPH) may be underestimated before kidney transplantation due to oliguria, low bladder compliance and low bladder capacity. In LUTS associated with BPH, anticholinergics require dosage adjustment with creatinine clearance. If surgery is indicated after kidney transplantation, procedure can be safely performed in the early post-transplant course after removal of ureteral stent. Surgical management of urinary incontinence does not seem to be associated with an icreased risk for infectious complications in kidney transplant recipients. Particular attention should be paid to the management of postvoid residual and bladder pressures in case of neurological bladder disease. Optimal care of neurological bladder should be provided prior to transplantation: with a cautious management, and despite an increased occurrence of febrile urinary tract infections, transplant survival is not compromised.These recommendations must contribute to improve the management of lower urinary tract symptoms and urinary incontinence in kidney transplant patients and kidney transplant candidates.
- Published
- 2020
16. [Urinary stones in renal transplant recipients and donors: The French guidelines from CTAFU]
- Author
-
T, Bessede, J, Branchereau, A, Goujon, R, Boissier, E, Alezra, G, Verhoest, T, Culty, X, Matillon, A, Doerfler, X, Tillou, F, Sallusto, N, Terrier, R, Thuret, S, Drouin, and M-O, Timsit
- Subjects
Postoperative Complications ,Humans ,Urinary Calculi ,Kidney Transplantation ,Tissue Donors - Abstract
To define guidelines for the management of kidney stones in kidney transplant (KTx) donor or recipients.Following a systematic approach, a review of the literature (Medline) was conducted by the CTAFU to report kidney stone epidemiology, diagnosis and management in KTx donors and recipients with the corresponding level of evidence.Prevalence of kidney stones in deceased donor is unknown but reaches 9.3% in living donors in industrialized countries. Except in Maastrich 2 donors, diagnosis is done on systematic pre-donation CT scan according to standard french procedure. No prospective study has compared therapeutic strategies available for the management of kidney stones in KTx donor: ureteroscopy or an extra corporeal lithotripsy in case of living donor prior to donation, ex vivo approach (pyelotomy or ureteroscopy), ureterocopy in the KTx recipient or surveillance. De novo kidney stones result from a lithogenesis process to be identified and treated in order to avoid recurrences. The context of solitary functional kidney renders the prevention of recurrence of great importance. Diagnosis is suspected when identification of a renal graft dysfunction, hematuria or urinary tract infection with renal pelvis dilatation. Stone size and location are determined by computed tomography. There are no prospective, controlled studies on kidney stone management in the KTx. The therapeutic strategies are similar to standard management in general population.These French recommendations should contribute to improve kidney stones management in KTx donor and recipients.
- Published
- 2020
17. [Living donor nephrectomy: The French guidelines from CTAFU]
- Author
-
J, Branchereau, T, Prudhomme, T, Bessede, G, Verhoest, R, Boissier, T, Culty, X, Matillon, G, Defortescu, F, Sallusto, N, Terrier, S, Drouin, G, Karam, L, Badet, and M-O, Timsit
- Subjects
Tissue and Organ Procurement ,Living Donors ,Humans ,France ,Nephrectomy - Abstract
To propose surgical recommendations for living donor nephrectomy.Following a systematic approach, a review of the literature (Medline) was conducted by the CTAFU regarding functional and anatomical assessment of kidney donors, including which side the kidney should be harvested from. Distinct surgical techniques and approaches were evaluated. References were considered with a predefined process to propose recommendations with the corresponding levels of evidence.The recommendations clarify the legal and regulatory framework for kidney donation in France. A rigorous assessment of the donor is one of the essential prerequisites for donor safety. The impact of nephrectomy on kidney function needs to be anticipated. In case of modal vascularization of both kidneys without a relative difference in function or urologic abnormality, removal of the left kidney is the preferred choice to favor a longer vein. Mini-invasive approaches for nephrectomy provide faster donor recovery, less donor pain and shorter hospital stay than open surgery.These French recommendations must contribute to improving surgical management of candidates for kidney donation.
- Published
- 2020
18. [Impact of partial nephrectomy in a hybrid operating room on the activity of kidney cancer surgery]
- Author
-
C, Aubert, C, Rolley, M, Mauny, J, Heuveline, E, Silve, M, Humeau, V, Le Corre, S, Lebdai, E, Brassart, T, Culty, N, Baize, M C, Rousselet, C, Nedelcu, C, Aubé, A, Bouvier, and P, Bigot
- Subjects
Adult ,Aged, 80 and over ,Male ,Operating Rooms ,Middle Aged ,Combined Modality Therapy ,Embolization, Therapeutic ,Nephrectomy ,Kidney Neoplasms ,Postoperative Complications ,Treatment Outcome ,Humans ,Female ,Laparoscopy ,Aged - Abstract
Partial nephrectomy (NP) after embolization of tumor vessels (NPESH) in a hybrid room combines embolization of tumor vessels and enucleation of the tumor under laparoscopy in the same operative time. The purpose of this study was to assess the impact of the use of NPESH in the management of patients treated with surgery for a localized kidney tumor.Using the uroCCR database, we included all consecutive patients operated in a university hospital for localized kidney tumor. From 2011 to May 2015, patients were treated by Standard Partial Nephrectomy (NPS) Laparoscopic or Open and from May 2015 to May 2019 by NPESH. We evaluated characteristics of patients, tumors, perioperative data and complications. These data were compared by Student and Khi2 tests.87 NPS were performed during Period 1 and 137 NPS were performed during period 2. The ASA score of patients undergoing NPESH was higher than NPS (P0.0001). The tumor complexity and median tumor size were similar in the two groups (P=0.852 and P=0.48). The complication rate for NPS and NPESH was 55.2% and 33.6% (P=0.002). There were less severe complications in the NEPSH group (P=0.012). The median length of stay was 8 and 4 days for the NPS and NPESH groups (P0.0001). Positive surgical margins were 2 (2.3%) and 6 (4.6%) for the NPS and NPESH group (P=0.713).NPESH is an efficient technique compared to NPS. It seems to be an interesting alternative to limit renal ischemia, complication rate and length of stay for the management of localized kidney tumors.
- Published
- 2019
19. La chirurgie robot-assistée en transplantation rénale
- Author
-
G. Defortescu, X. Tillou, L. Badet, B. Barrou, T. Bessede, P. Blanchet, J.M. Boutin, J. Branchereau, T. Culty, V. Delaporte, A. Doerfler, F. Gaudez, M. Gigante, G. Karam, F. Kleinclauss, Y. Neuzillet, F. Sallusto, L. Salomon, N. Terrier, R. Thuret, M.O. Timsit, and G. Verhoest
- Subjects
Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Urology ,030232 urology & nephrology ,Medicine ,030230 surgery ,business - Abstract
Resume Introduction Apres le developpement de la nephrectomie laparoscopique de donneur vivant en 1995, puis l’evolution vers la laparoscopie robot-assistee en 1999, certaines equipes ont evalue l’apport de ces techniques en transplantation renale. Methodes Une revue de la litterature a ete menee colligeant les etudes cliniques evaluant la chirurgie laporoscopique robot-assistee pour le prelevement renal a donneur vivant et pour la transplantation renale. Resultats Le prelevement renal donneur vivant robot-assiste a une tres faible morbidite et de bons resultats a long terme concernant donneurs et receveurs. Elle permet notamment une amelioration des douleurs postoperatoire. L’apport de la chirurgie robotique en transplantation renale semble plus limite. Les differentes series semblent mettre en lumiere un interet chez les patients obeses et/ou sous anticoagulants en diminuant la morbidite parietale.
- Published
- 2016
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20. Impact du délai avant prise en charge par néphrectomie partielle d’une tumeur du rein localisé
- Author
-
T. Culty, S. Lebdai, S. Chelly, C. Aubert, Pierre Bigot, V. Le Corre, M. Royer, E. Brassart, C. Julie, and M. Benoit
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine ,business - Abstract
Objectifs La prise en charge chirurgicale par nephrectomie partielle d’une tumeur du rein localisee peut-etre retardee en raison des comorbidites du patient ou encore de problemes d’acces au bloc operatoire. L’objectif de cette etude etait d’evaluer l’impact carcinologique d’un delai prolonge avant nephrectomie partielle. Methodes Nous avons inclus dans la base de donnees prospectives uroCCR les patients operes d’une nephrectomie partielle dans un centre unique pour tumeur du rein localisee entre 2015 et 2020. Nous avons etudie le stade anatomopathologique des tumeurs ainsi que le taux de recidive chez les patients ayant eu une prise en charge chirurgicale > 90 jours. L’impact de la realisation d’une biopsie preoperatoire sur ces donnees a egalement ete etudie. Ces donnees ont ete comparees par des tests de Student et de Chi2 a l’aide du logiciel SPSS. Resultats Nous avons inclus 179 patients dont l’âge median etait de 63 (± 13) ans, 41 (23 %) ont recu une biopsie preoperatoire. Quatre-vingt-neuf patients (50 %) ont ete operes dans un delai de plus de 3 mois. Le delai median avant nephrectomie etait alors de 150 (± 139) jours. Il n’existait pas plus de recidive en cas de delai prolonge avant chirurgie (p = 0,617), et le taux de tumeurs de stade T3 etait comparable (p = 0,531). La croissance tumorale, calculee par le differentiel de la taille au diagnostic initial et la taille a l’anatomopathologie etait comparable (p = 0,122). La realisation d’une biopsie preoperatoire entraine un doublement du delai avant chirurgie (p Fig. 1 et Tableau 1 ). Conclusion Une prise en charge par nephrectomie partielle pour tumeur du rein localisee au-dela de 3 mois, notamment pour permettre de biopsier la tumeur en cas de doute diagnostique, ne semble pas impacter le pronostic carcinologique des patients. Ces donnees, validees a plus grande echelle pourraient permettre de rassurer les patients ayant une prise en charge chirurgicale retardee.
- Published
- 2020
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21. Double J stenting evaluation after ureteroscopy for urolithiasis
- Author
-
P. Panayotopoulos, S. Lebdai, T. Segalen, T. Culty, A.-R. Azzouzi, Jérémie Riou, Pierre Bigot, E. Brassart, Centre Hospitalier Universitaire d'Angers (CHU Angers), PRES Université Nantes Angers Le Mans (UNAM), Micro et Nanomédecines Translationnelles (MINT), Université d'Angers (UA)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), and CCSD, Accord Elsevier
- Subjects
Adult ,Male ,medicine.medical_specialty ,Calcul urétéral ,Ureteral Calculi ,Adolescent ,Urology ,Postoperative pain ,medicine.medical_treatment ,Ureteral stent ,030232 urology & nephrology ,Life quality ,Prosthesis Design ,03 medical and health sciences ,Kidney Calculi ,Young Adult ,0302 clinical medicine ,Primary outcome ,Postoperative Complications ,Urolithiasis ,medicine ,Ureteroscopy ,Humans ,cardiovascular diseases ,Stent urétéral ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Aged ,Retrospective Studies ,Aged, 80 and over ,Pain, Postoperative ,medicine.diagnostic_test ,business.industry ,Stent ,Pain scale ,Middle Aged ,equipment and supplies ,3. Good health ,Surgery ,[STAT] Statistics [stat] ,[STAT]Statistics [stat] ,surgical procedures, operative ,Double j stent ,Acute postoperative pain ,Female ,Stents ,Ureter ,business - Abstract
International audience; Objectives: During ureteroscopy for urolithiasis, postoperative ureteral drainage with double J stent is frequently used. It may reduce acute postoperative pain and late ureteral stenosis. Double J stent can have negative impact on life quality. After uncomplicated intervention, double J stent is not mandatory. Objective of our study was to evaluate pain and complications after ureteroscopy with or without stent.Methods: We retrospectively analyzed ureteroscopy performed between May 2014 and January 2017. Interventions were compared regarding ureteral drainage with double J stent or not. Our primary outcome was early postoperative pain evaluated with an oral pain scale form 1 to 10 on day one after intervention. Clinical characteristics, per- and postoperative data were collected. We also looked for risks factors of complications.Results: Three hundred and sixty-six interventions were included, 259 (70.8%) with and 107 (29.2%) without double J stent. Stone burden was higher in stented group (18.3 vs 9.4mm, P
- Published
- 2019
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22. Risk factors for lithiasis recurrence after endourological management of stones
- Author
-
A.R. Azzouzi, F. Baowaidan, Y. Lyoubi, T. Culty, S. Lebdai, Pierre Bigot, A. Zugail, and E Brassart
- Subjects
medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,General surgery ,medicine ,business - Published
- 2019
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23. Le type de drainage postopératoire modifie-t-il les résultats de l’urétérorénoscopie souple pour la fragmentation laser des calculs rénaux ?
- Author
-
Pierre Bigot, F. Martin, D. Chautard, N. Hoarau, A.R. Azzouzi, S. Lebdai, A. Cerruti, and T. Culty
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine ,Double pigtail stent ,business - Abstract
Resume Introduction L’objectif de notre etude etait d’evaluer si le type de drainage postoperatoire par sonde double J (SDJ) ou par sonde ureterale (SU) modifiait les resultats apres ureterorenoscopie souple (URS) pour le traitement des calculs renaux. Materiel et methodes Nous avons analyse retrospectivement 162 premieres procedures d’URS pour calculs renaux entre janvier 2010 et janvier 2013. Nous avons compare les caracteristiques cliniques, les donnees perioperatoires et le taux de succes apres traitement en fonction de la mise en place d’une SU ou d’une SDJ. Resultats Nous avons inclus 162 patients. Une SDJ et une SU ont ete utilisees respectivement dans 117 (72,2 %) et 45 (27,8 %) cas. Les groupes etaient comparables concernant l’âge (p = 0,92), le nombre de calculs (p = 0,68), le diametre cumulatif des calculs (p = 0,342) et la presence preoperatoire d’une SDJ (p = 0,117). Les chirurgiens en debut d’experience mettaient plus frequemment une SDJ (86 % vs 62 % ; p = 0,001). Le temps operatoire etait plus long dans le groupe de patients draines par SDJ (96,2 ± 35 min vs 81,2 ± 5 min ; p = 0,018). La duree d’hospitalisation (p = 0,804), le taux de complications postoperatoires (p = 0,148) et l’absence de calcul residuel (p = 0,116) etaient comparables entre les deux types de drainage. Conclusion Le drainage postoperatoire par SDJ est utilise plus souvent par les urologues au debut de leur experience et est associe a un temps operatoire plus long. Cependant, le type de drainage ne modifie pas les resultats postoperatoires en termes de complications, de duree d’hospitalisation et d’absence de calcul residuel. Niveau de preuve 5.
- Published
- 2015
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24. Management of renal transplant urolithiasis: a multicentre study by the French Urology Association Transplantation Committee
- Author
-
T. Culty, F. Kleinklauss, M. Gigante, Rodolphe Thuret, Julien Branchereau, Nicolas Brichart, Georges Karam, Véronique Delaporte, Lionel Badet, Thomas Bessede, Benoit Barrou, Xavier Tillou, Ricardo Codas, Yann Neuzillet, F. Sallusto, Jean-Baptiste Rigaud, Arnaud Doerfler, L. Salomon, J.M. Boutin, M.O. Timsit, Centre hospitalier universitaire de Nantes (CHU Nantes), Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier), and Université de Montpellier (UM)
- Subjects
Male ,Nephrology ,medicine.medical_specialty ,Urology ,medicine.medical_treatment ,Urinary system ,030232 urology & nephrology ,[SDV.MHEP.UN]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Urology and Nephrology ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Urolithiasis ,Internal medicine ,medicine ,Humans ,Percutaneous nephrolithotomy ,Retrospective Studies ,business.industry ,Incidence (epidemiology) ,Retrospective cohort study ,Middle Aged ,Kidney Transplantation ,3. Good health ,Transplantation ,Renal transplant ,030220 oncology & carcinogenesis ,Female ,business ,Watchful waiting - Abstract
International audience; PURPOSE:Urolithiasis is rare among renal transplant recipients and its management has not been clearly defined.METHODS:This multicentre retrospective study was organised by the Comité de Transplantation de l'Association Française d'Urologie (French Urology Association transplantation committee). Statistical analysis was performed with SPSS 19 software.RESULTS:Ninety-five patients were included in this study. Renal transplant urolithiasis was an incidental finding in 55% of cases, mostly on a routine follow-up ultrasound examination. One half of symptomatic stones were due to urinary tract infection and the other half were due to an episode of acute renal failure. The initial management following diagnosis of urolithiasis was double J stenting (27%), nephrostomy tube placement (21%), or watchful waiting (52%). Definitive management consisted of: watchful waiting (48%), extracorporeal lithotripsy (13%), rigid or flexible ureteroscopy (26%), percutaneous nephrolithotomy (11%) and surgical pyelotomy (2%). All transplants remained functional following treatment of the stone. The main limitation is the retrospective design.CONCLUSIONS:The incidence of lithiasis could be higher in kidney transplanted patients due to a possible anatomical or metabolical abnormalities. The therapeutic management of renal transplant urolithiasis appears to be comparable to that of native kidney urolithiasis.
- Published
- 2018
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25. Complications urologiques de la transplantation rénale
- Author
-
Y. Neuzillet, Lionel Badet, François Kleinclauss, T. Culty, and Marc-Olivier Timsit
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Medicine ,business - Abstract
Resume Introduction La transplantation renale se complique de fistule urinaire dans 2 a 5 % des cas et de stenose de la voie excretrice dans 2 a 7,5 % des cas. L’objectif a ete de realiser une mise au point sur la prise en charge complexe de ces complications. Methode Une recherche bibliographique en langue francaise et anglaise a servi de base au travail. Les debats menes sur le sujet lors du seminaire des urologues transplanteurs organise par le Comite de transplantation de l’Association francaise d’urologie (CTAFU) ont permis d’enrichir la synthese. Resultats Parmi les differents facteurs de stenoses et fistules de l’uretere en transplantation renale, des phenomenes ischemiques au niveau du systeme complexe de vascularisation de l’uretere sont souvent en cause. Le diagnostic n’est pas toujours facile, et est fonde sur l’examen clinique, les examens biochimiques sanguins et urinaires, l’echographie et le scanner. La pyelographie ou l’uretero-pyelographie retrograde sont essentiels dans la prise en charge. Le traitement definitif est chirurgical : reimplantation uretero-vesicale, anastomose uretero-ureterale, anastomose pyelo-ureterale. Conclusion Les complications urologiques de la transplantation renale n’impactent pas en general la survie du greffon tant que le traitement est adapte et realise sans retard. Le traitement chirurgical demeure complexe.
- Published
- 2014
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26. Étude de l’évolution de la fonction rénale après néphrectomie cœlioscopique avec embolisation sélective des vaisseaux tumoraux
- Author
-
P. Panayotopoulos, J. Memanteau, S. Lebdai, J. Mougin, B. Delbarre, T. Culty, Pierre Bigot, A.R. Azzouzi, P. Grison, and E. Brassart
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine ,business - Abstract
Objectifs La nephrectomie partielle cœlioscopique (NPC) apres embolisation selective des vaisseaux tumoraux est une nouvelle approche de la chirurgie partielle renale. L’objectif de cette etude etait de mesurer l’evolution de la fonction renale a la suite d’une NPC apres embolisation selective. Methodes Nous avons recueilli prospectivement dans la base de donnees uroCCR les donnees de tous les patients operes par NPC apres embolisation dans un centre unique de juin 2015 a janvier 2018. La fonction renale, estimee par l’equation du Modification of Diet in Renal Disease (MDRD), a ete calculee a la sortie de l’hospitalisation, un mois apres, puis tous les six mois. Nous avons analyse l’evolution de la fonction renale et les facteurs de risque de perte de plus de 10 mL/min de clairance. Resultats Nous avons inclus 93 patients. Une insuffisance renale preexistait chez 10 (10,7 %) patients. L’âge et le BMI median etaient respectivement de 62,1 (± 12,7) ans et 27,5 (± 5,4) kg/m2. Le suivi median etait de 8 (± 7,9) mois. Au terme du suivi, la clairance moyenne de la creatinine etait diminuee (91,9 vs 86,5 mL/min p = 0,018). Cependant, les clairances etaient identiques a un mois de la chirurgie et au terme du suivi (84,4 vs 86,5 mL/min p = 0,583). Les variations interindividuelles medianes en postoperatoire immediat, a un mois et au dernier suivi etaient respectivement de +4,6, −8 et −7 (± 57,9) mL/min. L’âge (p = 0,208), le BMI (p = 0,674), l’insuffisance renale preoperatoire (p = 0,726), la taille tumorale (p = 0,527), le saignement operatoire (p = 0,675) et la duree operatoire (p = 0,529) n’etaient pas des facteurs de risque de perte significative de fonction renale ( Tableau 1 ). Conclusion La NPC apres embolisation provoque une perte significative de fonction renale. Cette perte de fonction renale s’installe rapidement et semble stable au cours du temps. Cette baisse de fonction renale apparait moderee et est comparable aux autres techniques de resection du parenchyme renal.
- Published
- 2018
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27. Évaluation de l’impact du débit de perfusion de la circulation régionale normothermique pour le pancréas dans le cadre du DDAC Maastricht 3
- Author
-
Gregory Verhoest, J.-M. Boutin, A. Goujon, Julien Branchereau, Georges Karam, Karine Renaudin, Thomas Prudhomme, S. Chelly, Delphine Kervella, M. Rayar, P. Delpech, T. Culty, and Gilles Blancho
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Medicine ,business - Abstract
Objectifs Les transplantations renales et hepatiques realisees a partir de DDAC Maastricht 3 presentent d’excellents resultats grâce a l’utilisation de la circulation regionale normothermique (CRN). Neanmoins, la CRN pourrait etre traumatique pour le pancreas, organe sensible aux barotraumatismes. L’objectif de cette etude etait d’evaluer l’impact du debit de perfusion de la CRN et de la solution de conservation sur le pancreas. Methodes Cette etude a ete autorise par l’Agence de biomedecine (PFS08-017). Six patients DDAC M3 ont ete inclus entre janvier 2017 et decembre 2018 dans un centre universitaire et 2 donneurs en etat de mort encephalique ont ete inclus. Des biopsies pancreatiques ont ete realisees lors du prelevement d’organe. Une solution de 4e generation, l’IGL-1 © a ete utilise comme solution de perfusion et de conservation. Resultats Le debit de perfusion de la CRN etait Conclusion L’utilisation de la CRN permet d’ameliorer la qualite des transplants et d’ameliorer les resultats des transplantations renales et hepatiques sans etre deletere pour le pancreas.
- Published
- 2019
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28. Prostate cancer before renal transplantation: A multicentre study
- Author
-
Christophe Iselin, Nicolas Brichart, Gregory Verhoest, L. Salomon, L. Viart, C. Pfister, C. Chahwan, F. Sallusto, Arnaud Doerfler, Xavier Tillou, S Bouyé, and T. Culty
- Subjects
Male ,medicine.medical_specialty ,Urology ,medicine.medical_treatment ,Brachytherapy ,Operative Time ,Prostate-Specific Antigen/blood ,030232 urology & nephrology ,Blood Loss, Surgical ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Prostatic Neoplasms/therapy ,medicine ,Humans ,Kidney transplantation ,Retrospective Studies ,Prostatectomy ,ddc:617 ,business.industry ,Prostatic Neoplasms ,Retrospective cohort study ,Prostate-Specific Antigen ,Middle Aged ,medicine.disease ,Kidney Transplantation ,Surgery ,Radiation therapy ,Transplantation ,Prostate-specific antigen ,surgical procedures, operative ,030220 oncology & carcinogenesis ,Lymphadenectomy ,Radiotherapy, Adjuvant ,business - Abstract
Summary Introduction The surgical issues of renal transplantation (RT) after localized prostate cancer (PC) treatment and oncological outcomes after transplantation in patients on the waiting list with a history of PC were unknown. We conducted a retrospective multicentre study including all patients with PC diagnosed before the kidney transplantation. Methods Fifty-two patients were included from December 1993 to December 2015. The median age at diagnosis of PC was 59.8 years old. Results The median PSA rate at diagnosis was 7 ng/mL. Twenty-seven, Twenty-four, and one PC were respectively low, intermediate and high risk according to d’Amico classification. Forty-three patients were treated by radical prostatectomy (RP): 28 retropubic, 15 laparoscopic and 3 by a perineal approach. Eighteen patients had a lymph node dissection. Four patients were treated with external radiotherapy and 2 by brachytherapy. Eight patients underwent radiotherapy after surgery. The median time between PC treatment and RT was 35.7 months. The median operating time for the renal transplantation was 180 min (IQR 150–190; min 90–max 310) with a median intraoperative bleeding of 200 mL (IQR 100–290; min 50–max 2000). A history of lymphadenectomy did not significantly lengthen operative time ( P = 0.34). No recurrence of PC was observed after a median follow of 36 months. Conclusion PC discovered before RT should be treated with RP to assess the risk of recurrence and decrease waiting for a RT. If the PC is at low risk of recurrence, it seems possible to shorten the waiting time before the RT after a multidisciplinary discussion meeting. Level of evidence 4.
- Published
- 2017
29. [Polycystic kidney disease and kidney transplantation]
- Author
-
Marc-Olivier Timsit, François Kleinclauss, les membres du comité de transplantation de l’Association française d’urologie, Xavier Tillou, F. Sallusto, T. Culty, Rodolphe Thuret, Gregory Verhoest, Arnaud Doerfler, Service d'Urologie [CHU Caen], Université de Caen Normandie (UNICAEN), Normandie Université (NU)-Normandie Université (NU)-CHU Caen, Normandie Université (NU)-Tumorothèque de Caen Basse-Normandie (TCBN)-Tumorothèque de Caen Basse-Normandie (TCBN), Hôpital Européen Georges Pompidou [APHP] (HEGP), Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Hôpitaux Universitaires Paris Ouest - Hôpitaux Universitaires Île de France Ouest (HUPO), Service d'Urologie - Transplantation Rénale - Andrologie, CHU Toulouse [Toulouse]-Hôpital de Rangueil, CHU Toulouse [Toulouse], Centre Hospitalier Universitaire d'Angers (CHU Angers), PRES Université Nantes Angers Le Mans (UNAM), Service d'urologie [Rennes] = Urology [Rennes], Hôpital Pontchaillou-CHU Pontchaillou [Rennes], Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier), Centre Hospitalier Régional Universitaire de Besançon (CHRU Besançon), Interactions hôte-greffon-tumeur, ingénierie cellulaire et génique - UFC (UMR INSERM 1098) (RIGHT), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université de Franche-Comté (UFC), Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC)-Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC)-Etablissement français du sang [Bourgogne-Franche-Comté] (EFS [Bourgogne-Franche-Comté]), Service d'urologie [Rennes], Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Hôpital Pontchaillou-CHU Pontchaillou [Rennes], Centre Hospitalier Régional Universitaire [Besançon] (CHRU Besançon), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Etablissement français du sang [Bourgogne-Franche-Comté] (EFS [Bourgogne-Franche-Comté])-Université de Franche-Comté (UFC), and Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC)-Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC)
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,030232 urology & nephrology ,Néphrectomie des reins natifs ,030230 surgery ,urologic and male genital diseases ,[SDV.MHEP.UN]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Urology and Nephrology ,3. Good health ,Kidney transplantation ,03 medical and health sciences ,Autosomal dominant polycystic kidney disease ,0302 clinical medicine ,medicine ,Transplantation rénale ,Laparoscopy ,business ,Laparoscopie ,Native nephrectomy ,Polykystose rénale autosomique dominante - Abstract
Resume Objectifs Realiser un etat de l’art sur la polykystose renale autosomique dominante acquise (PRADA), la prise en charge de ses complications urologiques et les modalites de traitement de l’insuffisance renale. Materiel et methodes Une recherche bibliographique exhaustive a partir de Medline ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov ) et Embase ( http://www.embase.com ) a ete realisee en utilisant les mots cles suivants (MeSH) seuls ou en combinaison : « autosomal dominant polykystic kidney disease », « complications », « native nephrectomy », « kidney transplantation ». Les articles obtenus ont ensuite ete selectionnes sur leur methodologie, leur langue de publication (anglais/francais), leur pertinence par rapport au sujet traite et leur date de publication. Seules les etudes prospectives et retrospectives en anglais et en francais, articles de revue, de meta-analyse ou de recommandations ont ete selectionnes (3779 articles). Apres selection en fonction du titre et du resume, 52 articles ont ete analyses et inclus. Resultats La PRADA est la premiere cause d’atteinte genetique renale (touchant 1 personne/1000 en France) aboutissant dans 50 % des cas a une insuffisance renale chronique terminale necessitant le recours aux techniques de suppleance ou a la transplantation. La PRADA est source de nombreuses complications urologiques comme l’hematurie macroscopique, les surinfections kystiques, douleurs renales et les calculs de l’appareil urinaire pour lesquelles l’urologue peut etre sollicite. Dans le cadre du bilan pretransplantation, la discussion portera sur la necessite ou non de realiser une nephrectomie des reins natifs dont les indications sont soit des complications recidivantes soit le manque de place pour l’implantation du greffon. Le moment optimum de la nephrectomie sera discute selon plusieurs criteres (dialyse ou greffe preemptive, severite des complications, anurie, acces a la greffe, potentiel donneur vivant). Conclusion La prise en charge de la PRADA dans l’evaluation pretransplantation renale est complexe. L’attitude doit etre la plus conservatrice possible afin de limiter les troubles electrolytiques secondaires a l’oligoanurie, de conserver un appareil urinaire fonctionnel et une bonne qualite de vie. La chirurgie reste le traitement de reference, cependant, l’embolisation renale semble une alternative efficace et associee a une faible morbidite.
- Published
- 2016
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30. [Polycystic kidney disease and kidney transplantation]
- Author
-
X, Tillou, M-O, Timsit, F, Sallusto, T, Culty, G, Verhoest, A, Doerfler, R, Thuret, and F, Kleinclauss
- Subjects
Polycystic Kidney Diseases ,Postoperative Complications ,Preoperative Care ,Humans ,Kidney Transplantation ,Nephrectomy - Abstract
To perform a state of the art about autosomal dominant polykystic kidney disease (ADPKD), management of its urological complications and end stage renal disease treatment modalities.An exhaustive systematic review of the scientific literature was performed in the Medline database (http://www.ncbi.nlm.nih.gov) and Embase (http://www.embase.com) using different associations of the following keywords (MESH): "autosomal dominant polykystic kidney disease", "complications", "native nephrectomy", "kidney transplantation". Publications obtained were selected based on methodology, language, date of publication (last 10 years) and relevance. Prospective and retrospective studies, in English or French, review articles; meta-analysis and guidelines were selected and analyzed. This search found 3779 articles. After reading titles and abstracts, 52 were included in the text, based on their relevance.ADPKD is the most inherited renal disease, leading to end stage renal disease requiring dialysis or renal transplantation in about 50% of the patients. Many urological complications (gross hematuria, cysts infection, renal pain, lithiasis) of ADPKD required urological management. The pretransplant evaluation will ask the challenging question of native nephrectomy only in case of recurrent kidney complications or large kidney not allowing graft implantation. The optimum timing for native nephrectomy will depend on many factors (dialysis or preemptive transplantation, complication severity, anuria, easy access to transplantation, potential living donor).Pretransplant management of ADPKD is challenging. A conservative strategy should be promoted to avoid anuria (and its metabolic complications) and to preserve a functioning low urinary tract and quality of life. When native nephrectomy should be performed, surgery remains the gold standard but renal arterial embolization may be a safe option due to its low morbidity.
- Published
- 2016
31. A national study of kidney graft tumor treatments: Toward ablative therapy
- Author
-
Lionel Badet, F. Gaudez, Ricardo Codas, G. Karam, K. Guleryuz, Julien Branchereau, Rodolphe Thuret, Benoit Barrou, M.O. Timsit, Xavier Tillou, L. Salomon, T. Culty, F. Sallusto, Gregory Verhoest, Véronique Delaporte, Eric Lechevallier, Yann Neuzillet, Grégoire Coffin, Thomas Bessede, Pascal Blanchet, Jacques Hubert, François Kleinclauss, Nicolas Terrier, M. Gigante, Arnaud Doerfler, J.M. Boutin, Service d'Urologie [CHU Caen], Université de Caen Normandie (UNICAEN), Normandie Université (NU)-Normandie Université (NU)-CHU Caen, Normandie Université (NU)-Tumorothèque de Caen Basse-Normandie (TCBN)-Tumorothèque de Caen Basse-Normandie (TCBN), Normandie Université (NU), Service d'Urologie et Chirurgie de la Transplantation, Hôpital Edouard Herriot [CHU - HCL], Hospices Civils de Lyon (HCL)-Hospices Civils de Lyon (HCL), Service d'Urologie [CHU Pitié-Salpêtrière], CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP], Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU), Imagerie Adaptative Diagnostique et Interventionnelle (IADI), Université de Lorraine (UL)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Service d'Urologie [CHRU Nancy], Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nancy (CHRU Nancy), SERVICE D'UROLOGIE, Hôpital Salvator [CHU - APHM] (Hôpitaux Sud), Institut de biologie et chimie des protéines [Lyon] (IBCP), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), CHU Pointe-à-Pitre/Abymes [Guadeloupe], Department of Civil Engineering [Lebanese American University] (CE/SOE/LAU), School of Engineering [Lebanese American University] (SOE/LAU), Lebanese American University (LAU)-Lebanese American University (LAU), Service d'urologie, andrologie et transplantation rénale, Centre Hospitalier Régional Universitaire de Besançon (CHRU Besançon)-Hôpital Saint-Jacques, Département d'urologie, CHU Toulouse [Toulouse]-Hôpital de Rangueil, CHU Toulouse [Toulouse], Génétique moléculaire, neurophysiologie et comportement, Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Service d'urologie [Montpellier], Hôpital Lapeyronie [Montpellier] (CHU), Cancer du rein : bases moléculaires de la tumorogenèse, Institut de Génétique et Développement de Rennes (IGDR), Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique )-Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique ), Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université de Lorraine (UL), Département d'Urologie-Andrologie et Transplantation Rénale [CHU Toulouse], Pôle Urologie - Néphrologie - Dialyse - Transplantations - Brûlés - Chirurgie plastique - Explorations fonctionnelles et physiologiques [CHU Toulouse], Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (CHU Toulouse)-Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (CHU Toulouse), and Université de Rennes (UR)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique )-Université de Rennes (UR)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique )
- Subjects
Ablation Techniques ,Adult ,Male ,medicine.medical_specialty ,Adolescent ,medicine.medical_treatment ,030232 urology & nephrology ,030230 surgery ,Nephrectomy ,03 medical and health sciences ,Young Adult ,0302 clinical medicine ,Postoperative Complications ,Ablative case ,medicine ,Humans ,Carcinoma, Renal Cell ,Dialysis ,Aged ,Retrospective Studies ,Kidney ,business.industry ,Histology ,Middle Aged ,Allografts ,Kidney Transplantation ,Kidney Neoplasms ,3. Good health ,Surgery ,Transplantation ,medicine.anatomical_structure ,Treatment Outcome ,National study ,Female ,France ,business ,Clear cell ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology - Abstract
International audience; BACKGROUND:Results of the conservative treatment of renal cell carcinomas arising in functional renal transplants are unknown compared to transplant nephrectomy. Only small series or case reports have been reported.METHODS:Data were collected from 32 transplantation centers nationwide on cases of de novo tumors in functional renal transplants presumed to be malignant between January 1988 and December 2013.RESULTS:Among 116 de novo transplant tumors, 62 were treated conservatively including: 48 by partial nephrectomy (PN) and 14 by thermal ablation (TA). These patients were compared to 30 other patients who were treated by transplant nephrectomy. The median age of the transplanted kidneys at the time of diagnosis was 43.5 years old as calculated from the donor's age. Tumors treated by transplant nephrectomy presented more often with symptoms (pain, fever, impaired condition, hematuria) than tumors treated conservatively (P = .019). After PN, final histology showed 27 (47.5%) papillary carcinomas, 19 (32.2%) clear cell carcinomas, 1 mixed carcinoma, and 2 oncocytomas. The median tumor size treated by PN was 24 mm with no difference in comparison to the TA group. Nine patients treated by PN had postoperative complications (21%), including 4 requiring operative intervention (Clavien IIIb). None of the patients treated by TA had complications. Specific survival was 100% at the time of last follow-up (median time after treatment 37 months) for patients treated by PN or TA.CONCLUSION:PN proved to be efficient in the treatment of small tumors of transplanted kidneys with good long-term functional and oncologic outcomes, including avoiding return to dialysis. TA seems to be an alternative therapy with good results in selected patients.
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- 2016
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32. Traumatismes des organes génitaux externes
- Author
-
D Chautard, A R Azzouzi, E Brassart, S Bart, and T Culty
- Subjects
business.industry ,Medicine ,business - Published
- 2011
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33. Prise charge onco-urologique des cancers du rein métastatique dans un service d’urologie. Bilan d’activité à 2 ans
- Author
-
P. Panayotopoulos, E. Brassart, P. Grison, Nathalie Baize, S. Lebdai, T. Culty, A.R. Azzouzi, Pierre Bigot, J. Mougin, and E. Fortier
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Medicine ,business - Abstract
Objectifs L’organisation des soins en onco-urologie est variable d’un centre a l’autre. Nous rapportons notre experience de prise en charge des cancers du rein metastatique dans un service universitaire d’urologie. Methodes Nous avons inclus dans cette etude tous les patients traites pour un cancer du rein metastatique de fevrier 2016 a avril 2018. Les patients etaient pris en charge par l’equipe d’urologie aidee par un oncologue. Les donnees cliniques, les effets secondaires des traitements et les resultats oncologiques etaient reportes prospectivement dans la base de donnees uroccr. Pendant la periode d’inclusion, nous avons pris en charge 247 nouveaux cas de cancer du rein, dont 97 etaient metastatiques (67 etaient metastatiques synchrones et 30 metachrones). Nous avons inclus 74 hommes et 23 femmes, dont l’âge median a l’inclusion etait de 66 ans. Resultats La prise en charge des patients a necessite 231 consultations, 198 hospitalisations de jour et 19 traditionnelles. Une nephrectomie de cytoreduction, une metastasectomie et un traitement ablatif des metastases ont ete realises chez 72, 26 et 23 patients. Nous avons inclus 21 patients dans des essais therapeutiques. Un traitement de premiere, de seconde et de troisieme ligne ont ete proposes chez 50, 21 et 8 patients. En premiere ligne, un inhibiteur de tyrosine kinase a mene a 2 reponses completes, 10 reponses partielles, 24 stabilisations, 8 progressions de la maladie et la survie sans progression etait de 8 mois. Les evenements indesirables etaient de grade 1 ou 2. Une immunotherapie etait souvent proposee en deuxieme ligne. Trente-deux patients ont eu une prise en charge palliative et 35 patients sont decedes. Conclusion La prise en charge globale des cancers du rein metastatique au sein d’un service d’urologie est realisable sans importante modification de l’organisation des soins.
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- 2018
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34. Une étude nationale des traitements conservateurs des tumeurs du greffon rénal : vers les thérapies ablatives
- Author
-
L. Salomon, Y. Neuzillet, Henri Bensadoun, Stéphane Larré, M.O. Timsit, F. Gaudez, J.-M. Boutin, Nicolas Terrier, Antoine Valeri, S. Bouillet, S. Benbouzid, T. Culty, X. Matillon, N. Szabla, Xavier Tillou, F. Sallusto, Rodolphe Thuret, E. Lechevallier, J. Blanchereau, and Gregory Verhoest
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Medicine ,business - Abstract
Objectifs Decrire les resultats des traitements ablatifs (ta) des carcinomes a cellules renales (ccr) diagnostiques sur des transplants renaux fonctionnels compares a ceux de la nephrectomie partielle (np). Methodes Etude retrospective de toutes les tumeurs des transplants renaux de 32 centres de transplantation francais entre janvier 1988 et decembre 2017. Resultats Parmi 116 ccr de novo, 62 ont eu un traitement conservateur, 48 np et 14 ta. Ces patients ont ete compares aux 54 patients traites par transplantectomie. L’âge median des transplants au diagnostic etait de 43,5 ans. Les tumeurs traitees par transplantectomie presentaient plus souvent des symptomes (douleur, fievre, hematurie) (p = 0,019). Apres np, l’histologie a montre 27 (47,5 %) carcinomes papillaires, 19 (32,2 %) carcinomes a cellules claires. La taille mediane des tumeurs traitee par np etait de 24 mm sans difference par rapport au groupe ta. Neuf patients traites par np presentaient des complications postoperatoires (21 %), dont 4 Clavien IIIb. Aucun patient traite par ta n’a eu de complications. La survie specifique etait de 100 % a 37 mois pour les 2 groupes. Conclusion La np s’est averee efficace dans le traitement de petites tumeurs de reins transplantes avec de bons resultats fonctionnels et oncologiques a long terme, y compris en evitant le retour a la dialyse. Les traitements ablatifs semblent etre une therapie alternative prometteuse avec de bons resultats chez des patients selectionnes.
- Published
- 2018
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35. Traitement des calculs du greffon rénal par urétéroscopie souple ex-vivo sur machine de perfusion
- Author
-
E. Brassart, S. Lebdai, B. Parier, T. Culty, J. Mougin, M. Brassier, Thomas Bessede, J. Sayegh, P. Grison, P. Panayotopoulos, Rahmene Azzouzi, S. Chelly, and Pierre Bigot
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine ,business - Abstract
Objectifs La decouverte de calculs dans un rein chez un patient en etat de mort encephalique est rare. Elle ne contre-indique pas le prelevement, ni la greffe. La strategie a adopter pour le traitement de ces calculs n’est pas codifiee. Faut-il les traiter avant ou apres la transplantation ? Quelques equipes ont propose un traitement par ureteroscopie semi-rigide ou souple ex-vivo, avant transplantation. Methodes Nous rapportons, dans cette video, deux cas de traitement de calculs du greffon par ureteroscopie souple realisee sur machine de perfusion. A notre connaissance, cette technique realisee sur machine de perfusion n’a jamais ete decrite. De facon retrospective, nous presentons les resultats de deux patients ayant recu chacun un greffon issu de deux donneurs dits a « criteres elargis » avec dans les deux cas des calculs decouverts sur l’imagerie avant prelevement. Une ureteroscopie souple ex-vivo a ete realisee sur les greffons maintenus sur machine de perfusion Lifeport*. Resultats Dans le premier rein, nous avons traite par fragmentation laser puis extraction panier un calcul de 4 mm caliciel superieur. Le second rein presentait un calcul de 7 mm sur le scanner, qui s’avera etre un amas de micro-lithiases. Les fragments les plus volumineux ont ete recuperes avec une sonde panier, le reste a ete fragmente en poussiere a l’aide d’une fibre laser. Les durees d’ischemie froide etaient de 31 h 30 et de 10 h 49. Avec un recul de 28 mois pour le premier patient, il n’y a pas eu de recidive lithiasique, ni de complication urologique. Le second patient a developpe un lymphome de type B, necessitant une transplantectomie a 8 mois. Les nadirs de la creatininemie ont ete respectivement de 90 μmol/L et de 154 μmol/L. Conclusion Lorsqu’elle est possible et qu’elle ne prolonge pas la duree d’ischemie froide, l’ureteroscopie souple ex vivo sur des reins perfuses sur machine semble etre une bonne alternative pour traiter les calculs du greffon.
- Published
- 2018
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36. Lesiones quirúrgicas del uréter
- Author
-
H Botto, T Culty, and T Lebret
- Abstract
Las lesiones quirurgicas del ureter se producen sobre todo durante la cirugia ginecologica o pelvica. La incidencia de los traumatismos iatrogenicos del ureter ha disminuido de forma considerable desde la decada de 1960. Desde finales de los anos ochenta, con la expansion de la endourologia y la laparoscopia, se observa un recrudecimiento de estos traumatismos. Al mismo tiempo, la proporcion de las lesiones ureterales causadas por la cirugia urologica ha aumentado claramente. Para invertir esta tendencia habra que poner mayor atencion en la practica quirurgica. Las lesiones quirurgicas del ureter suelen pasar inadvertidas durante la intervencion y afectan al ureter pelvico en el 80% de los casos. Un diagnostico demasiado tardio o las lesiones del ureter proximal, pueden producir un aumento considerable de la morbilidad.
- Published
- 2009
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37. Prise en charge des sténoses périanastomotiques compliquant les abords vasculaires pour hémodialyse
- Author
-
Yves Lanson, F. Bruyère, B. Long, T. Culty, B. Artru, Josette Pengloan, Luc A. Turmel-Rodrigues, J.-M. Boutin, Olivier Haillot, and P. Lermusiaux
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,Arterial disease ,business.industry ,Urology ,Occlusive arterial disease ,Follow up studies ,Venous access ,Angioplasty balloon ,Injection site ,medicine ,Chronic renal failure ,Venous disease ,business - Abstract
ResumeBut Les stenoses perianastomotiques (SPA) compliquant les fistules arterioveineuses (FAV) natives de l’avant-bras peuvent etre traitees par angioplastie ou par chirurgie. Le but de notre etude a ete de rapporter les taux de permeabilite primaire (PP) et primaire assistee (PPA) de la chirurgie et de l’angioplastie de ces stenoses. Le but secondaire a ete de rechercher des facteurs pouvant influencer les taux de permeabilite de ces reinterventions. Materiel et methodes Soixante-treize malades traites pour une SPA ont ete inclus de maniere retrospective entre janvier 1999 et decembre 2005 sur deux centres (Tours, Le Mans). L’âge moyen etait de 65 ans. Les SPA etaient traitees par chirurgie (n = 21) ou par angioplastie (ATL) (n = 52). Les deux groupes etaient comparables. Le suivi moyen etait de 39 mois pour le groupe ATL et de 49 mois pour le groupe chirurgie (p = 0,088). Resultats La PP a ete de 71 ± 10 % pour la chirurgie et de 41 ± 6 % pour l’angioplastie (p
- Published
- 2008
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38. Lésions opératoires de l'uretère
- Author
-
T Lebret, H Botto, and T Culty
- Subjects
business.industry ,Medicine ,business - Published
- 2008
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39. Traumatismes scrotaux : stratégie de prise en charge
- Author
-
T. Culty and V. Ravery
- Abstract
Resume Les traumatismes des bourses sont peu frequents. Ils sont causes le plus souvent par des traumatismes fermes avec choc direct propulsant le testicule contre l'arche pubienne. L'exploration chirurgicale precoce a considerablement ameliore le pronostic de ces traumatismes et reduit le taux d'orchidectomie. L'arrivee de l'echographie a elle aussi permis une meilleure prise en charge des traumatismes du scrotum. Cependant, il persiste une controverse quant a la fiabilite de l'echographie a predire la presence ou l'absence de fracture testiculaire. L'echographie ne doit pas remettre en cause le dogme de l'exploration chirurgicale systematique des hematoceles et des grosses bourses. Les complications a long terme (atrophie testiculaire, infertilite) pourraient etre plus frequentes que ce qui etait jusqu'alors admis et doivent etre depistees.
- Published
- 2008
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40. [Not Available]
- Author
-
X, Tillou, C, Chahwan, N, Brichart, S, Bouyé, T, Culty, C, Pfister, F, Salusto, L, Salomon, G, Verhoest, L, Viart, and A, Doerfler
- Published
- 2015
41. [Not Available]
- Author
-
N, Hoarau, F, Martin, S, Lebdai, D, Chautard, T, Culty, A, Azzouzi, and P, Bigot
- Published
- 2015
42. Prostate cancer : synopsis of the American Urological Association (AUA) 2006
- Author
-
F. Richard and T. Culty
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,Prostatectomy ,business.industry ,Urology ,medicine.medical_treatment ,General surgery ,MEDLINE ,Salvage therapy ,medicine.disease ,Radiation therapy ,Prostate cancer ,medicine ,Adjuvant therapy ,Seventy Nine ,Hormone therapy ,business - Abstract
The 2006 annual American Urological Association (AUA) meeting took place in Atlanta from 20-25th of May. Four hundred and seventy nine abstracts (27.8%) were dedicated to the prostate cancer. The aim of this study is to summarise the most debated topics and to highlight the most original research. The main topics this year were obesity, ethnicity, PSA kinetic, surgical margins, robot and adjuvant therapy.
- Published
- 2006
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43. Traumatismes scrotaux : stratégie de prise en charge
- Author
-
T. Culty and V. Ravery
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine ,Ultrasonography ,business - Abstract
Resume Les traumatismes des bourses sont peu frequents. Ils sont causes le plus souvent par des traumatismes fermes avec choc direct propulsant le testicule contre l'arche pubienne. L'exploration chirurgicale precoce a considerablement ameliore le pronostic de ces traumatismes et reduit le taux d'orchidectomie. L'arrivee de l'echographie a elle aussi permis une meilleure prise en charge des traumatismes du scrotum. Cependant, il persiste une controverse quant a la fiabilite de l'echographie a predire la presence ou l'absence de fracture testiculaire. L'echographie ne doit pas remettre en cause le dogme de l'exploration chirurgicale systematique des hematoceles et des grosses bourses. Les complications a long terme (atrophie testiculaire, infertilite) pourraient etre plus frequentes que ce qui etait jusqu'alors admis et doivent etre depistees.
- Published
- 2006
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44. Estrategia terapéutica de los traumatismos escrotales
- Author
-
V. Ravery and T. Culty
- Abstract
Los traumatismos escrotales son poco frecuentes. La mayoria de las veces son causados por traumatismos cerrados debidos a un impacto directo que empuja el testiculo contra el arco pubico. La exploracion quirurgica precoz ha mejorado mucho el pronostico de estos traumatismos y ha reducido la tasa de orquiectomias. La aparicion de la ecografia tambien ha permitido mejorar el tratamiento de los traumatismos escrotales. No obstante, aun persisten controversias en cuanto a la fiabilidad de la ecografia cuando se trata de predecir la presencia o ausencia de fractura testicular. La ecografia no debe poner en tela de juicio el dogma de la exploracion quirurgica sistematica de los hematoceles y de los megaescrotos. Las complicaciones a largo plazo (atrofia testicular, infertilidad) podrian ser mas frecuentes de lo que se admite en la actualidad y deben detectarse de forma precoz.
- Published
- 2006
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45. Technique d’extraction rénale au cours d’une néphrectomie par cœlioscopie pour rein polykystique
- Author
-
T. Culty, Gregory Verhoest, J. Sayegh, P. Panayotopoulos, L. Souhil, E. Brassart, T. Pichon, N. Hoarau, A. Cerruti, Pierre Bigot, Karim Bensalah, D. Chautard, A.R. Azzouzi, and J. Subra
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine ,business - Abstract
Objectifs Les patients atteints de polykystose renale autosomique dominante necessitent parfois la realisation d’une nephrectomie. La voie d’abord cœlioscopique est maintenant proposee par de nombreuses equipes. Le volume important des reins polykystiques necessite une technique d’extraction adaptee, differente d’une nephrectomie cœlioscopique classique. Cette technique n’est actuellement pas bien codifiee. Nous avons mis au point une technique d’extraction standardisee originale. Methodes Dix-sept patients atteints de polykystose renale autosomique dominante ont ete operes en cœlioscopique entre 2012 et 2016. Differentes voies d’abord ont ete utilisees : la voie transperitoneale, la lomboscopie ou la cœlioscopique manuellement assistee. La technique d’extraction a ete progressivement mise au point en s’efforcant de pouvoir extraire le rein par une courte incision, pour ne pas attenuer le benefice parietal de la cœlioscopique, sans dissemination bacterienne ou plus rarement tumorale. Resultats Nous presentons en video les differentes techniques qui ont ete proposees pour extraire les reins polykystiques : l’utilisation d’un « morcellator », l’aspiration-morcellement a l’aide d’une canule d’aspiration metallique biseautee, le morcellement au bistouri ou a la pince a travers une incision iliaque ou de Pfannenstiel, eventuellement protegee par un ecarteur d’Alexis ® . Nous presentons egalement notre technique originale de morcellement manuel dans un sac a grele a travers un GelPort ® en cœlioscopie manuellement assistee. Conclusion Le morcellement manuel dans un sac a grele a travers un GelPort ® en cœlioscopie manuellement assistee permet d’extraire facilement de tres gros reins polykystiques, avec un prejudice parietal faible et un risque de dissemination bacterienne et carcinologique minimal.
- Published
- 2016
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46. Tumor coloring by Bleu Patente Sodique during laparoscopic partial nephrectomy after selective embolization of tumor vessels in a hybrid operating room: Feasibility and safety
- Author
-
M. Benoit, P. Panayotopoulos, E. Fortier, A. Bouvier, C. Nedelcu, T. Culty, C. Aube, A.R. Azzouzi, and P. Bigot
- Subjects
Urology - Published
- 2018
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47. Faisabilité et sécurité de la coloration tumorale au Bleu Patenté Sodique au cours de la néphrectomie partielle cœlioscopique après embolisation des vaisseaux tumoraux en salle hybride
- Author
-
Antoine Bouvier, Christophe Aubé, P. Panayotopoulos, M. Benoit, C. Nedelcu, A.R. Azzouzi, T. Culty, Pierre Bigot, and E. Fortier
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Medicine ,business - Abstract
Objectifs La nephrectomie partielle (NP) cœlioscopique apres embolisation des vaisseaux tumoraux en salle hybride a ete developpee pour limiter l’ischemie renale transitoire inherente au clampage arteriel et reduire le risque hemorragique per- et postoperatoire. Pour faciliter le reperage peroperatoire de la tumeur, nous lui avons associe une technique de coloration tumorale, par injection de Bleu Patente Sodique (BPS) concomitante a l’embolisation. Methodes Entre mai 2015 et mars 2017, tous les patients traites consecutivement, dans un centre unique, pour une tumeur du rein localisee relevant d’une indication de NP, ont ete inclus prospectivement. La procedure operatoire consistait en une embolisation des vaisseaux tumoraux suivie d’une NP cœlioscopique sans clampage vasculaire. A partir de fevrier 2016, une injection de BPS dans les vaisseaux tumoraux etait realisee au moment de l’embolisation. L’efficacite et la tolerance de cette procedure etaient evaluees par la confirmation de la coloration tumorale en peroperatoire, et la survenue d’effets indesirables. Resultats Sur les 55 patients inclus, 38 ont ete operes apres coloration tumorale au BPS. L’âge median etait de 62 ans (33–84) et l’IMC median de 28,2 kg/m 2 . La taille tumorale mediane etait de 3 cm (1,5–7,5), avec 19 tumeurs de complexite moderee et 3 de complexite elevee. La duree mediane du temps de radiologie interventionnelle etait peu modifiee par la coloration (40 min vs 50 min, p = 0,12). La coloration tumorale etait efficace chez 35 patients (92,11 %). Dans 7 cas, la tumeur etait totalement endophytique et dans 23 cas consideree comme difficile a identifier. Dans tous les cas, la coloration a permis de reperer facilement la tumeur. La duree mediane du temps cœlioscopique etait de 90 min (32–150). La coloration n’a pas complique l’analyse anatomopathologique. Aucune reaction d’hypersensibilite n’a ete constatee ( Fig. 1 ). Conclusion La coloration tumorale au Bleu Patente Sodique au cours de la nephrectomie partielle cœlioscopique apres embolisation des vaisseaux tumoraux est une technique efficace et sure pour faciliter le reperage tumoral peroperatoire des tumeurs du rein localisees.
- Published
- 2017
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48. PD30-06 STONE DISEASE IN THE KIDNEY TRANSPLANT : A FRENCH MULTICENTER RETROSPECTIVE STUDY OF 95 PATIENTS
- Author
-
Marc Gigante, Julien Branchereau, T. Culty, Véronique Delaporte, Federico Sallusto, Nicolas Brichart, Yann Neuzillet, Simon Vanagt, Thuret Rodolphe, Sebastien Michaud, Laurent Salomon, Georges Karam, Lionel Badet, Xavier Tillou, Ricardo Codas, Marc Olivier Timsit, Jean Michel Boutin, Thomas Bessede, Francois Kleiclauss, Arnaud Doerfler, Claire Billault, Benoit Barrou, and Julie Rode
- Subjects
medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Internal medicine ,medicine ,Retrospective cohort study ,business ,Kidney transplant ,Stone disease - Published
- 2014
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49. Nécrose complète de la verge et des testicules par strangulation dans un contexte psychotique
- Author
-
Emmanuel Chartier-Kastler, A.-C. Pizzoferrato, T. Culty, F. Thibault, N. Girault, François Richard, and S. Bart
- Subjects
Nephrology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine.medical_treatment ,Bilateral orchidectomy ,Context (language use) ,Emergency department ,medicine.disease ,Surgery ,medicine.anatomical_structure ,Amputation ,Acquired immunodeficiency syndrome (AIDS) ,Internal medicine ,Scrotum ,medicine ,business ,Penis - Abstract
Complete necrosis of the penis and scrotum due to strangulation of the external genitalia is unusually encountered in urologic emergencies. Urological conservative management is recommended. Delayed presentation is a major source of complications. We report the case of a psychotic patient, who was transferred from the emergency department in a context of complete necrosis of the external genitalia. This patient's history included chronic psychotic disorder and positive HIV serology, but he refused to take either neuroleptic or antiretroviral therapy. Complete amputation of the penis and bilateral orchidectomy were performed. We report the first six months of medical management.
- Published
- 2008
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50. Positive surgical margin appears to have negligible impact on survival of renal cell carcinomas treated by nephron-sparing surgery
- Author
-
Romain Spie, Jérôme Rigaud, Jacques Tostain, Michel Soulié, Bastien Rambeaud, Hendrik Van Poppel, Alfredo Aguilera, Maxime Crepel, Laurent Zini, Ofer Nativ, Jean Marie Ferriere, Luis Martinez Pineiro, Steven Joniau, Patrick J. Bastian, Rodolphe Thuret, Jean Jacques Patard, Stefan C. Müller, Frédéric Pouliot, Jean-Christophe Bernhard, Amnon Zisman, Andreas H. Wille, Christian Pfister, Pascal Rischmann, Nicolas Mottet, Laurent Bellec, Alexandre de la Taille, Allan J. Pantuck, Laurent Guy, Thierry Dujardin, R. Avakian, Jan Roigas, François Richard, Nathalie Rioux-Leclercq, Christian Doehn, Pierre I. Karakiewicz, Arie S. Belldegrun, Roberto Bertini, Orit E. Raz, Karim Bensalah, Laurent Salomon, B. Albouy, T. Culty, Thierry Lebret, Morgan Rouprêt, A. Villers, Francesco Montorsi, Fabien Saint, Herve Lang, Roy Farfara, Service d'urologie [Rennes] = Urology [Rennes], Hôpital Pontchaillou-CHU Pontchaillou [Rennes], Department of Urology, University of California [Los Angeles] (UCLA), University of California-University of California, Service Urologie [Lapeyronie], Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier)-Hôpital Lapeyronie, Department of urology, Università Vita-Salute San Raffaele, Cancer Prognostics and Health Outcomes Unit, Université de Montréal (UdeM), Cancer Prognostics and Health Outcome Unit, Service d'urologie-andrologie, CHU Saint-Etienne-Université Jean Monnet [Saint-Étienne] (UJM)-Hôpital nord, Université Jean Monnet [Saint-Étienne] (UJM), Service d'urologie, Hôpital Huriez-Centre Hospitalier Régional Universitaire [Lille] (CHRU Lille), Service d'urologie [Mondor], Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Hôpital Henri Mondor-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12), Service d'Urologie - Transplantation Rénale - Andrologie, CHU Toulouse [Toulouse]-Hôpital de Rangueil, CHU Toulouse [Toulouse], Institut Mondor de Recherche Biomédicale (IMRB), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-IFR10-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12), National and Kapodistrian University of Athens (NKUA), Service d'urologie, andrologie et transplantation rénale, Université Bordeaux Segalen - Bordeaux 2-CHU Bordeaux [Bordeaux]-Groupe hospitalier Pellegrin, Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Université de Nantes (UN), Service d'urologie [Rouen], CHU Rouen, Normandie Université (NU)-Normandie Université (NU)-Université de Rouen Normandie (UNIROUEN), Normandie Université (NU), Image Science for Interventional Techniques (ISIT), Université d'Auvergne - Clermont-Ferrand I (UdA)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Clermont Université, Catholic University of Leuven - Katholieke Universiteit Leuven (KU Leuven), Hôpital Foch [Suresnes], Université de Picardie Jules Verne (UPJV), Assaf Harofeh Medical Centre, Tel Aviv University [Tel Aviv]-Assaf Harofeh Medical Centre, CHU Strasbourg, Berlin Charity Hospital, La Paz University Hospital, Bnai Zion Hospital, Service d'Urologie [CHU Pitié-Salpêtrière], CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP], Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU), Lubeck University Hospital, Bonn University Hospital, Institut de Génétique et Développement de Rennes (IGDR), Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), University of California (UC)-University of California (UC), CHU Saint-Etienne-Université Jean Monnet - Saint-Étienne (UJM)-Hôpital nord, Université Jean Monnet - Saint-Étienne (UJM), Département d'Urologie-Andrologie et Transplantation Rénale [CHU Toulouse], Pôle Urologie - Néphrologie - Dialyse - Transplantations - Brûlés - Chirurgie plastique - Explorations fonctionnelles et physiologiques [CHU Toulouse], Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (CHU Toulouse)-Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (CHU Toulouse), Université d'Auvergne - Clermont-Ferrand I (UdA)-Clermont Université-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Tel Aviv University (TAU)-Assaf Harofeh Medical Centre, Université de Rennes (UR)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), De Villemeur, Hervé, Bensalah, Karim, Pantuck Allan, J., Rioux Leclercq, Nathalie, Thuret, Rodolphe, Montorsi, Francesco, Karakiewicz Pierre, I., Mottet, Nicola, Zini, Laurent, Bertini, Roberto, Salomon, Laurent, Villers, Arnaud, Soulie, Michel, Bellec, Laurent, Rischmann, Pascal, De La Taille, Alexandre, Avakian, Raffi, Crepel, Maxime, Ferriere Jean, Marie, Bernhard Jean, Christophe, Dujardin, Thierry, Pouliot, Frederic, Rigaud, Jerome, Pfister, Christian, Albouy, Baptiste, Guy, Laurent, Joniau, Steven, van Poppel, Hendrik, Lebret, Thierry, Culty, Thibault, Saint, Fabien, Zisman, Amnon, Raz, Orit, Lang, Herve, Spie, Romain, Wille, Andrea, Roigas, Jan, Aguilera, Alfredo, Rambeaud, Bastien, Martinez Pineiro, Lui, Nativ, Ofer, Farfara, Roy, Richard, Francoi, Roupret, Morgan, Doehn, Christian, Bastian Patrick, J., Muller Stefan, C., Tostain, Jacque, Belldegrun Arie, S., Patard Jean, Jacques, Service d'Urologie - Andrologie [CHU Saint-Etienne], Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne [CHU Saint-Etienne] (CHU ST-E)-Université Jean Monnet - Saint-Étienne (UJM), Université de Toulouse (UT), Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU), and University Hospital Bonn
- Subjects
Surgical margin ,medicine.medical_specialty ,[SDV.MHEP.CHI] Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Surgery ,MESH: Survival Rate ,Urology ,medicine.medical_treatment ,030232 urology & nephrology ,[SDV.CAN]Life Sciences [q-bio]/Cancer ,[SDV.MHEP.CHI]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Surgery ,Nephrectomy ,[SDV.MHEP.UN]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Urology and Nephrology ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,[SDV.CAN] Life Sciences [q-bio]/Cancer ,Renal cell carcinoma ,Predictive Value of Tests ,medicine ,Humans ,Survival rate ,Carcinoma, Renal Cell ,MESH: Nephrons ,Retrospective Studies ,MESH: Humans ,MESH: Middle Aged ,Proportional hazards model ,business.industry ,Retrospective cohort study ,MESH: Retrospective Studies ,Nephrons ,MESH: Carcinoma, Renal Cell ,Middle Aged ,medicine.disease ,[SDV.MHEP.UN] Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Urology and Nephrology ,Kidney Neoplasms ,MESH: Predictive Value of Tests ,3. Good health ,Surgery ,Survival Rate ,MESH: Nephrectomy ,030220 oncology & carcinogenesis ,Predictive value of tests ,MESH: Kidney Neoplasms ,business ,Kidney cancer - Abstract
International audience; BACKGROUND: The occurrence of positive surgical margins (PSMs) after partial nephrectomy (PN) is rare, and little is known about their natural history. OBJECTIVE: To identify predictive factors of cancer recurrence and related death in patients having a PSM following PN. DESIGN, SETTING, AND PARTICIPANTS: Some 111 patients with a PSM were identified from a multicentre retrospective survey and were compared with 664 negative surgical margin (NSM) patients. A second cohort of NSM patients was created by matching NSM to PSM for indication, tumour size, and tumour grade. MEASUREMENTS: PSM and NSM patients were compared using student t tests and chi-square tests on independent samples. A Cox proportional hazards regression model was used to test the independent effects of clinical and pathologic variables on survival. RESULTS AND LIMITATIONS: Mean age at diagnosis was 61+/-12.5 yr. Mean tumour size was 3.5+/-2 cm. Imperative indications accounted for 39% (43 of 111) of the cases. Some 18 patients (16%) underwent a second surgery (partial or total nephrectomy). With a mean follow-up of 37 mo, 11 patients (10%) had recurrences and 12 patients (11%) died, including 6 patients (5.4%) who died of cancer progression. Some 91% (10 of 11) of the patients who had recurrences and 83% of the patients (10 of 12) who died belonged to the group with imperative surgical indications. Rates of recurrence-free survival, of cancer-specific survival, and of overall survival were the same among NSM patients and PSM patients. The multivariable Cox model showed that the two variables that could predict recurrence were the indication (p=0.017) and tumour location (p=0.02). No other variable, including PSM status, had any effect on recurrence. None of the studied parameters had any effect on the rate of cancer-specific survival. CONCLUSIONS: PSM status occurs more frequently in cases in which surgery is imperative and is associated with an increased risk of recurrence, but PSM status does not appear to influence cancer-specific survival. Additional follow-up is needed.
- Published
- 2010
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